Death of a Silversmith

De Les Archives Infinies
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Par Gilian

L’histoire du livre

Un orfèvre est en train de mourir dans son atelier sur le Vengefull spirit …

L’histoire avec un grand H

Un vieille orfèvre est en train de mourir et se rappel ça vie, au service des puissant seigneur de Terra avant d’être recruter par Malcador en personne.
Apres cela il partie sur le Vengefull Spirit ou ça réputation grandi et finit par attirer l’attention de deux spaces marines, en premier Sejanus qui lui commanda une bague pour chaque membre du Mournival, ce qui allait alors grandement contribuer a ça réputation.
Et un space marine inconnu qui lui commanda une médaille avec une tête de loup pouvant être facilement reproduite. Cette commande allait être la commande de trop.
En effet les médailles étant pour la loge Serghar Targost étranglera l’orfèvre après la commande…
Sejanus trouvant l’orfèvre mourant lui demanda qui était son assassin et l’orfèvre ne pu répondre que : je ne saurais le dire.

Petit moment histoire caché

Encore une petite histoire caché par les auteurs de la blacklibrary qui s’amuse parfois avec les lecteurs.
Dans un millier de fils on a appris que les guerres d’unifications ne se sont pas terminées avant le début de la grande croisade comme marqué dans les livres.
En fait au moment ou l’Empereur a enfin conquis Terra, il a signé des alliances avec plusieurs royaumes, ils ont rejoins l’unité mais sont toujours indépendant et on un certain temps pour faire la transition.
Alors que la grande croisade bat son plein depuis plus de 150ans l’empereur a finit par perdre patience et a commencé a ordonné l’emploie de la force contre les derniers récalcitrants.
Certain primarque de passage sur Terra avec des membres de leur légion en ont profité pour donner un coup de bolter. C’est le cas des Thousand Sons dans un millier de fils et……

C’est le cas de Ferrus Manus dans Fulgrim qui a d’ailleurs rencontrer Fulgrim et fait son concourt de raft d’arme contre lui a cette endroit juste après avoir récupérer le mont Narodnaya des mains des rebelles. (Je ne remets pas tous le chapitre^^)

Cela s’était passé sous le mont Narodnaya, dans la plus grande forge des Ourals, où Ferrus Manus œuvrait avec les maîtres de fonderie qui avaient autrefois servi le clan Terrawatt durant les Guerres d’Unification. Le primarque des Iron Hands y démontrait son talent phénoménal et le pouvoir miraculeux de ses mains quand Fulgrim et sa garde phénicienne étaient descendus dans l’immense complexe métallurgique.

Ferrus Manus a donc bien pris part a la fin de la guerre d’unification ou plutôt de ces remous…

Conclusion

Petite nouvelle totalement inutile et donc totalement indispensable a lire.
Je me pose quand même une question à propos de Graham McNeill : Est-ce qu’il connait tellement bien le fluff qu’il se permet de jouer avec le lecteur ou est ce que c’est le roi des acrobates et qu’il retombe toujours sur ces pieds.
Déjà avec le message de Magnus il a réussit à tromper son monde et encore une fois la.
Je commence à me dire que l’hérésie d’Horus c’est lui^^.


Par Schattra

Avant-Propos

Et voila la Schattra touche , merci a lui.
Vous pouvez le retrouver ici : https://nebelheim.wordpress.com/

Ou ici : https://www.warhammer-forum.com/index.php?/profile/27242-schattra/

Intrigue

Dans ses quartiers du Vengeful Spirit, un vieux Commémorateur, spécialisé en orfèvrerie, se débat futilement contre la mort qui approche. Sa trachée a en effet été écrasée par un de ses clients quelques minutes auparavant, pas parce que ce dernier était mécontent de son travail, mais plutôt parce qu’il ne souhaitait pas laisser de témoins de sa commande (on suppose qu’il a pris les tickets de caisse avec lui également). Avant d’apprendre le pourquoi du comment de cette tragique histoire, notre héros agonisant passe en revue les étapes les plus marquantes de sa longue vie, qui l’ont mené depuis le sol de Terra jusqu’à la moquette du Vengeful Spirit.


