Hunted

De Les Archives Infinies
Révision datée du 9 août 2022 à 21:30 par Gilian (discussion | contributions) (Page créée avec « {{Sommaire à droite}} ==Avant-Propos== Et voila la Schattra touche , merci a lui. <br /> Vous pouvez le retrouver ici : https://nebelheim.wordpress.com/ <br /> Ou ici :… »)
(diff) ← Version précédente | Voir la version actuelle (diff) | Version suivante → (diff)
Aller à la navigation Aller à la recherche

Avant-Propos

Et voila la Schattra touche , merci a lui.
Vous pouvez le retrouver ici : https://nebelheim.wordpress.com/

Ou ici : https://www.warhammer-forum.com/index.php?/profile/27242-schattra/

Intrigue:

Rien que du très classique à première vue, les braves bidasses du MCLXVIITDème1 régiment de Perpetlaizoah luttant bravement pour nettoyer un monde ruche passablement dévasté de la souillure du Kao. On suit plus particulièrement les déambulations d’un dénommé Thaddeus, qui, tel Liam Neeson dans Sans Identité ou Jason Bourne un lendemain de cuite, cherche désespérément à savoir ce qu’il fout dans le merdier innommable dans lequel il barbote jusqu’aux augmétiques.

1: C’est un régiment recomposé.

Avis:

Le travail de French se révèle plutôt sympathique, en grande partie grâce à la volonté de l’auteur de se détacher de l’univers 40K, qui sert de toile de fond aux péripéties de Thaddeus. Hunted est d’abord l’histoire d’un type qui cherche qui il est et ce qu’il fout là, et pourrait donc être transposé avec des modifications mineures à notre époque ou à n’importe quelle autre (alors que je souhaite bien du courage à celui ou celle qui voudrait acclimater Gotrek, Malus Darkblade ou Uriel Ventris à notre somme toute assez terne XXIème siècle).

Le côté background volontairement mis de côté, on se concentre logiquement davantage sur l’histoire en elle-même, que French a voulue à switch final, pour respecter les canons du genre. Pour être honnête, l’ultime rebondissement de Hunted n’est pas transcendantal pour qui a déjà lu des romans de la BL, une collection particulièrement riche en retournement de situations tout bonnement hénaurmes1 et ayant vite fait de développer les tendances soupçonneuses du lecteur. Malgré tout, l’ensemble reste agréable, la liberté prise par John French par rapport à ses petits camarades de jeu rendant plutôt bien à la lecture, et n’étant pas sans rappeler A Place of Quiet Assembly de John Brunner (Hammer and Bolter #1), dans sa distance avec le fluff.

1 : "Horus... Je suis ton père".