Sarcophagus

De Les Archives Infinies
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Par Gilian

L’histoire

Yarrick est de retour sur Armageddon et fait une tournée d’inspection pendant la 3eme guerre D’Armageddon justement.
Seulement une bataille Aérienne l’empêche de revenir à son point de départ. Il décide donc de rentrer en convois blindé. Le convoi se fait démolir par une attaque blindé et des vagues d’Orks attaquent les carcasses de char pour tuer Yarrick. Heureusement des space marine passe par la et le sauve.
C’est à ce moment que Yarrick commence à penser que Gazkull qui lui en veut personnellement est peut-être plus intelligent que prévue et a mis sur écoute les communications imperial pour lui tendre une embuscade…

Personnages

On en apprend un peu plus sur la vie de Yarrick mais rien de vraiment intéressant.

Avis

Bof^^. On lit un rapport d’évènement raconté par Yarrick donc même un néophyte comprendra dès le début de la nouvelle qu’il va survivre… En plus bon Yarrick affronte Gazkull depuis des Dizaines d’années et il a toujours pas compris le fonctionnement du big boss ?
Déçus par la nouvelle qui apporte rien et donne même pas envie de lire la suite.
Ça tombe bien parce que la suite n’existe pas en français :p
En VO : La nouvelle est tirée de l’omnibus Yarrick de David Annandale et elle se situe en dernier dans l’omnibus.
En VF seulement la première nouvelle est sortie en français et c’est le crédo imperial la suite n’a jamais été traduit.

Par Schattra

Avant-Propos

Et voila la Schattra touche , merci a lui.
Vous pouvez le retrouver ici : https://nebelheim.wordpress.com/

Ou ici : https://www.warhammer-forum.com/index.php?/profile/27242-schattra/

Intrigue:

Du temps où Armageddon était encore la priorité de l’Imperium en termes de conflit, et bien avant que cette feignasse de Guilliman se tire enfin de dessous sa couette après sa grasse matinée plurimillénaire, nous retrouvons un héros impérial, un vrai, en la personne de cette vieille baderne de Commissaire Yarrick. Guéri de sa lubie offensive après la péripétie de Golgotha, Seb la Pince est tiré de sa pré-retraite par le retour de son vieux copain Ghazghkull, déterminé à fêter comme il se doit ses noces d’azalée avec Armageddon, qui débarque en forme et en force sur la planète, 57 ans plus tard. Notre propos traite d’une anecdote mineure ayant pris place durant la 3ème guerre planétaire (les guerres mondiales, c’est connoté), alors que Yarrick s’était octroyé un week-end de repos1 dans l’arrière rucher Armageddonesque.

Ayant pris un AirBnB dans la petite bourgade d’Anaon (3 milliards d’habitants à peine), notre stoïque senior accepte de jouer le jeu de la propagande en passant en revue les troupes, serrant quelques paluches et pinçant les joues des bébés (avec sa bonne main j’espère, sinon les parents risquent d’être un peu surpris), afin de soutenir le moral des assiégés. Ces formalités effectuées, il faut penser à retourner au front, le vrai, mais cela ne pourra pas se faire par voie aérienne pour cause de bataille entre Marauders impériaux et chassa-bombas orks dans la zone. Qu’à cela ne tienne, Yarrick use de son charme légendaire, de son regard de braise et de son haleine parfumée pour convaincre un convoi blindé en partance pour Tartarus de le prendre à son bord. C’est avec grand plaisir que le Capitaine Veit Morena de la Légion d’Acier accepte de prendre sous son aile et blindage renforcé le héros de tout un peuple, même si je me demande bien comment Yarrick arrive à rentrer son énorme engin dans un habitacle de tank fort exigu. Les voies de l’Empereur sont décidément impénétrables (mais les écoutilles de Leman Russ, non).

