Crusade
Par Gilian
L’histoire :
Au début de la croisade indomitus, alors qu’ils viennent de purger le monde de Knassos, le croiseur de combat « l’épée du primarque » et ça compagnie de space marine dirigé par le lieutenant Cassian, à connus un problème de navigation et doit sortir prématurément du Warp dans le système Kalides avec un vaisseau incapable de repartir.
La planète capitale du système est assiéger par la Death Guard et après de dur combat finit en apothéose avec un duel entre Cassian et le commandant ennemie.
Mais rien n’est jamais finit car seul la mort met fin au devoir et le lieutenant se retrouve nominé au rang de Dreadnought Cassian. Mais cela est une autre histoire.
Les Personnages :
Lieutenant Cassian : Alors vous aller rire mais je suis bien contant de savoir ce qui lui est arrivé. Dans un de mes précédents articles j’avais fait mention de Cassian le premier primaris intégrer a un dreadnought pendant la croisade indomitus.
Guilliman : quand Cassian l’appel empereur, il avoue que ça lui est déjà arrivé une fois
Avis :
Personnellement j’ai trouvé un peu lourd la description de toutes les figurines primaris de la nouvelle gamme mais j’ai quelques années de retard pour lire la nouvelle et je dois admettre qu’à la sortie du jeu, j’aurais été plus curieux que maintenant. C’est nouvelle fait très bien le taf en introduisant toute la gamme de gurine primaris avec force détaille. Et en mettant le lecteur directement dans le bain. (Apres y’a des eldars qui se tape l’incruste mais bon).
Par Schattra
Avant-Propos
Et voila la Schattra touche , merci a lui.
Vous pouvez le retrouver ici : https://nebelheim.wordpress.com/
Ou ici : https://www.warhammer-forum.com/index.php?/profile/27242-schattra/
Intrigue:
Alors que la Croisade Indomitus bat son plein, nous partons à la rencontre d’une force de Primaris Ultramarines, que les aléas de la guerre et les caprices du Warp a détourné de sa destination initiale. Ayant récemment ramené Knassos dans le rang (impérial), le Lieutenant Cassian et ses hommes émergent de l’Immaterium¹ dans le système de Kalides, contraints et forcés d’y faire étape à la suite des avaries provoquées par la tempête Warp essuyée par le Primarch’s Sword, leur croiseur d’attaque de fonction. Leur propulseur Warp étant pour le moment hors service, les Ultramarines espèrent trouver sur le monde de Kalides Prime, coupé de l’Imperium depuis l’ouverture de la Cicatrix Maledictum, de quoi réparer leur joint de culasse (c’est toujours le joint de culasse), ou au moins envoyer un SMS d’excuse à Guilliman en utilisant le relais astropathique local. Par manque d’informations fraîches sur la situation de la planète, Cassian et ses lieutenants adjoints, l’Archiviste Keritraeus et le Chapelain Dematris optent pour une approche gardée, qui se révèlera sage car Kalides est assiégé par une bande de guerre de la Death Guard, ayant réduit la capitale planétaire, Dustrious, en ruines, et mis le siège à l’ultime forteresse de la cité, où se terre le collège des Astropathes. Bien que surclassés en nombre, les Primaris n’hésitent pas une seconde à voler, ou plutôt tomber, au secours des locaux, et engagent les troupes purulentes du Seigneur de la Peste Gurloch.
La campagne qui s’en suit verra les derniers nés de la famille Astartes exhiber leurs spécificités et matériel flambant neuf (mention spéciale aux Inceptors, qui partiront faire du flyboard au-dessus de Dustrious en préparation de l’arrivée du gros des troupes), épaulés quand le besoin s’en fait sentir par les restes d’un régiment de Cadiens bien éprouvés et totalement grippés, et une petite bande d’Eldars des Vaisseaux Mondes, dont la Prophétesse a vu en Cassian un futur allié d’importance pour la survie d’Yme’Loc, et n’hésite donc pas à cramer une relique millionnaire² pour tirer ce dernier et ses séides d’un bien mauvais pas. De l’autre côté du ring, les prouteux de Gurloch, un brave type très jovial mais tellement sale que même sa voix dégouline de sueur (ce qui n’est pas donné à tout le monde) encaissent et rendent les coups avec toute la fortitude caractéristique des fils de Mortarion, et continuent à préparer l’apothéose pesteuse que leur Seigneur fomente pour s’attirer les bonnes grâces du Grand-Père. Et comme toutes les bonnes choses dans la vie, ce bouquet (de germes) final doit mijoter un certain temps pour révéler toute sa saveur et son onctuosité. L’intervention des Guilliboys doit donc être supportée et contenue assez longtemps pour permettre au chef d’œuvre de Gurloch d’arriver à maturité, mais les loyalistes ont bien évidemment un tout autre avis sur la question…
¹ : La scène est assez drôle car on la suit depuis les yeux (?) d’une sonde de détection située à proximité du point de Mandeville du système, qui finit tel un moucheron sur le parechoc du fier vaisseau de l’Astartes. Il faudra rembourser messieurs.
