The Will of the Legion
L’histoire du livre
A la tête de la 3ème flotte expéditionnaire, Rogan Dorn parcourt l’espace à la recherche de mondes humains à rallier à l’imperium. Mais alors qu’il s’approche d’une ceinture d’astéroïdes, ils sont attaqués par les Driftborns.
L’histoire avec un grand H
A peine arrivée dans le domaine contrôlé par les Driftborns, la flotte impériale s’est faite attaquer, sans avoir eu le temps d’entrer en contact avec leur ennemi, sans avoir eu le temps de s’identifier.
L’attaque a été vite contrecarrée, aucune population humaine ne pouvait vraiment rivaliser avec des space marines mais cette action avait eu pour conséquence d’énerver Rogan Dorn. Le primarque, qui n’était déjà pas porté sur la clémence et la patienced décide d’utiliser les grands moyens et de déployer toute sa légion dans une attaque frontale des cités adverses.
Mais il avait un plan pour accélérer la fin de la guerre. Après s’être emparé des systèmes de survie de toutes les villes adverses, il propose un ultimatum aux Driftborns, soit ils se rendent soit ils seront exterminés avec tous leurs civils et disparaîtront à jamais.
Les Driftborn décident sagement de se rendre.
Conclusion
Je ne vous cacherai pas que je connais plus Andy Clark pour des petites nouvelles dans White Dwarf que pour da contribution à la black Library. Le seul roman que j’ai lu de lui « le poing de l’imperium » était relativement moyen. Si cette nouvelle ne fait pas exception à la règle et est, elle aussi, plutôt moyenne, Clark aborde un point crucial des space marines. L’obéissance à leur primarque. Ils sont presque génétiquement incapables d’aller contre la volonté de leur primarque. Même s’ils ne sont pas tout à fait sûrs qu’il ait raison, sa simple présence et son aura permettent à un primarque d’avoir une emprise presque totale sur sa légion.