Wolf's Claw

De Les Archives Infinies
(Redirigé depuis La Griffe du Loup)
Aller à la navigation Aller à la recherche

L’histoire du livre.

Bjorn « le manchot » aimerait bien trouver une arme a ça taille.

L’histoire avec un grand H

Cela fait des mois maintenant qu’il a perdu ça main sur Prospero et il commence à en avoir marre d’attendre son tour. Bjorn veut qu’on lui remplace ça main ou qu’au moins on lui donne une arme qu’il puisse manier avec son bras amputé. Mais le maitre des forges n’a pas le temps. Il y’a beaucoup de travaille à faire et un guerrier qui peut encore se battre avec un bras n’est pas prioritaire.
En quittant les forge de l’Hrafnkel, voit une arme qui lui plais et decide de partir avec.
Bjorn c’est fait fixer des griffes sur son bras et avec il a réussit à ouvrir en deux un Terminator Alpha Légion.
Bjorn le Manchot n’existe plus, maintenant c’est Bjorn Main Terrible.

Conclusion

Chris Wraight c’est pris d’une passion pour Bjorn, entre 2011 et 2014 il va écrire une petite dizaine de nouvelles de moins de 10 pages sur lui. Qui vont toute décrire un moment de la vie de ce héro space Wolves à travers les âges.

Par Schattra

Avant-Propos

Et voila la Schattra touche , merci a lui.
Vous pouvez le retrouver ici : https://nebelheim.wordpress.com/

Ou ici : https://www.warhammer-forum.com/index.php?/profile/27242-schattra/

Intrigue

Les retrouvailles entre Space Wolves et Alpha Legion dans la nébuleuse d’Alaxxes se passent ou très mal, ou parfaitement bien, selon à qui on demande. Du côté des loulous, ce n’est pas la grande forme, et nous retrouvons le bon-mais-pas-encore-vieux Bjorn alors qu’il mène un assaut dans les coursives d’une frégate renégate avec quelques sous-fifres. Confronté à un ennemi de taille (un champion en armure Terminator), il reprend son souffle planqué derrière le comptoir avant de se ruer à nouveau au combat, et c’est le moment que choisit Chris Wraight pour nous balancer un petit flashback des familles.

Quelques heures plus tôt, et dans les entrailles du Hrafnkel, le même Bjorn cherchait une audience auprès du maître de la forge Slejek, sur recommandation de Leman Russ en personne. Le but pour l’impétueux Garde Loup était d’obtenir un coupe-file et bénéficier en urgence d’un appareillage sur son moignon de main gauche, perdue pendant l’Incendie de Prospero et bricolé au petit bonheur la chance depuis. Englués dans leur campagne contre l’Alpha Legion, les Space Wolves ont bien besoin de disposer de tous leurs champions et meneurs en pleine possession de leurs moyens, et Bjorn ne doute donc pas que sa demande trouve une oreille attentive de la part de Slejek… Mais en cela, il avait bien tort.

L’irascible et incorruptible Prêtre de Fer rabattit en effet le caquet du jeune loup en lui rappelant qu’il n’avait pas que son cas à traiter, et qu’avec une main encore attachée à son poignet et des jambes en parfait état de marche, il était loin d’être le plus à plaindre de la meute. À défaut de s’armer d’une prothèse en adamantium dans les plus brefs délais, il fut recommandé à notre héros de s’armer de patience et de prendre un ticket à l’entrée de l’arsenal, un Serviteur ne tarderait sans doute pas à venir s’occuper de son cas.

C’était cependant mal connaître Bjorn, dont le respect pour les procédures ne fit jamais partie des points forts. Avisant un gantelet monté de griffes éclairs gardé en réserve pour un commanditaire mieux organisé que lui, il « convainquit » un serf de le lui monter en bout de bras, et c’est avec cette griffe de loup que Big B. réalise une trachéotomie d’urgence sur l’Alpha Terminator qui lui barrait la route quelques instants plus tôt. Même s’il serait indélicat de conclure notre propos par la mention a star is born, on peut au moins reconnaître que ce moment marque le début d’une longue et fructueuse collaboration entre un (sur)homme et une machine. Qui se poursuit d’ailleurs encore, plus de dix millénaires plus tard…

Avis

Clairement un filler dans l’épopée hérétique des Space Wolves, et même dans la saga de Bjorn, ce petit ‘Wolf’s Claw’ est néanmoins assez sympathique car il permet à Chris Wraight de dépeindre le côté impulsif et rebelle de son héros manchot, pour lequel ni « non » ni « plus tard » n’est une réponse. Pas indispensable mais plutôt bien fait.