The Eagle's Talon

De Les Archives Infinies
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Par Gilian

L’histoire du livre

La chute du macro-transporteur Eagle’s Talon a changé la donne dans la guerre pour le continent sud mais personne ne savait exactement pourquoi il était tombé de l’orbite.

L’histoire avec un grand H

Les enregistrements qui ont été retrouvé par les Iron Warriors apres la bataille prouve que le sabotage du transporteur a été l’œuvre de trois escouades d’infiltrations de la VIIème légion.
L’Eagle Talon était le plus gros vaisseau de débarquement en activité chez les Iron Warriors si il avait déposé ça cargaison sur Tallarn la guerre aurait été perdu c’est pour ça que la mission d’infiltration a été autorisé.
Devant l’impossibilité de se rendre maitre du vaisseau le chef de mission se voit contraint de le saboter et de le faire s’écraser sur Tallarn.

Conclusion

John French joue avec se que l’on sait des Imperial Fist : Les protecteurs les prétoriens qui ne montre aucun sentiment et que rien n’arête et ce qu’ils sont vraiment des guerriers qui peuvent douter mais qui place l’honneur et la fidélité au dessus de tout. A voir ce que donne la deuxième partie.

Par Schattra

Avant-Propos

Et voila la Schattra touche , merci a lui.
Vous pouvez le retrouver ici : https://nebelheim.wordpress.com/

Ou ici : https://www.warhammer-forum.com/index.php?/profile/27242-schattra/

Intrigue

Cent quatre-vingt-dix-sept jours, dix heures, dix-sept minutes et trente-et-une secondes après le début de la bataille de Tallarn, le macro-transport Eagle’s Talon (à ne pas confondre avec l’Achille Talon, vaisseau amiral de la 2nde Légion du temps de sa gloire) s’écrasa à la surface de la planète suppliciée. En plus de forcer les combats faisant rage sur l’hémisphère sud à s’interrompre pour quelques heures, cet événement priva les Iron Warriors de précieux renforts qui auraient pu faire basculer le conflit du côté des hérétiques. Bien des années après les faits, une série d’extraits audio captés par une sonde spatiale s’étant retrouvée à proximité de l’Eagle’s Talon permit de lever le voile sur les raisons de cet accident, qui n’en était en fait pas un.

À travers sept enregistrements successifs, nous suivons la dernière mission des escouades Gammus, Theophon et Arcad des Imperial Fists, alors qu’elles infiltrent le vaisseau ennemi avec pour objectif de… le détourner, j’imagine ? En tout cas, pas de le faire s’écraser sur Tallarn, comme cela finira par être le cas, car ces idéalistes de jaunards ne souhaitent pas causer des pertes parmi leurs alliés humains. Mais ces nobles sentiments ne font pas le poids face à l’adversité et les hordes de soldats et de membres d’équipage qui finissent par converger sur la position des loyalistes, une fois leur présence à bord découverte. L’escouade Arcad ayant échoué à s’emparer de la salle de contrôle de l’Eagle’s Talon, comme c’était pourtant son objectif, le pragmatique Theophon déclenche les charges qu’il avait posé en douce sur le conduit d’alimentation central du vaisseau (apparemment aussi sensible que le pot d’échappement thermique de l’Etoile Noire), après que Gammus ait refusé de le faire pour sauvegarder son précieux honneur. Heureusement qu’il y en a encore qui acceptent de faire le sale boulot…

Avis

Si le script de certains audio dramas peut se révéler indifférenciable d’une simple nouvelle, le doute n’est en revanche pas permis dans d’autres cas, et ‘The Eagle’s Talon’ appartient à la seconde catégorie. Il est très clair à sa lecture que cette histoire a été écrite pour être écoutée, étant composée à 90% de dialogues et de bruitages, qui doivent sans doute rendre très bien avec un casque sur les oreilles mais s’avèrent moins spectaculaires en mute. Autre indice probant, la très grande simplicité, pour ne pas dire vacuité, de l’intrigue déployée par French, parfaite pour qui n’a pas envie de dédier 100% de ses capacités cognitives à la compréhension des tenants et des aboutissants de cette mission d’infiltration. Là encore, le passage au format nouvelle n’est pas à l’avantage de ‘The Eagle’s Talon’, le lecteur moyen n’appréciant sans doute guère qu’on le prenne pour un abruti (ça a été mon ressenti, en tout cas). Sur ce coup-là, je subodore que l’élève French a été meilleur à l’oral qu’à l’écrit…