Malheureusement pour nos easy riders, la route n’est pas de tout repos. L’arrivée d’une paire de Gargants sur la ligne d’horizon force la colonne blindée à faire un large détour pour éviter cette fâcheuse rencontre, ce qui, en plus de mettre Yarrick en retard pour son épisode d’Inspecteur Morse du dimanche soir, met son escorte sur le chemin d’une escadrille Ork. Pris à découvert par un ennemi tout aussi mortel et invulnérable que les gundams peaux-vertes, les impériaux prennent une drache des plus sévères, qui retourne le tank du Commissaire priseur (plus facile que de fumer la pipe avec une seule main) comme une crêpe, et met ce dernier KO pendant un petit moment.

À son réveil, et constatant rapidement qu’il est probablement le seul survivant du véhicule grâce à son statut de personnage nommé et renommé, Yarrick se retrouve confronté à des problèmes pratiques d’un genre un peu spécial. Plongé dans le noir, sans possibilité de s’orienter et piégé par l’épaisseur même du blindage après que ce dernier lui ait probablement sauvé la vie, Seb se résout finalement, après une longue discussion avec lui-même (c’est moche la vieillesse tout de même) à pianoter la carlingue de son petit studio avec sa pince métallique, dans l’espoir d’attirer l’attention de quelque bon samaritain. Après de longues heures de We Will Rok You qui durent sans aucun doute donner à notre héros une migraine carabinée, la délivrance pointe enfin le bout de son nez… qu’elle a court et camus, puisque c’est une bande d’Orks en maraude qui décide d’investiguer ce cas de tapage diurne/nocturne.

Dans son malheur, Yarrick a toutefois de la chance car les peaux vertes qui assaillent son bunker sont à peu près aussi bien équipés qu’un élève de Segpa à la fin du deuxième trimestre. Venus avec leurs fling’, leur kikoup’ et leur irrépressible bonne humeur, les Orks tombent comme des mouches devant l’intraitable grand-père, dont le regard sévère, le pistolet bolter et le direct du droit de super welter repoussent leurs assauts désordonnés. La situation reste toutefois précaire pour notre ami manchot, conscient que le poids du nombre, ou même une simple grenade bien placée, finiront fatalement par venir à bout de sa volonté farouche. C’est donc avec un soulagement non feint qu’il accueille l’arrivée à propos d’un Thunderhawk des Black Dragons, dont les occupants ont tôt fait de mettre la vermine verte en déroute. Sauvé par le (dra)gong, Yarrick est libre de retourner à ses pénates, mais réalise avec stupeur qu’il doit très probablement son sauvetage à son admirateur secret, qui a pris soin d’envoyer une bande de tire au flanc équipés de pistolets à bouchons sur la zone du raid aérien, plus pour attirer l’attention des impériaux que pour régler son compte au Commissaire. Quand on aime, on ne compte pas (la vie de ses boyz), c’est bien connu.

1: Et encore, ce n’est pas dit. De son propre aveu, la dernière fois qu’il s’est autorisé un break remonte à sa croisière sur le Space Hulk de Ghazghkull, et plus précisément aux quelques secondes de chute libre qui ont suivi sa projection dans une dorade par ce farceur de Big Boss. Depuis, plus rien. Ça c’est de l’économie d’énergie. 

Avis:

Première nouvelle consacrée par Annandale à sa figure fétiche lue par votre serviteur, Sarcophagus ne m’a pas vraiment impressionnée. Si ni l’intrigue, ni le déroulé de cette histoire ne se sont révélés être objectivement mauvais, je ne peux m’empêcher de penser, après avoir terminé la lecture de cette dernière, que l’idée que l’auteur souhaitait exploiter ici (la relation d’amour-haine nouée entre Yarrick et Ghazghkull au fil des années et des affrontements) aurait pu être développée d’une façon plus convaincante. L’internement forcé du Commissaire donne certes l’occasion à Annandale d’explorer un registre assez peu usité en règle générale par la Black Library (le survivalisme), mais comme on sait pertinemment que le héros s’en sortira sans trop de casse, la tension narrative reste assez lâche. Autre déception, la pauvreté des apports fluff de ce Sarcophagus, qui jouait pourtant sur du velours en mettant en scène un des personnages les plus connus, au cours d’une des batailles les plus connues, sur une des planètes les plus connues, du background de Warhammer 40.000. Eh bien, malgré ces circonstances très favorables, il n’y a pas grand-chose à se mettre sous la dent, tant sur Yarrick que sur Armageddon. Bref, une assez grosse impression de gâchis pour ma part, et un cachetonnage sans gloire pour der Kommissar. Schaden.

