Blood Sport

Par Gilian

Avant-Propos

Nouvelle de Josh Reynolds, un pillier de la blacklibrary a cette époque (dans les années 2010), Voyons voir ce qu’il arrive a nous écrire dans une nouvelle de 1000 mots

L’histoire du livre

Gotrek et Felix font le voyage entre l’Empire et la Bretonnie, ils arrivent dans un avant-poste commercial ou se deroule des combats d’arène.

L’histoire avec un grand H

Gotrek Gurnisson et Felix Jaeger arrivent dans un avant-poste commercial où se tient un spectacle sanglant : un hippogryphe, surnommé le Roi du Col, est utilisé pour des combats en arène. Depuis trois ans, la créature défie tous ses adversaires, survivant là où d’autres périssent en quelques jours.

Dès qu’il aperçoit la bête, Gotrek décide de l’affronter, indifférent aux tentatives de Felix pour le raisonner. Pour lui, ce n’est pas une question d’argent, ni même de gloire : il sent un défi digne de son attention. Le combat s’engage dans l’arène sous les cris de la foule avide de sang.

L’hippogryphe se révèle un adversaire redoutable : il attaque avec ses serres, ses ailes et ses sabots, manquant de peu d’envoyer Gotrek au tapis. Mais le Tueur, plus agile qu’on pourrait l’imaginer, évite ses coups et riposte avec sa hache légendaire. Même après avoir pris un violent coup à l’épaule, qu’il remet en place sans broncher, il reste imperturbable. Alors que tout le monde s’attend à ce qu’il abatte la bête, Gotrek fait l’impensable : il s’agrippe aux plumes du monstre et grimpe sur son dos. L’hippogryphe, furieux, se débat et bondit dans les airs, percutant violemment le filet qui surplombe l’arène. Felix assiste, médusé, à la scène. Puis, d’un geste brutal, Gotrek tranche le filet, libérant la créature qui s’envole vers sa liberté, loin du joug de l’arène.

L’arène sombre dans le chaos. Les spectateurs crient, les gardiens paniquent, les paris sont ruinés. Gotrek, lui, se redresse, satisfait, tandis que Felix comprend qu’ils viennent de s’attirer les foudres des propriétaires. Bientôt, les gardes de l’arène se ruent sur eux, armes dégainées.

Avec un sourire féroce, Gotrek passe son pouce sur le fil de sa hache et lâche, amusé : "Nous devrions tous être libres de chercher notre propre destin." Puis, alors que les gardes s’approchent, il lève sa hache, prêt à en découdre : "Allons aider ces idiots à trouver le leur, hein ?"

Conclusion

Alors la je dois dire que Josh Reynolds m’a totalement pris par surprise, je pensais vraiment que Gotrek allait tuer l’Hippogryphe et par la même se mettre a dos les organisateur de combat. Mais au lieu de cela le tueur libere la bête…

Très bonne petite nouvelle.

Par Schattra

Avant-Propos

Et voila la Schattra touche , merci a lui.
Vous pouvez le retrouver ici : https://nebelheim.wordpress.com/

Ou ici : https://www.warhammer-forum.com/index.php?/profile/27242-schattra/

Intrigue

Sur le chemin de la Bretonnie, Gotrek et Felix font halte dans un campement de trappeurs au milieu de la Trouée de Gisoreux. La spécialité locale étant le combat en arène contre les diverses bêtes fantastiques nichant dans les Montagnes Grises, le Tueur décide de se dégourdir la hache en se mesurant au « Roi de la Trouée », un hippogriffe dont le mauvais caractère et les griffes et le bec acérés lui ont permis de survivre pendant trois ans contre tous les combattants, humains et bestiaux, lui ayant été opposé.

Comme à son habitude, Felix trouve l’idée de son compagnon absolument débile mais on ne décourage pas un Nain suicidaire comme cela, et Gotrek ne tarde pas à entrer en lice contre la bête sauvage, pour le plus grand bonheur de la foule assoiffé de sang qui se presse dans les gradins…

…Personne ne s’attendait toutefois à l’issue de ce match, qui se solde par une victoire par abandon. Gotrek s’arrange en effet pour couper le filet qui maintenait l’hippogriffe prisonnier de l’arène, permettant à la noble bestiole de retrouver sa liberté. Comme il l’explique à un Felix venu aux nouvelles après avoir vu son compagnon mordre la poussière après son action PETAesque, chacun devrait avoir la possibilité de choisir son destin, même les amalgames pigeon/poney/manul. Notre histoire se termine au moment où la paire mal assortie est confrontée par les belluaires de l’arène, peu satisfaits de la perte de leur gagne-pain. Je comprends leur frustration mais pense qu’ils auraient mieux fait de laisser filer pour cette fois…

Avis

De manière assez maligne, Josh Reynolds détourne le schéma classique d’une « histoire de Gotrek » et montre que ce héros torturé n’est pas une simple brute obnubilée par sa quête morbide, mais un personnage complexe et encore honorable sous bien des aspects. Le format 1.000 mots se prête parfaitement à ce petit détournement des codes de la série, et c’est encore une soumission pertinente à la clé pour Herr Reynolds.