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Deuxième recueil de nouvelles de la série primarques, encore plus petit que le précèdent avec seulement 125 pages (je n’ai jamais le même nombre de pages sur la version numérique que sur la version papier… Je ne sais pas trop d’où cela vient.). C’est donc reparti pour les aventures de notre fratrie préférée.
Deuxième recueil de nouvelles de la série primarques, encore plus petit que le précèdent avec seulement 125 pages (je n’ai jamais le même nombre de pages sur la version numérique que sur la version papier… Je ne sais pas trop d’où cela vient.). C’est donc reparti pour les aventures de notre fratrie préférée.


==Canticle==
==Nouvelles en Anglais==
[[Canticle]] de [[David Guymer]]<br />
[[The Verdict of the Scythe]] de [[David Annandale]]<br />
[[A Game of Opposites]] de [[Guy Haley]]<br />
[[Better Angels]] de [[Ian St. Martin]]<br />
[[The Conqueror's Truth]] de [[Gav Thorpe]]<br />
[[The Sinew of War]] de [[Darius Hinks]]<br />
[[The Chamber at the end of Memory]] de [[James Swallow]]<br />
[[First Legion]] de [[Chris Wraight]]<br />


===L’histoire du livre===
==Nouvelles en Français==
 
Ce recueil n'est pas encore traduit.
La capsule numéro 10 contenant un primarque a atterri sur un monde peuplé de créatures étranges…
 
===L’histoire avec un grand H===
 
Au cours de sa jeune existence, l’enfant qui deviendra plus tard Ferrus Magnus a eu plusieurs noms, donnés en général par ses ennemis, mais il s’est aussi donné un nom lui-même : le chasseur. Parce qu’il a commis une petite erreur après s’être extrait de sa capsule, il a libéré Asimoth par mégarde et a donc décidé de le chasser.
Au cours de son voyage il va rencontrer beaucoup de monstres, de xenos et de créatures mécaniques mais très peu d’humains. Les seuls qu’il va croiser sont déjà morts…
Il finit par croiser une humaine vivante qui lui propose de rejoindre son clan mais Ferrus Manus préfère finir sa quête avant de rejoindre les siens.
 
===Conclusion===
 
Cela ressemble plus à un premier chapitre qu’à une nouvelle, on apprend rien sur le primarque. J’ai un peu l’impression que Guymer est totalement passé à coté du sujet. La seul chose que j’en retiens c’est qu’il semble y avoir des necrons sur Medusa et du coup le transfert dans un corps mécanique, interdit plus tard avec le protocole clef de Hell, prend encore plus la voie d’une inspiration necron.  J’espère que la suite du recueil sera meilleure.
 
==The Verdict Of The Scythe==
 
===L’histoire du livre===
 
Mortarion s’apprête à mettre fin à la guerre contre Absyrtus de manière expéditive mais, après avoir été critiqué par ses frères et son père pour les techniques un peu trop brutales utilisées lors de la précédente campagne, il décide d’être plus magnanime.
 
===L’histoire avec un grand H===
 
Lors de la campagne de Galaspar, Mortarion avait utilisé une technique audacieuse pour mettre un terme rapide au combat, il avait fait descendre et se poser/s’écraser une barge de bataille directement sur la capitale ennemie, décapitant net le gouvernement ennemi mais tuant par là même toute la population de la cité-ruche.
 
Il décide donc cette fois d’utilisrt une technique un peu moins brutale. Alors qu’il attaque la planète Absyrtus, il décide de faire atterrir la barge de bataille sur le spatioport de la capitale Temnis ce qui va limiter les pertes civiles.
Avec l’impact et l’onde de choc provoqués par l’écrasement de la barge, la plus grande partie des défenses de la capitale ont été détruites et le gouvernement demande à se rendre.
Mortarion accepte la reddition de la planète, à la plus grande incompréhension de ses capitaines et lieutenants les plus proches qui pensaient pouvoir exterminer la population locale.
Pour une fois, il avait fait preuve de magnanimité et de mansuétude.
Ce monde ressemblait tellement à Barbarus, un peuple humain esclaves d’une caste de sorciers. Il avait envie de leur donner une chance.
Mais il s’est vite aperçu que ça n’avait rien à voir avec Barbarus. Le Warp et les psykers étaient partout, les humains étaient tous infectés et il n’y avait rien à sauver. Il avait été dupé ou s’était dupé lui-même mais il ne ferait plus la même erreur.
Il était Mortarion de la Death Guard et il amenait la mort comme libération. Et il donne l’ordre de détruire la planète.
 