Fluff:

Légion d’Acier : Les tanks de la Légion d’Acier restent en service pendant des siècles (rq : ça c’est de la qualité).

Black Dragons (Personnage nommé) : Le Capitaine de la 2ème Compagnie des Black Dragons est un dénommé Volos. Lui et ses hommes ont secouru le Commissaire Yarrick pendant la 3ème Guerre d’Armageddon.

Armageddon (Cité ruche nommée) : Anaon est une ruche de taille modeste, située au sud de Tartarus, sur la côte de l’océan Tempest.

Par Red Qafe

Avant-Propos

Et voila la Red Qafe touche , merci a lui.
Vous pouvez le retrouver ici : https://www.warhammer-forum.com/index.php?/profile/236946-red-qafe/

Résumé

Sur Armageddon, le Commissaire Yarrick se retrouve seul survivant d'un convoi de blindés, enfermé dans la carcasse d'un Leman Russ retourné.

Il va passer des heures à tenter de s'extraire de la carcasse, attirant l'attention d'une bande d'Orks qu'il va parvenir à repousser jusqu'à ce que des Space Marines du Chapitre des Black Dragons survolant la zone voient le rassemblement et abattent les Orks, sauvant finalement Yarrick.

Par Solarius

Avant-Propos

Et voila la Solarius touche , merci a lui.
Vous pouvez le retrouver ici : https://www.warhammer-forum.com/index.php?/profile/229368-solarius/

Résumé

Après les 3 récits précédents, c’est agréable de finir sur une note positive. Une nouvelle particulièrement claustrophobe, où notre commissaire se retrouve coincé dans la carcasse d’un Vainquisher pendant la troisième guerre : Perte des repères, blessures, obscurité… tout cela est plutôt bien décrit et on a une bonne baston finale contre les orks.

Par Ghost of Arkio

Avant-Propos

Et voila la Ghost of Arkio touche , merci a lui.
Vous pouvez le retrouver ici : https://www.black-librarium.com/

Intro

Cette eshort (38 slides/epub) appartient fut publiée en Août 2014.

C'est une histoire indépendante, mais s'inscrivant dans la série d'histoires se rapportant à Yarrick par le même auteur= David Annandale

On change d'auteur, de liste d'armée et de contexte =

-> David Annandale

-> Tartarus

-> Commissaire Yarrick (héros des 2 invasions orks)

Le récit raconte comment le commissaire Yarrick, naufragé durant un transfert vers Tartarus en plein attaque ork, lutte pour sa survie coincé dans une épave de tank.

Résumé

Yarrick et le convoyage

Comme ses précédentes nouvelles sur Yarrick, Annandale utilise la technique classique qui a fait le succès d'Abnett et son Eisenhorn = donner l'impression de lire les mémoires d'un grand homme en l'écoutant lui-même nous faire le récit.. à la 1ère personne. (qu'il avait également testé sur Mephiston)

Mais j'ai eu l'impression par moment que c'était l'auteur qui réfléchissait tout haut à ce que ferait son personnage.

FLUFF = Tartarus est attaquée et encerclée peu à peu. La défaite impériale à Golgotha menace directement l'issue de la guerre sur tout Armageddon Prime si Tartarus tombe dans la foulée (infernus et Acheron le sont aussi!ne resterait alors qu'Helsreach déjà une ruine, même victorieuse)

- L'avant poste de Anaon subit pression et bombardement, et Yarrick pense qu'une inspection en personne permettra de booster défenses et moral..