Destiné depuis son plus jeune âge aux travaux manuels, dans la droite ligne de son grand-père, également orfèvre, notre homme (que nous appellerons Bobby, parce que pourquoi pas) a eu la chance de commencer sa carrière à la fin des guerres d’Unification, et dans une région du monde déjà sous la coupe de Pépé, ce qui lui a permis d’éviter de se manger une botte de Guerrier Tonnerre dans le ventre, ou de voir sa cité rasée jusqu’aux fondations par les armées conquérantes de l’Empereur, ce qui est un plus pour assurer une continuité de l’activité professionnelle. Son talent lui permit en outre de travailler pour les grands de ce monde, confectionnant d’exquis bijoux, gardes d’épée, stylos, ou encore reliquaires, comme celui réalisé pour un Général ayant été récompensé de ses loyaux services par un bout de bannière Iron Hands, remise par le Primarque1 en personne, qui n’avait plus de cash sur lui à ce moment là.


De fil en aiguille, et sa réputation ne cessant de croître, Bobby fut approché par un vieux monsieur à l’épaisse crinière blanche, qui souhaitait le recruter pour son projet d’artistes couvrant la future Grande Croisade de l’Empereur. Après avoir poliment décliné l’offre du noble vieillard, qui lui remit malgré tout une enveloppe avant de partir, Bobby finit par accepter l’offre de Malcador (car c’était lui), sans doute convaincu par les menaces de mort et les dessins suggestifs que contenaient le pli. Il faut ce qu’il faut. Bref, voici notre orfèvre en route pour le Palais Impérial, et de là, pour le Vengeful Spirit d’Horus2 et des Luna Wolves. Le début de deux siècles de péripéties galactiques, de rencontres marquantes (coucou Ignace Karkasy) et de réalisations grandioses, dont certaines commandées par d’illustres clients. Ce fut le cas d’Hastur Sejanus, qui tenait à faire réaliser des chevalières pour les membres du Mournival, mais qui oublia d’aller chercher les bagouzes une fois ces dernières confectionnées. L’ultime réalisation de Bobby fut cependant réalisée pour un Légionnaire patibulaire, qui souhaitait obtenir un moule pour tirer des médailles représentant un loup et une lune. Travail facile pour notre héros, qui plia l’affaire en deux-deux, et se retrouva pris au dépourvu lorsque son client lui broya le larynx en guise de paiement, le laissant suffoquer sur le sol comme un poisson hors de l’eau, justifiant son acte par un cryptique « J’peux pas dire » à l’oreille de sa victime, avant de repartir.


Même si Bobby finit par être secouru par Sejanus, qui dans son empressement écrasera par mégarde l’anneau réalisé pour lui par ce dernier sous sa semelle énergétique – présageant le triste destin de ce membre du Mournival – il est trop tard pour le vieil orfèvre, qui n’aura que le temps de souffler la réplique assassine de Serghar Targost (car c’était lui) à son sauveteur. Mais que fait la Miviludes ?

Avis

Petite nouvelle d’ambiance, sans aucune conséquence sur l’histoire avec un grand H de l’Hérésie, mais apportant une nouvelle perspective sur quelques uns des personnages et événements clés du début de cette dernière, 'Death of a Silversmith'1 est à réserver aux inconditionnels de McNeill, qui trouve encore le moyen de se balancer un petit clin d’œil (mention de la dernière église de Terra, au-delà du « pont argenté », que l’Empereur a faite détruire…) mais surtout celui de massacrer le fluff en convoquant des Primarques dans son récit de façon totalement anachronique. Et on ne peut même pas l’excuser en mettant en avant la date d’écriture de cette nouvelle, car cette dernière date du début des années 2010, époque à laquelle l’Hérésie comptait déjà une bonne dizaine d’ouvrages, dont plusieurs écrits de la main du Mac. Ce gros et indigne fail est un peu rattrapé par le suspens que l’auteur laisse planer sur l’identité du tueur, que de petits indices permettront toutefois au lecteur attentif d’identifier sans trop de difficultés. On apprend également que les Loges n’étaient pas à la fête même avant Davin, ou en tout cas tenaient plus à leur confidentialité qu’à la vie d’un pauvre civil innocent. Pas de quoi réécrire l’histoire de l’Hérésie, mais intéressant tout de même.


1: Je me demande encore aujourd’hui si ce titre est un hommage aux Kinks ou aux Smiths.