===Conclusion===
 
Nouvelle bien meilleure que la première. Bien qu’elle n’apporte rien de nouveau sur le caractère de Mortarion, elle conforte sa phobie des psykers et ses manières expéditives de régler un conflit. Cette nouvelles coche toute les cases de la série primarque et du format de la nouvelle (même si la surprise finale est attendue par tout connaisseur de Mortarion).
 
==A Game Of Opposites==
 
===L’histoire du livre===
 
Le forgeron de guerre Xyrokles affronte des White Scars dans la périphérie de Beta Garmon et décide de les prendre à leur propre piège.
 
==L’histoire avec un grand H===
 
Aux prises avec une force de White Scars qui utilise leur technique favorite de Hit and Run, les force Iron Warriors sont totalement prises au dépourvu et les pertes ne cessent d’augmenter.
Mais leur commandant, Xyrokles a étudié les techniques adverses et lu plusieurs traités de stratégise écrits par Jaghataï Khan en personne et il pense pouvoir les prendre à leur propre jeu.
 
Il organise donc une embuscade en laissant entrevoir la possibilité à l’ennemi de détruire le gros de ses forces sans peine. Bien entendu, les White Scars tombent dans l’embuscade et, alors que Xyrokles est à deux doigts de les exterminer, il comprend que c’est lui qui est tombé dans une embuscade en voyant débarquer une deuxième force de White Scars sous l’ordre de Jaghataï en personne.
En quelques instants ça en a été fini,  la résistance ennemie est annihilée et Jaghataï se laisse juste le temps de s’entretenir avec le général adverse avant d’ordonner de faire route vers Beta Garmon.
Sanguinius a besoin de lui, les frappes sur les positions défensived des Iron Warriors sont finies ; Guilliman et ses ultramarines devront se frayer un chemin seul.
 
===Conclusion===
 
Guy Haley n’apporte rien de nouveau avec cette nouvelle, il conforte seulement la position de négateur et de libre penseur de Jaghataï Khan. Le duo constitué par les Iron Warriors dénote pas mal de l'idée que je me fais de leur légion mais mes compétences en anglais ne me permettent pas de pleinement apprécier leur jeu de mot. Nouvelle agréable à lire mais sans plus.
 
==Better Angels==
 
===L’histoire du livre===
 
Pour Sanguinius l’art a toujours eu une importance particulière et il a toujours insisté pour que ses légionnaires pratiquent une telle activité… Du moins avant le début de l’hérésie d’Horus.
 
===L’histoire avec un grand H===
 
Jehoel vient de finir son apprentissage et a été pleinement intégré à la légion, mais il n’a pas appris qu’à se battre, il a aussi appris à travailler le verre. Sanguinius a toujours voulu que ses légionnaires soit aussi des artistes.
Tout au long de sa vie, de la grande croisade à Terra, en passant par Signus Prime, la trahison d’Horus, et l’imperium Secundus. Jehoel n’a eu de cesse d’améliorer sont art mais Sanguinius a toujours trouvé des défauts… Maintenant qu’ils sont sur Terra, Sanguinius lui avoue que les défauts ne disparaissent jamais, rien ne peut vraiment être parfait et l’important n’est pas d’être parfait mais d’essayer d’y arriver.
 
===Conclusion===
 
C’est l’OVNI du recueil, je ne dirais pas que Ian St. Martin s’est trompé de sujet, je pense juste qu’il s'est lancé dans quelque chose qui n’a rien à voir avec les primarques. C’est un résumé très/trop rapide de l’histoire de la IXème légion et de son primarque.
Il y a quand même une constante avec l’autre récit sur Sanguinius c’est son éternel questionnement sur l’avenir des primarques et des légions après la guerre. Il n’aura jamais la réponse car la guerre est éternelle au final.
Même si c’est un peu hors sujet la nouvelle reste plaisante.
 
==The Conqueror’s Truth==
 
===L’histoire du livre===
 
Ennylin Ares s’ennuie et cherche de l’action, elle demande donc à être mutée et à participer à la croisade avec les Night Lords.
 