² : C’est encore plus vieux que millénaire, ce qui pour un Eldar, n’a pas grande valeur. Cependant, comme Cassian le fait justement remarquer, ce n’est pas parce qu’on lui balance un bout de bois carbonisé dans les bottes en prétendant qu’iI s’agit de la Canne du Rêveur (jamais entendu parler) qu’il va se mettre à genoux devant le premier Zoneille venu.
Avis:
Ayant été un brin échaudé par ma première expérience de novella « d’initiation » aux franchises de Games Workshop à la suite de la lecture du décevant Sacrosaint // Sacrosanct de C. L. Werner, j’abordai cette Croisade avec un sombre pressentiment. Après tout, si un auteur confirmé comme l’homme au chapeau n’était pas capable de rendre une copie intéressante en mettant en scène des Stormcast Eternals, quel espoir y avait-il qu’un petit nouveau comme Andy Clark fasse mieux avec des Ultramarines Primaris, sans doute la faction la plus lisse de tout Warhammer 40.000 ? Eh bien, qu’il soit écrit ici que j’avais tort de douter de Mr Clark, qui s’est sorti haut la main de cet exercice imposé des plus périlleux.
Croisade étant d’abord un récit destiné à faire vivre les figurines d’une boîte de jeu 40K (Dark Imperium) et d’introduire le background de cet univers aux nouveaux hobbyistes, la première satisfaction que l’on peut tirer de cette novella tient au fait qu’elle réalise cette mission de façon sérieuse mais non ennuyeuse, ce qui était ma crainte principale. Certes, Clark passe en revue avec un détail qui pourrait sembler excessif dans une soumission classique de la BL toutes les escouades et personnages de son casting, précisant à chaque fois son rôle et ses missions au sein de sa faction. Mais il réussit le tour de force de le faire sans trop forcer le trait, ce qui rend la lecture de sa prose supportable pour le vétéran. L’intrigue de son récit, pour simple qu’elle est, offre un cadre robuste à l’empoignade entre Ultramarines et Death Guard, et, si le déroulé de Croisade se concentre majoritairement sur des scènes de combat (ce qui est, encore une fois, logique au vu du cahier des charges de cette publication), Clark parvient à aller au-delà de l’escarmouche bête et méchante, en faisant le lien avec le « macro-fluff » que constitue la Croisade Indomitus, et au travers de cette dernière, le retour de Guilliman et l’avènement des Space Marines Primaris. Enfin, la conclusion de la novella réussit à équilibrer de façon intéressante les côtés grimdark (Cassian, grièvement blessé lors de son combat contre Gulroch, atterri dans un caisson de Dreadnought) et épique (caméo de Guilliman, qui félicite son fils¹ de ses actions sur Kalides et rebooste roboute le moral de toute l’équipe en leur promettant une belle bagarre à ses côtés dans quelques jours) de 40K, ce qui donne au newbie une bonne idée de la tonalité des franchises de GW en général.
Au-delà de ces premières considérations, j’ai également apprécié le souci apporté par l’auteur à mettre en avant de façon positive toutes les forces en présence, y compris les antagonistes, ce que Werner n’avait pu ou voulu faire dans Sacrosaint. S’il n’y avait guère à s’employer pour les Primaris, dont la totalité du background hurle « onélégenti », les Cadiens et les Eldars ne sont pas en reste, les premiers étant dépeints comme des parangons de bravoure et de dévotion, se sachant surclassés et condamnés mais accomplissant leur devoir sans faillir jusqu’au bout² , les seconds comme les gardiens du destin de la galaxie et des psykers incomparables. La Death Guard n’est pas desservie non plus, et ne se contente pas de jouer les faire valoir pour la bleusaille de Guilliman. Dotés par Clark de qualités littéralement appréciables, dont une bonne humeur généralisée mais également une solidarité entre Légionnaires (ce qui nous change des méchants sociopathes qui détestent tout le monde), ainsi que d’une stratégie compréhensible et valable³ , Gurloch et ses affreux font jeu égal avec Cassian et ses vertueux en termes d’investissement du lecteur, ce qui est suffisamment rare pour être souligné.
