Burned

De Les Archives Infinies
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Par Gilian

Avant-Propos

Deuxième nouvelle du recueil pour Darius Hinks, et j’espère qu’il a fait mieux que pour la première.

L’histoire du livre

« Il y a de nombreuses années, un trio de gangsters Goliath a découvert quelque chose de rare et d'étonnant dans la ruche : les Ailes de Caliban, un symbole de l'Adeptus Astartes, auraient pu faire leur fortune... jusqu'à ce que les trois se séparent. Chacun prenant un morceau des Ailes, ils auraient pu se quitter en bons termes, mais l'un d'eux a fini par tomber dans une fournaise et a été cru mort. Mais maintenant, il est de retour et veut ce qui lui appartient... et probablement aussi une bonne dose de vengeance. Pour réunir les Ailes, il faudra cependant récupérer un morceau des mains des fanatiques de la Maison Cawdor. »

L’histoire avec un grand H

Il y a environ dix ans, trois gangers Goliath ont mis la main sur une épée de Caliban. Cet artefact aurait pu leur apporter une immense fortune. Ils ont décidé de diviser l’artefact en trois parties en attendant de trouver un acheteur et ont continué leur vie de gangers. Malheureusement, lors d’une attaque contre leur quartier général, Khorg, un membre du trio, s’est retrouvé écrasé sous un éboulement. Thornax, quant à lui, a été poussé dans une fournaise et y est mort.

Mais il y a quelques jours, le troisième membre du trio a reçu un message de Thornax, lui demandant de retrouver Khorg et de l’amener à la fonderie pour reforger l’artefact. Bien qu’il soit sceptique, car il sait que Thornax est mort (c’est lui qui l’a tué), notre héros décide d’aller chercher Khorg. Une fois de retour à la fonderie, il comprend que Khorg l’a vu tuer Thornax et l’a amené ici pour le pousser lui aussi dans la fournaise en marche et venger son ami.

Conclusion

Je dois avouer que Darius Hinks a réussi à me surprendre. C’est une histoire classique de vengeance entre Goliath, donc ce n’est pas très subtil, mais la brute qui en fait n’est pas si brute que ça et l’utilisation d’un artefact antique comme fil rouge est bien pensée.

Cela prouve qu’avec une histoire classique, on peut quand même faire quelque chose de surprenant.

Malgré tout, cela reste une histoire plutôt moyenne dans le recueil.