===L’histoire avec un grand H===
 
Ennylin Ares avait été choisie pour faire partie du corps des Commémorateurs et ça avait été le plus beau jour de sa vie. Elle devait embarquer avec une flotte d’expédition et enregistrer pour la postérité les faits marquants de la croisade.
Seulement elle avait vite déchanté, elle s’était retrouvée dans le 38ème flotte d'exploration qui n’était fait qu’une flotte de soutien et qui ne verrait jamais de combats ni de vraie mise en conformité de planète.
Mais lors du passage de sa flotte dans le système Vestogorn, sa chance a tourné et la 38ème flotte a croisé la route d’une autre flotte d’exploration, une flotte space marine, elle a donc tenté sa chance en demandant à la rejoindre, ce qui a été accepté sur le champ.
La voila donc sur le Nighfall à être briefée par Curze en personne avant de participer à l’assaut planétaire au coté du capitaine Sevatar.
Et c’est à ce moment là que sa vie a vraiment basculé. Elle a filmé la façon de faire la guerre des Night Lords et de leur primarque parce que Curze voulait envoyer un message à Terra, leur montrer ce qu’était vraiment la guerre. Elle a filmé la mise en conformité de la planète… Mais juste de la planète pas de la population, parce que la population a été massacrée et a servi de carburant dans les puits géothermiques…
 
===Conclusion===
 
C’est toujours assez intéressant de voir les Night Lords tiraillés entre ADB et Thorpe, l’un est plus porté sur la psychologie et l’autre sur l’action mais au final ils parlent de la même chose.
Thorpe nous dépeint un Curze totalement désinhibé qui ne cherche pas d’excuses à la violence. Là où d’autres primarques semble navrés de tuer les gens, lui assume totalement la mission qui lui a été confiée. Je trouve que cette nouvelle pourrait être une bonne réponse si quelqu’un vous demande en quoi les Night Lords sont différents des autres légions.
 
==The Sinew off War==
 
===L’histoire du livre===
 
C’est la guerre civile sur Macragge, Konor vient de mourir et Guilliman doit rétablir la situation.
 
===L’histoire avec un grand H===
 
Alors qu’il rentre de la campagne de pacification de l’Illyrie qui s’était révoltée, Guilliman trouve Maccrae à feu et à sang. Des régiments de l’armée ont commencé à se révolter et ont donné l’assaut au sénat et à la maison consulaire.
Après avoir envoyé une partie de ses troupes protéger le Sénat, il part en direction de la maison consulaire pour aller sauver son père, le consul Konor. Malheureusement il arrive trop tard et Konor est déjà mort.
L’autre consul étant toujours vivant, ils décident tous les deux de se rendre au sénat pour reprendre le contrôle de la situation et rétablir un semblant d’ordre.
Mais avant cela, Guilliman doit aller se changer car on n’entre pas en armse dans le sénat. C’est à ce moment que les assassins de Konor viennent finir le travail et essaient de le tuer. Mais on ne tue pas un primarque aussi facilement et Guilliman se débarrasse aisément de ses agresseurs avant de rejoindre Gallan au sénat.
Arrivé au sénat, il a la surprise de voir Gallan annoncer que Konor et son fils sont morts alors qu’ils tentaient de prendre le pouvoir après un coup d’état mené avec le soutien de la plèbe. L’arrivée de Guilliman bouscule le planning prévu par Gallan et ce dernier est confondu par le primarque qui lui fait avouer tous ses crimes.
Le sénat se range du coté de Guilliman qui en profite pour devenir consul des 500 mondes.
 
===Conclusion===
 
Bon c’est vrai qu’on s’éloigne du cahier des charges de la série primarques avec des événements qui se sont passés avant la grande croisade mais c’est un moment marquant de l’histoire de Guilliman, et c’est exactement ce genre de nouvelle que j’attendais dans cette série. Darius Hinks s’en sort très bien ; et même s'il n’y a aucun suspense, vu qu’on sait presque tous comment ça s’est passé, il faut reconnaître que l’auteur a très bien mis ça en scène.
On oublie souvent que ce passage de l’histoire se résumait à : Guilliman a été envoyé en Illyrie par Gallan pour pouvoir assassiner son père. Apprenant la mort de son père, il revient et après avoir arrêter les conspirateurs, prend le pouvoir…
 
Là, on a une histoire plus poussée avec un Guilliman qui agit avec plus de doigté qu’un coup d’état.
 
