God king

De Les Archives Infinies
Révision datée du 2 avril 2023 à 02:04 par Gilian (discussion | contributions) (Page créée avec « {{Sommaire à droite}} ==Par Nico.== ===Avant-Propos=== Et voila la Nico touche , merci a lui. <br /> Vous pouvez le retrouver ici : https://www.black-librarium.com/<br />… »)
(diff) ← Version précédente | Voir la version actuelle (diff) | Version suivante → (diff)
Aller à la navigation Aller à la recherche

Par Nico.

Avant-Propos

Et voila la Nico touche , merci a lui.
Vous pouvez le retrouver ici : https://www.black-librarium.com/

Scénario et mise en scène

Scénario et mise en scène = 3/5

Les vampires et les morts vivants c'est pas ma tasse de thé, aussi j'ai mis un peu de temps pour rentrer dans le roman. Les derniers chapitres sont très bonz, on retrouve le McNeil épique et homérique des deux premiers tomes, avec des scènes de batailles dantesques et toujours aussi bien écrites, et des personnages nombreux et bien campés. Sinon la mise en route du roman est quand même un peu laborieuse.

Style et écriture

Style et écriture = 4/5

Cela reste du McNeill, donc un gage de qualité d'écriture, reste que j'ai été surpris par le rythme un peu lent de la première partie du roman.

Intérêt fluffique

Intérêt fluffique = 4/5

La rencontre entre Nagash et Sigmar fait bien sûr des étincelles. Les fans les plus hardcore y trouveront à boire et à manger.

Appréciation personnelle

Appréciation personnelle = 3/5

Malgré les lourdeurs du début on finit par se plonger dans ce récit qui est une suite logique à l'histoire de Sigmar, et donc indispensable.

Ma note globale sera donc de 14/20.

Bien en deça des deux premiers volets de cette série, qui étaient bien plus intéressants et dynamiques. Et puis on perçoit en filigrane l'influence lovecraftienne de McNeill (en effet il écrit aussi des romans lovecraftiens sur le Mythe de Cthulhu, romans malheureusement non traduits en France). Mais ce roman reste indispensable pour conclure cette trilogie passionnante au demeurant. A noter quand même que l'atmosphère globale du roman est très sombre et tragique, mais c'est à raison sans doute car l'Empire subit alors une invasion de l'armée des morts.