Rites of Binding

De Les Archives Infinies
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Par Gilian

Avant-Propos

Avant d’entrer à la Black Library, Gareth Hanrahan s'est fait un nom dans l’écriture de jeux de rôle. Il a ensuite écrit plusieurs romans de science-fiction, et Rites of Binding est sa troisième contribution à la Black Library et sa deuxième pour la série Crime.

L’histoire du livre

Un tueur en série sévissait dans le quartier, et le Probator Varo menait l’enquête.

L’histoire avec un grand H

Après la découverte de plusieurs cadavres en décomposition enfermés dans divers endroits du district, il était devenu clair qu’un tueur en série enlevait ses victimes et les enfermait pour les laisser mourir de faim.

Le Probator Varo avait mené l’enquête pendant des mois et avait fini par remonter la piste du tueur. Il lui avait tendu un piège avec une escouade de Sanctioners et l'avait fait prisonnier.

Mais tout s’est compliqué : il manquait trois victimes qui pouvaient toujours être en vie, et Bethus, le tueur, s'est avéré être un psyker puissant et rusé.

Varo voulait l’interroger pour retrouver la piste des autres victimes, mais l’Astra Telepathica est venue prendre possession du psyker pour l’enfermer en attendant le passage d’un vaisseau noir.

Malgré tout, Varo a réussi à obtenir une entrevue avec le psyker, et malgré toutes les mesures de sécurité prises, ce dernier a réussi à le manipuler.

Bethus va aider Varo à retrouver les autres victimes en lui faisant croire qu’il est lui aussi un psyker. À force de manipulations mentales, il va réussir à forcer la main de Varo, qui va l’aider à s’évader en faisant exploser la prison de l’Astra Telepathica.

Conclusion

Je comprends l’idée de la nouvelle et ce que Gareth Hanrahan a essayé de faire, mais dans l’univers de Warhammer 40K, et surtout dans l’Imperium, la peur et la haine du psyker sont enseignées dès le plus jeune âge. Bethus aurait été exécuté dès la première occasion. En aucun cas un agent des forces de l’ordre, quel qu’il soit, n’aurait cherché à négocier.

Cela étant dit, l’histoire n'est pas mal et tient la route. Elle introduit l’idée que les vaisseaux noirs et les prisons de l’Astra Telepathica pourraient être une bénédiction pour les psykers, leur permettant de se racheter.

Avec cette deuxième nouvelle Crime, Hanrahan continue à faire du bon travail.