==The Chamber At The End Of Memory==
 
===L’histoire du livre===
 
Alors que les travaux de fortification de Terra sont en cours, les hommes de Dorn font une découverte surprenante.
 
===L’histoire avec un grand H===
 
Alors que la flotte du maître de guerre approche de plus en plus de Terra, les Imperial Fists, sous les ordres de Rogan Dorn leur primarque, continuent de fortifier Terra.
Alors que Rogan Dorn fait une tournée d’inspection et en profite pour effectuer les derniers ajustements à l’ensemble défensif du palais, une explosion a lieu au niveau des tours de stockage proche de l’investiary (un ancien amphithéâtre créer a la gloire des enfants de l’empereur). Craignant un sabotage de la part des partisans d’Horus, Dorn se précipite sur place.
 
Arrivé sur place, il ne peut que constater l’étendu des dégâts, il y a des cadavres partout et ils semblent avoir été soufflés depuis l’intérieur du bâtiment. Dorn décide d’entrer dans le bâtiment sans attendre les renforts, et au fur et à mesure de son avancée il rencontre de plus en plus de cadavres et de dispositifs de défense qui essaient d’empêcher sa progression. Mais ce n’est pas ça qui va arrêter un primarque…
En fait, ce qui va le forcer à faire demi tour, c’est ne forme de pressentiment, quelque chose ancré au plus profond de lui l’empêche d’avancer.  Devant l’impossibilité de mettre le doigt sur ce qui ne va pas, il décide de faire intervenir un des bibliothécaires (les psykers de sa légion) qui sont stationnés sur Phalanx, la forteresse spatiale en orbite autour de Terra.
 
C’est Yored Massak, le chef des bibliothécaires, qui viendra aider son primarque. A eux deux, ils progressent jusqu’à arriver au bout du couloir ou il y a deux portes marquées des chiffre II et XI.
Rogan Dorn essaie de se souvenir mais quelque chose l’en empêche et Massak finit par découvrir une trace psychique qui désigne la personne qui a mis tout ça en place, il s’agit de Malcador le Sigilite.
Le Sigilite, qui en profite pour faire son apparition et une discussion tendue s’engage entre le primarque et Malcador. Le premier reprochant au deuxième d’avoir trafiqué sa mémoire et le deuxième se défendant en disant qu’il a fait ça avec sa permission et pour son bien.
Après cette franche explication, Dorn se range aux arguments de Malcador et décide de faire enfouir l’entrée du bâtiment à jamais.
 
===Les primarques perdus===
 
Je vais profiter de cette nouvelle pour faire un petit résumé de ce que l’on sait sur nos deux disparus.
 
Avant le début de l’Hérésie d’Horus, l’empereur avait créé 20 primarques (21 si on prend en compte la gémellité du 20eme). Sur ces 20 primarques, 2 vont mystérieusement disparaître des annales de l’histoire mais aussi de la mémoire collective.
Tout cela ne s’est pas passé en une fois.
En premier lieu, les primarques ont fait la promesse à l’Empereur de ne plus en parler, que ce soit avec lui, entre eux ou avec n’importe qui.
Ensuite (dans la nouvelle « le dernier conseil ») Malcador aurait pris la décision de faire disparaître toute trace des primarques des annales impériales mais aussi physiquement. Leurs statues dans l’investiary ont été enlevées et leurs appartements sur Terra déplacés dans les profondeurs du palais (la où Dorn les retrouve). Cette nouvelle ne plaît pas aux primarques restant, surtout à Horus, Alpharius et Jaghataï.
Par la suite, Malcador a altéré la conscience des primarques qui connaissaient les deux disparus pour les empêcher de s’en souvenir. Il a manipulé leur esprit. Cela a, d’après Malcador, été décidé en accord avec Dorn et Guilliman.
 