..vu qu'une fois son petit tour effectué, il rentre en sens inverse direction la ruche principale.

- Problème = la météo est mauvaise, et une grande bataille aérienne se déroule dans les cieux. Yarrick doit donc rentrer à pied et par ses propres moyens (..pas d'ordonnance, pas de garde, un yarrick "en toute simplicité") Il demande poliment à un convoi de tankistes vers tartarus de s'inviter à bord du tank de commandement comme un simple passager, incognito, de la 12e comp. 22ème rég. de la Légion d'Acier.

L'équipage du tank est présenté et aura droit à une part du récit, et de l'admiration du commissaire pour leur dévouement à la tache et leur froid professionnalisme. (..bon, même pas un autographe?)


Le "naufrage"

@Retour dans l'angoisse = Le Leman Russ Vanquisher Storm of the Wastes est une vénérable relique. Sa carlingue est pigmentée par les pluies acides reçues depuis des centaines d'années. Comme avec les sous-marins Yarrick et le capt. Morena se relaient à la coupole pour scruter la nuit.

Sur la route (de nuit), ils croisent toute une faune de la guerre jamais endormie: d'abord les lumières des combats aériens, le passage de trois méga-gargants ("centaines de mètres") tels des ogres géants trahis par leurs lanternes malfaisantes et solitaires, et le sol qu'ils font trembler. S'écarter de leur chemin demande un sacré détour.. qui les conduit à la catastrophe: le convoi est finalement repéré par un escadron de bombas qui leur envoie un copieux tapis de bombes incendiaires qui les engloutit tel un raz de marée de flammes.

@Naufrage=

Le point de vue intérieur du tank donne une impression de sous-marin en naufrage, brinque-ballé par les éléments, puis coupure brutale.

Réveil de yarrick: parallèle bien trouvé du type enseveli après une avalanche.

Tout est noir, il peut à peine bouger, tout est silencieux.

Et quand je parle de naufrage= Yarrick est seul. Pas d'autres survivants. S'en suit un monologue pour se convaincre qu'il doit survivre à tout prix.

Il ne sait même pas où est le haut ni le bas et sans lumière, sent la viande brûlée et doit marcher sur les restes de cadavres das tankistes pour se dégager. Petit à petit (et grâce à ses bioniques) il parvient à se déblayer, mais ses bruits attirent des orks curieux qui découpent un sas pour fouiner.

Yarrick les repousse par toutes les ruses à sa disposition= vider son chargeur dans le tas, renvoyer les grenades à la main (hu-hu ^^), tir laser de son œil bionique.. bientôt à court d'idée (heureusement les orks en ont encore moins.. ) des bruits de massacres sonnent l'arrivée de la cavalerie tandis que le soleil se lève..

La fin

Le "capitaine" Volos de la 2e compagnie des Black Dragons (cf. la Mort d'Antagonis) lui explique qu'il a de la chance = ils passaient justement dans le coin en Thunderhawks, et ils ont vu une concentration d'orks à pied "anormale". [sic!]

...reste le mystère = les orks étaient nombreux, mais n'avaient pas d'armes spéciales... L'Empereur Protège...!


Appréciation personnelle

Bref,

Un récit correct et pour moi le 1er lu de cette série "Yarrick" par Annandale. +1 les détails fluff de la situation stratégique de Yarrick (même si succinct) et des tankistes de la légion d'Acier.

+1 pour la mise en scène claustrophobe de convoi tankiste perdu au milieu de la nuit + le réveil de Yarrick encastré dans une épave (bien décrit).

-1 un Yarrick à remplumer = pas de réelle présence ni charisme pour le 1er héros d'Armageddon..

+ fluff = il parle de la "third war" (Dante l'aurait mis au parfum pour Angron...? non ) ..le QG de Yarrick n'est pas à Tartarus mais à Infernus (tenue par les anglais durant la campagne GW)

-1 une arrivée complètement cheatée des Black Dragons de son autre roman La Mort d'Antagonis donnant à la fin une impression de vendredi soir.. dommage.

11/20