Witchbringer

De Les Archives Infinies
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Par Gilian

Avant-Propos

Premier roman de Steven B. Fischer pour la Black Library, il fait suite à trois nouvelles sur la garde impériale et mettant en scène certains des personnages. Le sujet est un peu particulier même s’il reste dans un registre plutôt classique, on reste dans la garde impériale mais on s’intéresse aux psykers assermentés.

L’histoire du livre

Cinq ans après avoir quitté le 900eme régiment Cadien où elle était capitaine, Glavia Aerand se voit réaffectée à ce même régiment en tant que Psyker Assermenté après la disparition de l’ancien psyker du régiment.

L’histoire avec un grand H

Alors qu’elle finit sa formation à la Scholastica Psykana, Glavia Aerand a une vision de l’avenir où elle voit son ancien mentor la prévenir d’un danger sur le monde de Visage, le monde où est affecté son ancien régiment.

Après avoir passé une dernière épreuve pour finir sa formation, elle a la surprise d’être affectée à son ancien régiment et découvre la disparition de Jarrah Kellipso, l’ancien psyker du régiment qui était aussi son mentor.

La situation sur la planète est désespérée et les Cadians sont sur le point de se faire submerger par les rebelles.

Décidant de jouer le tout pour le tout, le major Absalom Restripa qui commande le régiment décide de tenter une sortie pour aller décapiter le commandement adverse et en finir avec le Veneur des Sorcières.

Mais tout n’est pas aussi simple il s’avère que les rebelles ne présentent pas un front uni et que le veneur des sorcières est en fait un démon bloqué, enfermé dans un artefact qui a besoin d’un psyker pour s’incarner dans le monde réel.

Alors que la bataille finale fait rage, Aerand entre en contact avec l’esprit de Kellipso et à eux deux ils arrivent à vaincre le Veneur. De leur côté, les Cadians, profitant de la mêlée générale, finissent par prendre le dessus.

Note : le résumé est succinct et décousu mais il est le reflet du livre malheureusement…

Contexte

Ce livre fait suite à trois nouveaux écrits par Steven B. Fischer
The Emperor's Wrath
The Weight of Silver
The Taste of Fire
On y retrouve plusieurs personnages secondaires. Comme le précise l’auteur dans une interview, la lecture des nouvelles n’est pas indispensable pour comprendre le livre mais ça apporte un plus.
Et je dois dire que malgré les défauts que je trouve au livre, je dois bien reconnaître que la description des personnages et de leur mentalité est plutôt réussi.
Je note aussi que le livre laisse aussi entrevoir une possible suite.

Scholastica Psykana

J’ai fait quelques petites recherches sur le net et dans mes archives et je n’ai pas trouvé de trace de la Scholastica à part dans un passage du codex de base de la V2 en 1993.
Pour une chose aussi importante pour l’Imperium c’est étrange que ça ne soit pas plus développé.

Fischer s’attaque donc à un mythe de l’univers de 40K. C’est une composante de l’Adeptus Astra Telepathica et c’est là que sont envoyés les psykers récoltés par les vaisseaux noirs.
C’est ici que leur avenir est décidé.
Il existe des couvents cachés repartis dans tout l’Imperium, et même si on fait croire aux novices qu’ils sont sur Terra, aucun d’entre eux n’y mettra jamais les pieds, sauf pour aller y mourir comme combustible pour le trône d’or.

Visage

C’est un monde perdu aux confins d’un secteur qui ne présente pas grand intérêt. Visage n’est pas un monde où il fait bon vivre, il n’y a pas de richesse à exploiter, c’est un monde qui ne vaudrait pas la peine que l’Imperium s’y intéresse…
Mais Visage a une ressource inestimable, les psykers… Déjà avant l’événement de la grande faille, Visage avait un taux d’apparition de psykers bien au-dessus de la moyenne et c’était encore pire depuis que la cicatrix avait fracturé la galaxie.
Pour cette raison, Visage ne pouvait être perdu.