Voila pour l’historique, maintenant les petites choses que l’on apprend :
-Dorn et Guilliman ont milité pour que les légionnaires des deux légions appartenant aux primarques disparus ne soient pas annihilées mais intégrées dans les légions restantes.
-Les deux primarques ont disparu à des moments différents et pas à cause du même événement.
-Très peu de primarques  connaissaient réellement les deux.
- S'ils étaient encore vivants au moment de l’hérésie d’Horus, alors la guerre aurait été perdue
-Apparemment le débat sur les primarques disparue pourra reprendre après l’hérésie d’Horus mais pas pour le moment ça diviserait l’unité impériale.
 
===Mon Analyse===
Alors, au dessus, ce sont des faits tirés des livres maintenant ce qui suit, c’est juste mon avis.
Ce que Dorn découvre sur Terra ce sont les appartements des primarques, et leur ouverture pourrait remettre en cause l’imperium. De plus Dorn connaissait les deux primarques, ils ont donc participé à un moment à la grande croisade.
On a l’impression que tout a été manigancé par Malcador sans que l’Empereur ne s’en mêle. D’ailleurs l’effacement des souvenirs a l’air d’intervenir à cause de la colère d’Horus, Malcador justifie ca en disant que le souvenir des primarques serait cause de dissension.
Au final, on apprend rien de nouveau mais je me pose la question de savoir ce qui pourrait être pire que l’hérésie d’Horus à ce moment la.
 
===Conclusion===
Je ne suis pas un grand fan de James Swallow, personnellement je trouve que sur l’Hérésie d’Horus il n’a pas été l’un des meilleurs auteurs mais il s’est bien rattrapé avec la guerre secrète menée par Garro et les hommes de mains de Malcador. Mais là, je dois admettre qu’il a eu un sujet très difficile à traiter : les primarques perdus. On sait que Games Workshop et la Black Library sont peut enclin à laisser leurs auteurs aborder ce sujet brûlant et je trouve que  Swallow s’en sort très bien. Après, ça vient peut être de la façon d’écrire de Swallow qui est toujours fouillis et  part dans tous les sens pour au final  ne donner aucune certitude. En tout cas, ça va bien avec le thème.
 
==First Légion de Chris Wraight==
 
===L’histoire du livre===
 
En plein Rangdan Xenocide, l’Alpha Légion vient jouer les trouble-fêtes.
 
===L’histoire avec un grand H===
 
Le capitaine Arnaid dirige la 45ème compagnie du 8ème Ordre de la 1ère Légion.  Après six ans de combats contre les xenos Rangdan, sa compagnie et son vaisseau sont dans un triste état, tout comme le reste de la légion, mais la campagne arrive à un point critique et il continue à faire son devoir.
D’ailleurs au cours de sa patrouille, il croise un vaisseau impérial dépourvu de toute identification qui s’approche dangereusement de la zone d’interdiction sans répondre aux demandex d’identification. 
Au moment où il s’apprête à ordonner de tirer sur le navire, ce dernier s’identifie, c’est un navire de la XXème légion et, à son bord, se trouve Alpharius qui aimerait entrer en contact avec Lion El ’Jonson. 
 
Le primarque accepte de le recevoir et lui demande ce qu’il veut. Alpharius lui explique, que dans les années à venir, lorsque les primarques seront tous réunis, l’empereur se retirera de la croisade et nommera un maître de guerre. Ce maitre de guerre devrait être le primarque de la première légion, mais avec les pertes subies par les dark angels pendant cette campagne, la légion est en train de s’affaiblir et ne pourra plus retrouver la première place. Il propose donc à Jonson de se retirer sur Caliban et d’aller s’y renforcer et réorganiser ses forces pendant que la XXème légion finit le travail.
Jonson est septique devant la proposition d’Alpharius mais de toute façon son serment de loyauté est plus fort que tout, il a promis de défendre l’imperium et il ne laissera rien le faire dévier de sa tâche.
 
===Le contexte===
 
Il y a eu trois Rangdan Xenocides :
Au cours du premier, les Dark Angels sont commandés par Urian Vendraig et coûte plus de 10000 hommes à la légion.
Le deuxième affrontement dure plus de 20 ans et coûte encore beaucoup d’hommes aux Dark Angels qui sont cette fois commandés par leur primarque.
Le troisième affrontement est un génocide, la planète originale des Rangdan ayant été découverte, il s’en est suivi six ans de massacres menés par Jonson et Russ. Mais cela a encore coûté 50000 hommes aux Dark Angels.
 
