Champion of Oaths

De Les Archives Infinies
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Par Gilian

Avant-Propos

Un peu plus de quatre ans avant la sortie du livre sur Sigismund, John French s’était fendu d’une nouvelle exclusivement distribuée pendant un blacklibrary day, et elle est enfin disponible pour le commun des mortels.

L’histoire du livre

Sigismund a réussi à devenir Templier des impérial Fists, mais il a toujours le regard tourné vers l’avant, vers le prochain défi et il veut devenir le Maitre des templiers.

L’histoire avec un grand H

Archamus, le Maître des Huscarls (et l’un des premier Impérial Fist recruter sur le monde du primarque) fut là pour voir Sigismund passer l’épreuve. Il était venu pour être les yeux de Dorn.
Sigismund passait l’épreuve pour devenir le maitre du temple et pour cela il devait battre en duel successivement les 199 autres templiers.
Alors que les duels se succèdent, Sigismund ce souvient d’où il vient et le chemin qu’il a parcouru.
Il était orphelin dans les bidonvilles du plateau Ionien et survivait caché pour ne pas se faire capturer par les gangs, mais un jour ça chance avait tourné et il avait été capturé mais pas par les gangs, par des recruteurs Night Lord Légions (oups pardon c’est dans le livre Sigismund cette petite révélation^^).
Et comme les combats se succédaient il finit par vaincre Calivar le porte bannière.
Mais alors qu’il pensait avoir gagné il lui restait un templier à vaincre : Appius sont anciens maitre d’arme qui avait été transférer dans le sarcophage d’un dreadnought, le dernier combat risquait d’être intéressant.
Avec le plus grand mal, il parvint à se défaire de son ancien mentor, en coupant une arrivé d’huile et en paralysant le Dreadnought.

Rogan Dorn en personne lui donna l’épée du Maître des Templiers.

Personnages

Anaxus le Gris : plus anciens des Templier, née dans les Ruches du Nord de Terra. Il se bat avec une masse à deux mains.

Ecturo : Né sur Arcanisis : Il combat à l’épée et au couteau et il était membre du 85ème bataillon d’assaut avant de devenir templier.

Calivar était le porte bannière des Templier et combattait avec la hampe de la bannière.

Appius : il a reçu les lauriers de la victoire apres la bataille de Mesora pendant les guerres d’unification.
Il a combattu sur Luna et ensuite au coté d’Horus quand ce dernier était le seul primarque retrouvé.
Il a été le premier space marine à être transformé en dreadnought.

Conclusion

Très bonne petite nouvelle, qui pose bien le personnage de Sigismund, par contre elle donne une version idéalisée de la grande croisade et des spaces marines. Des libérateurs qui protègent les faibles qui ne peuvent pas se défendre. C’était peut être l’idéal de la grande croisade a ses débuts…

C’est une très bonne introduction au roman Sigismund : The Eternal Crusader qui raconte l’histoire de Sigismund. Les deux Flashbacks sont développés dans le livre par contre John French aura l’intelligence de ne pas reprendre cette nouvelle dans son livre.

Par Schattra

Avant-Propos

Et voila la Schattra touche , merci a lui.
Vous pouvez le retrouver ici : https://nebelheim.wordpress.com/

Ou ici : https://www.warhammer-forum.com/index.php?/profile/27242-schattra/

Intrigue

Il y a des entretiens d’embauche plus facile que d’autres. Alors que la majorité d’entre nous a juste à savoir nommer trois qualités et trois défauts pour convaincre le recruteur, Sigismund des Imperial Fists va vraiment devoir donner de sa personne pour obtenir son dream job, lui. Notre homme candidate pour devenir le Maître du Temple, fonction honorifique s’il en est au sein de la VIIème Légion puisque les Templiers en question gardent le… temple du Phalanx où les Frères de Bataille jurent fidélité à l’Empereur et à Rogal Dorn. Pour obtenir ce poste convoité, l’impétrant doit vaincre en combat singulier la totalité de ses camarades, soit 199 Astartes vétérans à se farcir les uns après les autres. Même pour un guerrier de la trempe de Ziggy Jaune d’Œuf, l’épreuve est difficile, et notre héros encaisse les coups et les bosses au fur et à mesure que les duels se succèdent.


Cet affrontement au long cours est entrecoupé de flashbacks nous renseignant sur la trajectoire de Sigismund, depuis son enfance malheureuse dans les camps de réfugiés de Turquie (rebaptisée plateau ionien en M31), où il vit sa protectrice se faire tabasser à mort par une bande de wesh sanguinaires, jusqu’à son entraînement sous la conduite du maître d’armes Appius, alors qu’il n’était encore qu’un jeune et prometteur jaunard. L’occasion pour nous d’en apprendre plus sur la motivation profonde de Sigismund, qui va toujours de l’avant parce qu’il sait que les Space Marines ont le devoir de se battre à la place de ceux qui ne le peuvent pas. C’est beau, c’est noble, c’est grand, c’est corporate. Ce petit gars aurait pu faire Miss France, s’il n’avait pas choisi une autre voie.


Retour au Temple, et au boss de fin de la série infernale du Zig. Après avoir fisté sans répit et écopé de quelques bleus au passage, ne reste plus que ce bon vieil Appius en personne à maraver. Le problème, c’est que le vétéran a assez mal vieilli, et s’est fait enfermer dans un Dreadnought depuis l’époque où il refaisait le portrait de son padawan à grands coups d’espadon. Le combat n’est pas des plus équitables, mais les Imperial Fists sont du genre exigeant. Malgré un coup de moins bien passager, et un revers de bouclier énergétique en pleine face, Sigismund vient à bout de cet ultime adversaire en lui coupant le câble (ce qui est cruel quand on est confiné à un réservoir de liquide amiotique, tout de même). Félicité par Rogal Dorn en personne, qui était là incognito pour suivre l’épreuve pratique de son fiston favori, Sigismund devient officiellement le Maître des Serments, et reçoit l’épée de fonction qui va bien en reconnaissance de son nouveau statut. Un petit passage à l’infirmerie pour mettre de l’arnica (eh, c’est jaune aussi) sera sans doute nécessaire après cela…

Avis

John French se fait plaisir en retraçant en quelques pages bien senties la trajectoire de l’un des personnages les plus marquants des Imperial Fists pendant la Grande Croisade et l’Hérésie d’Horus (et même après cela), depuis ses humbles débuts jusqu’à sa prise de fonction comme Enfant de Juron. On peut y voir un avant-goût et un condensé du roman qu’il écrira un peu plus tard sur le même personnage, car tout est déjà bien en place à la conclusion de ces douze pages. L’exemple-type de la petite nouvelle à vocation fluffique, sans ambition particulière en matière d’intrigue mais très satisfaisante tout de même pour les amoureux de background, et grâce à la maîtrise consommée que l’auteur a de son sujet. Bref, un incontournable si vous êtes fan des Imperial Fists et/ou des Black Templars, ou tout simplement de l’Hérésie d’Horus en tant que telle.