Mais Visage possède aussi un terrible secret… Le Veneur…

Le veneur des Sorcières

L’origine des psykers de Visage provient de la planète elle-même. Dans un temple de cette planète se trouve un artefact très ancien dans lequel est enfermé un démon : le Veneur des Sorcières.
Ce démon s’est peu à peu lié avec la flore de la planète pour essayer de s’échapper, mais il n’y est jamais parvenu. Sa présence augmente significativement le nombre de psykers naissant parmi la population humaine de Visage.

Les premiers colons impériaux ont fini par comprendre qu’un démon était présent sur la planète, mais les psykers étant une ressource précieuse, ils ont fait construire une série de lieux saints pour affaiblir et garder prisonnier le démon. Malheureusement, avec l’ouverture de la faille, le démon est devenu plus puissant et le nombre de psykers a permis au culte démoniaque de prendre petit à petit le dessus.

Paradoxalement, la mort du Veneur marque aussi la mort de Visage. Bien sûr la planète est enfin libérée du démon mais elle ne va plus produire autant de psykers et va donc devenir inutile pour l’Imperium.

Le capitaine Oire

L’idée de faire de l’antagoniste de la nouvelle un personnage principal avec un caractère et une histoire à lui était bien pensé.
Mais à vouloir le rendre trop mystérieux, Fischer nous a perdu en route…
On ne sait pas pourquoi il trahi l’Imperium et pourquoi tout son régiment le suit sans rien dire, on n’apprend qu’il est un paria qu’à la toute fin du livre et qu’il a trahi après que l’Ecclésiarchie a fait brûler une petite fille recueillie par le régiment pour sorcellerie….
C’est expédié vite fait en quelques lignes à la fin alors que c’est une partie importante de l’intrigue…

Conclusion

Je suis très partagé sur ce livre, le sujet était intéressant, l’approche aussi mais le style d’écriture laisse trop de choses en suspens, si ça peut marcher sur une nouvelle où on sait que certaines parts d’ombre peuvent rester par manque de place, quand on écrit un roman de 304 pages, on se doit d’être un peu plus précis. Autant la première partie du livre qui se déroule à la Scholastica psykana est bien réussi, autant la suite laisse trop de choses dans le flou.

La deuxième chose qui plombe le livre, c’est la méconnaissance de l’univers de 40K, une psyker non assermentée dans un régiment de la garde aurait dû être repérée bien plus tôt, mais à la rigueur on peut admettre que l’ouverture de la grande faille et l’éveil psychique qui s’en est suivi a réveillé les pouvoirs de l’héroïne. (Mais c’est elle qui a décidé de se dénoncer…).
Mais que le Colonel Oire soit un paria et que personne ne l’ait jamais su c’est impossible dans le monde de 40K…

Tout cela fait que malheureusement ce livre ne restera pas dans les mémoires…

Par Rhydysann

Avant-Propos

Et voila la Rhydysann touche , merci a lui.
Vous pouvez le retrouver ici : https://www.warhammer-forum.com/index.php?/profile/227451-rhydysann/

Intro

Un nouvel auteur dont je n’ai jamais entendu le nom et donc une première découverte. Malheureusement à moins d'un autre sujet qui m’intéresse se sera surement une dernière lecture d’une de ces œuvres.

Certifié sans spoil. Bonne lecture.

Scénario et mise en scène

- Scénario et mise en scène = 2/5


Le roman nous fait principalement suivre l’histoire des yeux de son héroïne principale, une psyker fraichement graduée de son master (5 années d’entrainement) en pouvoir psychique et souffrance. En fait pas tout à fait, car le scénario commence lors de ses derniers instants dans la scholam et de son intronisation en tant que psyker primaris spécialisé dans la divination. Durant trois chapitres le lecteur va pouvoir assister (très) rapidement aux rites permettant d’accéder à ce prestigieux titre. Et franchement ce n’était pas trop mal, même si j’ai du mal avec l’idée de l’examen final passablement stupide où ils mettent le psyker dans une salle et l’envoi littéralement dans l’empyrée afin de voir s’il ou elle résiste aux puissances démoniaques, pourquoi pas.