===La XXème légion ? Vraiment ?===
 
Il faut savoir que Chris Wraight est un auteur méticuleux, quand il se lance dans un récit il réunit le plus de données possibles sur ce qu’il va aborder.
Wraight insiste plusieurs fois sur le fait que la guerre a commencé il y a six ans et qu’elle arrive à son terme. De plus, il parle de l’extermination des derniers Rangdans. On est donc au cours de la 3ème guerre.
On se retrouve avec un unique légionnaire qui dit venir de la XXème légion et qui dit s’appeler Alpharius, et qui connaît l’avenir…
Rien n’est jamais aussi simple avec la XXème légion. Et ça me rappelle justement le livre « légion » écrit il y a 15 ans. Dans ce roman, la Cabale dit à Alpharius qu’elle a essayé de rallier la première Légion mais que ça a été un échec et que maintenant la seule légion qui n’est pas corrompue c’est la XXème.
Du coup… Si c’était la Cabale et pas la XXème Légion qui essayait de renvoyer Jonson sur Caliban pour reprendre les choses en mains avant qu’il ne soit trop tard ?
Ou alors la XXème c’est bien des enfoirés.
 
===Conclusion===
Chris Wraight rend une bonne copie en mettant bien en valeur ce que l’on sait des deux légions en présence. Je trouve qu’il continue sur sa lancée (apres Leman Russ) avec le parallèle entre Russ et Jonson, Jonson qui se fait appeler le chasseur et le tueur de bêtes. Qui est totalement détaché du pouvoir et qui ne pense qu’à accomplir son devoir, comme Leman Russ en fait.
C’est quand même drôle le nombre de nouvelles et de livres où les Dark Angels sont décrits comme profondément fidèles … Et l’opinion publique des lecteurs qui veut que ça soit des traîtres^^.
Là où Wraight est fort, c’est qu’encore une fois avec l’intervention de la XXème légion, on se pose plus de questions que ça n’apporte de réponses.
NOTE: Les réponses viennent avec le tome 14 des primarques consacré à Alpharius)


==Conclusion générale==
==Conclusion générale==
Pas de grande révélations dans ce recueil mais quand même de bonnes nouvelles qui expliquent l’évolution de certains primarques comme « the verdict of the scythe » ou « the Conqueror’s Truth », et un petit coup de cœur pour les trois dernières nouvelles du recueil, avec Hinks et Swallow qui me surprennent mais ils ont eu des sujets porteurs quand même, et Chris Wraight qui nous sort une bonne contribution pour clore ce recueil.
Pas de grande révélations dans ce recueil mais quand même de bonnes nouvelles qui expliquent l’évolution de certains primarques comme « the verdict of the scythe » ou « the Conqueror’s Truth », et un petit coup de cœur pour les trois dernières nouvelles du recueil, avec Hinks et Swallow qui me surprennent mais ils ont eu des sujets porteurs quand même, et Chris Wraight qui nous sort une bonne contribution pour clore ce recueil.

Version du 15 juillet 2022 à 12:57

Avant-Propos

Deuxième recueil de nouvelles de la série primarques, encore plus petit que le précèdent avec seulement 125 pages (je n’ai jamais le même nombre de pages sur la version numérique que sur la version papier… Je ne sais pas trop d’où cela vient.). C’est donc reparti pour les aventures de notre fratrie préférée.

Nouvelles en Anglais

Canticle de David Guymer
The Verdict of the Scythe de David Annandale
A Game of Opposites de Guy Haley
Better Angels de Ian St. Martin
The Conqueror's Truth de Gav Thorpe
The Sinew of War de Darius Hinks
The Chamber at the end of Memory de James Swallow
First Legion de Chris Wraight

Nouvelles en Français

Ce recueil n'est pas encore traduit.

Conclusion générale

Pas de grande révélations dans ce recueil mais quand même de bonnes nouvelles qui expliquent l’évolution de certains primarques comme « the verdict of the scythe » ou « the Conqueror’s Truth », et un petit coup de cœur pour les trois dernières nouvelles du recueil, avec Hinks et Swallow qui me surprennent mais ils ont eu des sujets porteurs quand même, et Chris Wraight qui nous sort une bonne contribution pour clore ce recueil.