Blood of the Emperor

De Les Archives Infinies
Aller à la navigation Aller à la recherche

Par Gilian

Avant-Propos

Troisième recueil de nouvelles de la série primarques et je suis plutôt mitigé, on se retrouve avec un recueil à presque 15 euros pour 6 nouvelles et 144 pages. La bonne nouvelle, c’est qu’il n’y a qu’une nouvelle déjà parue et la mauvaise, c’est qu’on a toujours aucune nouvelle de Sanguinius depuis plus de deux ans…

Nouvelles en Anglais

Lupus Daemonis de Chris Wraight
Skjalds de Nick Kyme
The Sixth Cult of the Denied de David Guymer
The Will of the Legion de Andy Clark
Council of Truth de Mike Brooks
Terminus de Chris Wraight

Nouvelles en Français

Ce recueil n'est pas encore traduit.

Conclusion générale

Je suis plutôt content de ce recueil de nouvelles mais je pense que pas mal de gens vont être frustrés. La plupart des nouvelles ne trouvent leur intérêt que remises en contexte au milieu du reste des publications sur l’hérésie d’Horus.
Bien sûr, elles se laissent lire seules mais certaines comme Terminus ou Council of Truth ne veulent pas dire grand-chose hors contexte.
Et vu le prix du livre, je comprends que les gens fassent l’impasse.

Par Schattra

Avant-Propos

Et voila la Schattra touche , merci a lui.
Vous pouvez le retrouver ici : https://nebelheim.wordpress.com/

Ou ici : https://www.warhammer-forum.com/index.php?/profile/27242-schattra/

Intro

Bonjour et bienvenue dans cette revue de ‘Blood of the Emperor‘, une anthologie de nouvelles centrées sur les fils de l’Empereur, ces fripons de Primarques. Prenant la suite de ‘Sons of the Emperor‘ et ‘Scions of the Emperor’, ‘Blood of the Emperor‘ sera sans doute le dernier volet de cette mini série de recueils primarquiels, la fin de l’Hérésie approchant fortement au moment de la sortie de cet opus. Rassemblant 6 nouvelles, dont 5 inédites (la dernière, ‘The Will of the Legion’, étant initialement sortie dans le cadre de la Black Library Celebration Week 2020), ‘Blood…‘ s’avère moins consistant que ses aînés, mais s’il y a une chose que l’on apprend en lisant de la GW-Fiction, c’est que la taille (ou plutôt, le volume), ne fait pas tout. Ceci dit à 15€ les 150 pages, on est en droit de considérer l’objet comme étant honteusement cher, toute choses égales par ailleurs.

Niveau casting, peu de surprise: on retrouve six auteurs bien connus des amateurs de la Black Library, même si certains commencent ici (Andy Clark), ou peu s’en faut (Mike Brooks), leur épopée hérétique. Par niveau d’expérience croissant, on retrouve ensuite David Guymer et Chris Wraight, Nick Kyme, et le positivement vénérable Graham McNeill, qui n’en finit plus de revenir à sa période horusienne. Sans plus attendre, ouvrons donc l’objet du délit (et sa couverture illustrée par la célèbre allégorie d’Horus et son air-fau[ssement]con) et découvrons de nouvelles facettes de la personnalité des fistons de notre cher Pépé.

Nouvelles en Anglais

Lupus Daemonis de Chris Wraight
Skjalds de Nick Kyme
The Sixth Cult of the Denied de David Guymer
The Will of the Legion de Andy Clark
Council of Truth de Mike Brooks
Terminus de Chris Wraight

Conclusion générale

Et voici qui termine cette revue de ‘Blood of the Emperor‘, une anthologie que je qualifierai davantage de « sans points faibles » que « d’un bon niveau », si vous voyez la nuance. Si la qualité intrinsèque des contributeurs de ce recueil lui permette de n’aligner que de nouvelles qui se laissent lire sans problème, beaucoup de ces dernières présentent des lacunes assez marquées sur un point ou un autre, le plus souvent en termes d’ajouts intéressants au fluff des Primarques qu’elles couvrent. On peut considérer que l’exercice est devenu de plus en plus complexe au fur et à mesure que l’Hérésie s’étoffait et que la part d’ombre de ses protagonistes diminuait d’autant, mais McNeill et surtout Guymer ont démontré par leurs contributions qu’il restait possible de présenter des éléments dignes de considération à un public de plus en plus expert, et donc (logiquement) exigeant. Il est dommage que tous leurs camarades n’aient pas pu ou su suivre leur exemple, même si on accordera tout de même les encouragements à Nick Kyme pour les progrès notables qu’il a fait au cours de la dernière décennie. En conclusion, un dernier volet honnête pour la trilogie ‘Relatives of the Emperor’, plus qu’un grand final spectaculaire et rigoureusement indispensable que toutes les sorties de l’Hérésie d’Horus devraient être à mes yeux à ce stade.