À la suite de cela et à la pose des implants pour contrôler cses pouvoirs l’héroïne à une vision de son ancien mentor et tuteur du temps ou elle était encore une fière cadienne bourrue et insipide, le psyker primaris télépathe Jarod (je crois) lui envoie un message télépathique dit de ne surtout pas s’approcher de la planète ou lui et le régiment sont en fonction. Aussi vite qu’un SMS bien sûr. Malheureusement pour elle, et surtout pour le lecteur, elle est envoyée sur rien de moins que le théâtre d’opération de son ancien régiment.

Et à l’instant T, donc au chapitre trois, le roman devient un foutraque de tout et n’importe quoi. La planète en fonction Visage, est une planète clef pour l’Imperium car elle fournit un nombre très conséquent de psyker pour une raison inconnue qui est d’ailleurs l’unique ressource utile du coin. Mais tout de même quelle ressource, mais la population locale ainsi qu’un régiment de déserteur fomentent des guérillas depuis dix ans. Et bien évidemment l’Imperium perdant et la planète étant d’une importance capitale, car c’est rappelé plusieurs fois dans le roman, n’envoie qu’un régiment de cadien s’en occuper. Arrivée sur la planète elle se rend compte qu’elle ne connaît quasiment plus personne et que tous ceux qui savent encore qui elle était la déteste ou la craigne étant une sorcière. Et pire encore l’ancien psyker en fonction son mentor donc a disparu sans laisser de trace et personne ne se souvient de lui.

Je n’aborderai pas le reste au risque de spoiler sans vergogne l’humble lecteur intéressé par ce livre. Mais de ce que je peux en dire hors spoiler, le scénario n’a ni queue ni tête et n’est qu’un enchaînement de combat sans saveur, ironique quand les thèmes abordés sont les psyskers.

On a une héroïne qui est capable de tout faire, mieux que les autres, et qui sauvent toutes les situations presque à elle seule et bien sur à toujours les meilleures idées. Ce qui fait vraiment penser à l’héroïne des romans de Justin D Hills. Elle se permet d’ailleurs tout sans aucune conséquence néfaste à son encontre.

On a le droit comme toujours à la mise en avant de l’excellence des Cadiens qui sont les meilleurs, répétés pour la 40k fois en une vingtaine de romans.

Les personnages secondaires eux ne sont jamais développés, certains apparaissent puis disparaissent à la guise de l’auteur, des sous-intrigues sont formées pour ne jamais avoir de fin. Et je ne vous parle pas du néant que représente l’ennemie, bordel une planète remplie de psyker et rien à se mettre sous la dent.

La mise en scène est donc tout aussi catastrophique. Un passage de l’histoire se passe dans la brume dans des marais, car oui Visage est une planète aquatique, se veut dans un style horrifique et veut plonger le lecteur sous tension mais malheureusement rien, nada, aucune émotion cela ne m’a procuré. Le problème de ce genre de scène c’est que première si tu n’as rien à faire de personnages ou est la tentation, deux si tu sais que dès qu’un personnage est nommé alors il ne peut plus mourir à quoi bon l’intérêt.

Quand d’autres situations elles sont tout simplement absurdes

Avec ce baneblade au milieu des marais et des arbres donc bonjours pour circuler mais et surtout qui se fait dézinguer par une escouade d’arme lourde qui en profite aussi pour tuer un contingent complet de soldat. Un foutu Baneblade ! Déchirer comme une feuille en papier.


Quant à la fin et à l’explication de la disparition du psyker et le combat final juste cartonrouge

La suite en spoiler pour ceux que cela intéressé de connaitre la fin du scénario :

La planète est dominée par un démon qui dévore les cadavres via la possession des arbres.

