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De Les Archives Infinies
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Avant-Propos

C’est la première nouvelle d’une série de trois qui nous raconte l’histoire d’un des généraux Cadien les plus célèbres : Ursarhar E. Creed.
Justin D. Hill écrit cette nouvelle dans le cadre de l’ »advent calandar  2014 » de la blacklibrary.

L’histoire du livre

Le général Travis avait perdu le contrôle de la situation dans le système Gort et au lieu d’appeler des renforts, il avait caché la déroute de ses troupes aussi longtemps que possible.
Maintenant que le seigneur de guerre Ryse s’était rendu compte de la situation, il était presque trop tard. Et les troupes des Anckorites étaient à deux doigts de prendre la planète Besana et de mettre en danger la poursuite de la guerre.
Il a décidé d’envoyer le général Ursarhar E. Creed rétablir la situation.

L’histoire avec un grand H

Le maître de guerre Ryse a décidé de donner au général Ursarhar E. Creed un poste important dans la guerre qu’il dirige et ça n’a pas été du goût de tous ses officiers bien plus âgés.
Creed est un tout jeune général mais montre des capacités exceptionnelles que Ryse veut utiliser.

Tout le monde attend que Creed fasse un faux pas pour s’en débarrasser et rejeter la faute sur Ryse mais pour le moment il a toujours servi le maître de guerre avec efficacité. Mais la mission qui s’annonce sur Besana risque d’être beaucoup plus compliquée que prévu.

Les troupes impériales sont en déroute et en train d’évacuer la planète au moment où Creed arrive. La dernière ligne de défense qui empêche les Anckorites de prendre le contrôle de l’astroport est défendue par à peine trois cents boucliers blancs (ce sont les cadets chez les Cadiens) qui tiennent le seul col menant à la capitale.
Creed voit tout de suite les dangers et les avantages de la situation. Bien sûr, le col représente le point faible du dispositif impérial mais c’est aussi la seul voie d’accès avec une route bordée de sables mouvants et de marécages.
Il envoie des renforts pour tenir le col un jour de plus et organise le bombardement depuis l’orbite de la colonne ennemie.
En moins de quelques jours, la situation est rétablie et Creed décide d’incorporer les survivants des boucliers blancs dans son 8ème régiment Cadien.

Conclusion :

Très bonne petite nouvelle. En 24 pages Justin D. Hill arrive à dépeindre Creed comme un général compétent, marqué par la discipline Cadienne mais sachant aussi prendre ses distances avec la hiérarchie.
Il montre aussi l’impact qu’il a sur les troupes. A seulement trente-six ans, il est déjà un héros au même titre que le commissaire Yarrick ou le commandant Pask.
C’est une très bonne introduction pour ce personnage.