Engines of war

Par Nico.

Avant-Propos

Et voila la Nico touche , merci a lui.
Vous pouvez le retrouver ici : https://www.black-librarium.com/

Intro

Petite review pour une petite histoire qui ne mérite pas vraiment que je m'attarde dessus. Je le fais juste pour vous informer au cas où vous voudriez acheter cette histoire.

Scénario et mise en scène

L'histoire reprend après la première partie Plague Harvest de Cavan Scot. La planète Orath est dévastée par des hordes de morts vivants et des marines de la Death Guard. Les deux escouades de Doom Eagles sur place (héros du premier récit) sont tous morts. Arrivent alors des renforts Ultramarines à bord de gros véhicules pour tout défoncer.

Point de subtilité ici, les Ultra débarquent, voient que c'est la guerre alors hop ils tentent d'affronter la multitude d'ennemis en tirant à coup d'armes lourdes. Et oui, les Hunters et Stalkers Space Marines sont largement utilisés ici (rien d'étonnant vu le titre et la cover). Sauf que cela n'est pas très intéressant d'avoir plusieurs phases de combats médiocres et d'explosions qui font péter des centaines de zombies...

L'intérêt de Plague Harvest était justement la progression plutôt lente du récit, le début de la contamination, les premiers doutes des Marines et les révélations à la fin. Ici, il n'y a que quelques dialogues vite faites sur le "secret d'Orath" et puis Pan pan on bute du Death Guard (qui n'ont aucune personnalité).

Pour rappel, le "secret" est qu'il y a deux portes Eldars cachées sur la planète, si la DG s'en empare ils pourront ouvrir un nouvel Œil de la Terreur. Les Ultramarines sont là pour les en empêcher, mais en fait ils s'en foutent un peu ici vu qu'ils ne savent pas grand chose, et oui le seul mec au courant est mort dans le premier volume. Alors à la place ils tirent.

Et le pire c'est que l'histoire ne fait qu'une soixantaine de pages !! Même pas 120 comme d'habitude. Malgré la taille réduite du récit, j'ai eu du mal à tout lire tellement cela ne m'intéressait pas.

Je mets 2 points parce qu’à un moment un Ultra réfléchit à ce qu'il se passe (si si ils peuvent réfléchir), et se dit que gagner telle victoire pourrait leur faire perdre la guerre. Et oui, peut être que les hordes de zombies ne sont là que pour les occuper et que les battre ne serait pas plus utile que d'aller ailleurs...

Style et écriture

Style et écriture : 2/5

Steve Lyons n'est pas un débutant, j'ai particulièrement aimé son Dead Men Walking sur la Death Korps, mais là ça sent le petit récit de commande pour vendre de la figouze et aucune réelle implication de l'auteur (peut-on lui reprocher ? Il doit écrire un truc sans avoir fait le début et il n'en fera pas la fin, et le tout en devant parler de gros tanks qui tirent de loin...)

C'est malheureusement sans âme, sans saveur. Vraiment dommage pour cet auteur qui écrit d'habitude de bonnes histoires.

Intérêt fluffique

Intérêt fluffique : 1/5

Hmmmmm............ Rien ! (et encore moins pour un lecteur du Codex Space Marines et de la description des unités)

A si en fait un truc, vous saviez que les obus tirés par les Hunter/Stalker (je ne sais plus lequel et je m'en fiche) ont des capteurs pour différencier les Marines de leurs ennemis ? C'est pratique dis donc.

Appréciation personnelle

Appréciation personnelle : 1/5

Aucun intérêt. Autant la première partie m'avait plutôt agréablement surprise (grâce aux passages sur la lente métamorphose des contaminés et surtout les Doom Eagles), autant là... bon ben voilà quoi Ultramarines power !

Le pire c'est que je veux lire la suite quand même (d'un autre auteur, mais cette fois sur les Centurions s'ils respectent l'artwork) juste pour connaître le déroulement de cette bataille... et qui sait peut être que ce sera bien.

Total : 06/20

Ma plus mauvaise note en reviews !