Le peuple de la planète essaye de le réanimer mais les gardes renégats ne sont en fait pas chaotiques et cherchent juste à tuer le démon et les servants de l’Imperium pour une histoire de gamine bruler. Le colonel est un pariah dont le pouvoir ne servira jamais. Pourquoi le reste du régiment à suivi le colonel nous n’en saurons jamais rien

Personne, sauf le méchant major, ne se souvient du psyker car le démon a essayé de le posséder et il a préféré se suicider. Pour éviter la menace que quelqu’un ne s’approche du démon il effaçait la mémoire de tout le régiment sauf d’un prêtre et du major.

Donc depuis le début du livre tout le monde connaît la vraie menace et personne n’a rien fait, cela fait X temps qu’ils se laissent mourir et ont dû attendre que l’héroïne arrive pour se bouger .?

L’héroïne qui est en train de se faire posséder/manger/prendre son âme, je n’ai pas tout compris, par le démon car il a besoin d’un réceptacle pour s’enfuir de sa prison arrive à vaincre ce monstre psychique à la seule force de sa volonté et avec l’aide de l’âme de son ancien mentor et des morts grâce à la magie interstellaire qui tue ultime bombe de feu renaissance extrême.

Nan plus sérieusement elle arrive à vaincre un démon, capable de dévorer des mondes grâce aux âmes et c’est tout. Ce que son mentor aurait pu faire et ce qui n’a aucun sens. Mais au point ou le scénario en est rien à faire.

Les gentils gagnent et l’histoire ce conclu sur une phrase trop sombre et cruelle.

À et pourquoi la planète comptait autant de psyker car le démon ! Oui il n’y a pas d'explication réelle autre que le terme démon.

Style et écriture

- Style et écriture = 1/5


Bon déjà la traduction est totalement aux fraises et anglisice des mots comme démon marqué daemon durant tout le texte. Je comprends que le terme astra militarum soit utilisé mais daemon, démon ! Ce mot m’a vraiment agacé durant toute la lecture.

Et déjà que le style de l’auteur n’est vraiment pas folichon, ne transpire rien de spécial, pire n’est même pas clair. Certains passages du bouquin sont un foutoir qu’il faut relire pour comprendre une scène ou une action.

Les combats sont omniprésents mais inintéressants tout comme les personnages secondaires et principaux.

Intérêt fluffique

- Intérêt fluffique = 3/5

Le néant ou absurde. Inutile de s’épandre sur le sujet.

Mais je vais quand même faire un aparté sur le sujet des psykers, sujet à mes yeux fort intéressant et dont j’en attendais beaucoup, surtout sur un psyker de combat de la garde. Mais même ça s’est raté, pourtant vraiment le début avait bien commencé et je me disais que malgré la faiblesse du scénario j’allais voir quelques bonnes scènes de combat ou de vie d’une psyker au sein d’un régiment, mais non rien. Même l’utilisation à un moment du tarot impérial est un pétard mouillé.

J’avais hautement plus apprécié ce pauvre psyker cadien dans le roman d’ADB ou les scènes de la psyker dans Severina Raine. Même si Harrisson avait un peu abusé sur la puissance psychique du personnage au moins celui-ci était intéressant et les scènes bien cool.

Là rien nada, même les ennemies psychiques sont sans intérêt. Donc oui, si vous voulez en apprendre plus sur les psykers de combat vous allez être bien déçu.

Appréciation personnelle

- Appréciation personnelle = 1/5


Et encore une énième catastrophe littéraire pour nos bons vieux soldats aux yeux violets. Je ne pensais pas dire cela un jour mais il me manque le temps où les bouquins de la garde sortaient au compte-gouttes (et n’était pas uniquement centré sur les anciens gardiens de l’œil de la terreur) mais était bien écrit et intéressant. De tout ce qui est sortie récemment sur le sujet Cadien (donc le roman très bon d’ADB ne compte pas), seul Karskin est un bon livre. Et le pire c’est que cela aurait pu être n’importe quel autre régiment dans ce livre que cela aurait fait la même histoire.


Vraiment je ne sais pas si c’est le thème Cadien, les contraintes que doit donner la BL ou juste moi qui a de trop de grande attente mais plus j’avance dans le temps, plus c’est une purge à lire. Et j’ai pourtant lu rapidement se livre mais pas avec plaisir.