Enfin, je dois reconnaître à Andy Clark une réelle capacité à intégrer à son propos des éléments clairement calibrés pour le lecteur BL confirmé, ce qui révèle une maîtrise et un intérêt pour le fluff qui sont évidemment des éléments positifs. Parmi les bonnes idées ou Easter Eggs parsemant Croisade, citons la joie incrédule du Capitaine Dzansk lorsque Cassian lui apprend que Guilliman a ressuscité (on a tendance à oublier que l’information ne circule pas aisément à l’échelle galactique, surtout avec le brouilleur géant que représente la Cicatrix), le petit clin d’œil théorique/pratique tiré du Codex Astartes, ou encore la vision comateuse de Cassian après sa victoire contre Gulroch, qui laisse sous-entendre que c’est Sanguinius en personne qui vient proposer au héros meurtri de déposer les armes. Au final, ce que j’aurais pensé n’être qu’une introduction passable au recueil de nouvelles Croisade et Autres Récits s’est révélé comme une des bonnes surprises de cet ouvrage, et l’un des textes les plus intéressants de ce dernier. Bravo Mr Clark, bravo.
¹ : Il aurait bien séché ses larmes aussi, mais sur un Dreadnought, c’est compliqué.
² : À l’image du Capitaine Dzansk, dont le sacrifice altruiste et explosif ne fut pas pour rien dans l’issue heureuse du combat entre Cassian et Gurloch.
³ : La lecture de la novella permet ainsi de comprendre pourquoi Gurloch, qui en avait pourtant la capacité, n’a pas envahi la forteresse de Dustrious avant l’arrivée des Ultramarines. La raison donnée par Clark est à la fois crédible et fluff, ce qui à mettre à son crédit.
Fluff:
Death Guard (organisation) : Il est fait mention d’un Plaguelord Morbidius, auquel est rattaché la force (assez conséquente, puisque comptant plusieurs centaines d’Astartes) du Seigneur Grulthor. Cette dernière appartient à la 3ème Compagnie Pesteuse de l’Enclume de Mortarion. La Death Guard récupère les glandes progénoïdes de ses défunts, et la bénédiction de Nurgle ne permet pas une conservation plus longue de ces précieux organes (rq : ce serait même plutôt le contraire, la pourriture rapide de ces derniers compromettant les chances d’une implantation réussie chez les aspirants de la Légion).
Death Guard (mentalité) : Aucun guerrier de la Death Guard ne refusera un ordre, même insultant, si cela risque de mettre en doute son endurance ou sa force (rq : c’est comme ça qu’Abaddon fait descendre les poubelles par Mortarion de façon très régulière). En tant que disciple de Nurgle, la Death Guard cherchera parfois à prolonger un combat qu’elle pourrait remporter rapidement afin de maximiser la souffrance et le désespoir de l’adversaire, ce qui contente le Grand-Père et permet à ses Champions de gagner son estime (rq : cela peut se retourner contre eux en laissant le temps à leurs ennemis de contre-attaquer ou à des renforts d’arriver sur place).
Nurgle (maladies) : Parmi les innombrables maux concoctés par ce dieu, on compte la slitherpox et le churning lung, utilisés par la Death Guard contre leurs ennemis.
Space Marines (organisation) : Les corps des frères de bataille tombés sont marqués sur les cartes tactiques avec des runes pour permettre aux Apothicaires de récupérer leurs glandes sans perdre de temps.
Ultramarines (Vaisseau nommé) : Le Primarch’s Sword est un croiseur d’attaque affecté à une Compagnie de Primaris pendant la Croisade Indomitus.
Par Red Qafe
Avant-Propos
Et voila la Red Qafe touche , merci a lui.
Vous pouvez le retrouver ici : https://www.warhammer-forum.com/index.php?/profile/236946-red-qafe/
Résumé
Nous suivons le lieutenant Cassian des Primaris Ultramarines, faisant partie avec ses troupes d'une force de frappe basée sur le croiseur d'attaque nommé "L'épée du Primarque", faisant partie de la Croisade Indomitus. Séparés du reste de la Croisade, leur croiseur se retrouve dans le système Kalides, en proie à une attaque de la Death Guard. Ils vont débarquer sur la planète principale pour combattre la Death Guard en supériorité numérique et tenter de se replier dans la tour astropathique largement défendue.
Bon, la nouvelle sert à introduire les Primaris et leurs unités de la V8, faire une histoire Ultramarines vs Death Guard (comme dans la trilogie sur Guilliman) et donc n'a rien de spécial pour quiconque lit les autres livres.
On va juste citer que Cassian est approché par des Aeldaris qui lui disent qu'il sauvera leur vaisseau monde ou un truc comme ça, et à la fin de l'histoire il est placé dans un sarcophage Dreadnought.