Un mauvais roman pas loin du sans intérêt et qui a réussi à surpasser le dernier tome de la trilogie de Justin D Hills. Lui au moins avait une plume correcte et quelques bonnes scènes au début.

Noté mauvais et que je déconseille fortement.


- Note globale = Total des points 7/20


Et dire que j’ai encore un roman cadien à lire après celui-ci…

Par Solaris

Avant-Propos

Et voila la Solarius touche , merci a lui.
Vous pouvez le retrouver ici : https://www.warhammer-forum.com/index.php?/profile/229368-solarius/

Résumé

J'ai un avis en demi-teinte pour ce livre : D'un côté, il y a de bonnes idées et l' histoire reste vraiment prenante (je n'ai pas beaucoup décroché), mais d'un autre le dernier tiers du livre est assez brouillon et certains points du scénario auraient pu être plus développés. L'intrigue s'égare avec des scènes de bataille très moyennes, et je pense qu'elle aurait pu être mieux exploitée dans un "Warhammer Horror".

On voit donc une ancienne colonelle cadienne, reconvertie en psyker Primaris, se réinsérer dans son régiment. Ce dernier est bloqué depuis plusieurs années sur un monde marécageux infesté de rebelles menés par des sorciers. Le plus puissant d'entre eux, leur chef, se nomme le Witchseeker et pose un sérieux problème aux Impériaux. Elle va donc devoir regagner la confiance de ses hommes et enquêter sur de nombreux phénomènes étranges. Il s'avèrera notamment que personne ne se souvient du psyker l'ayant précédée et que tout le monde n'est pas content de la revoir...

Il s'avérera que sur cette planète repose un artefact chaotique entraînant une augmentation de pouvoirs psychiques et que le précédent psyker du régiment a utilisé ses pouvoirs pour effacer la mémoire des soldats avant de se faire absorber l'âme. Le but du chef des renégats et de faire exploser le bazar pour faire péter la planète et tout ce qui s'y trouve. L'héroïne parviendra a absorbé les âmes contenues dans l'artefact et à sauver tout le monde.


Au niveau des bons points, l'auteur connaît son sujet et arrive à nous mettre à la place d'un psyker de combat, les pouvoirs de la protagoniste et son entraînement donnant lieu à des scènes de baston mémorables. Le lieu où se déroule l'intrigue, sorte de Dagoba mélangé au bayou cadien Cool , apporte une atmosphère poisseuse et dangereuse. L'antagoniste est plutôt mémorable avec des motivations un point de vue convaincants.

Pour les points négatifs, tout ceci manque singulièrement d'exploitation : Les renégats ne sont pas développés plus que ça, les relations entre l'héroïne et son régiment sont vraiment très sommaires, le dénouement arrive comme un cheveu dans la soupe... Certains plot twists se voient à des kilomètres ! C'est dommage car Steven B. Fisher a vraiment une bonne plume, je me suis surpris à ne pas pouvoir décrocher de ma lecture. C'est surtout à la fin que ça coince. . Tous ces problèmes doivent venir des contraintes que posent ce type d'histoire : Nécessité de mettre un max de scènes d'action, manque de pages et de place, délais trop courts...

Bref, un petit 13/20 car si le fond est moyen, la forme est vraiment bonne.

Au niveau du point fluff :

- Les implants que portent les psykers primaris sont des suppresseurs psychiques servant à améliorer leur contrôle sur leurs pouvoirs. Ils sont greffés de force, sans anesthésie.

- Les Schola Psykana sont des lieux d'entraînement très, très durs où les aspirants doivent fortifier leurs esprits où se le faire dévorer par des démons. Les vaisseaux noirs sont des lieux très éprouvants pour les psykers car ils doivent ressentir les émotions de leurs semblables dans des logements insalubres.

- Les disciplines psychiques les plus pratiquées sont la Biomancie, la télékinésie, la télépathie et la pyromancie. La divination est la plus compliquée. On peut voir le tarot de l'Empereur en action.