Arjac Rockfist: Anvil of Fenris

Par Aenar Sigvardr

Avant-Propos

Et voila la Aenar Sigvardr touche , merci a lui.
Vous pouvez le retrouver ici : https://www.black-librarium.com/

Intro

Je vais essayer de poster ma première critique avec le modèle requis et en espérant que mon côté fanboy ne l'emporte pas sur l'objectivité.

Pour commencer, la boite et le packaging est splendide avec des petites scenettes dessinées sur les côtés de la boite. Le bouclier est bien représenté. Le CD avec Twelve Wolves est pour le fun. Je fais une rapide critique de Twelve Wolves qui est inclus dedans. C'est la même version qui est déjà sortie sauf qu'elle a été reprise pour que ce soit Arjac qui raconte la saga. Ca ne change que les quatre ou cinq premiers paragraphes. Je l'avais bien aimé à l'époque et elle est toujours sympa. Elle raconte l'histoire de deux space wolves lors de l'invasion de Fenris par le Cardinal Bucharis. On y apprend surtout les loups légendaires des Space Wolves. Par contre, la nouvelle Thunderwolves qui était exclusive à la version deluxe n'a aucun intérêt. Elle fait cinq pages et on y voit Arjac donné des conseils à des jeunes fenrissiens qui vont passer leurs épreuves pour devenir un space wolf.

J'en viens à la nouvelle sur Arjac.

Scénario et mise en scène

Scénario et mise en scène : 3/5

Bonne histoire mais c'est l'erreur de fluff qui m'a dérangé.

La bataille contre les tyranides/krakens ne se passe pas sur les Iles de Fer mais devant le Croc. Les forges sont situées à l'extérieur du Croc. A se demander si Counter a lu le codex et les précédents livres, en particulier la bataille du Croc

Si on en fait abstraction, le scénario est bien mené. La psychologie d'Arjac est bien décrite et on sent bien son côté protecteur des fenrissiens. Mais c'est également un redoutable combattant, rusé et puissant à souhait.Certains diront que la fin est un peu tiré par les cheveux mais moi j'ai bien aimé.

Style et écriture

Style et écriture : 4/5

J'avoue que je ne sais pas quoi trop écrire. J'ai lu le livre en une petite heure. Le rythme est assez soutenu mais on est facilement tenu par le récit. Les passages sur le narrateur donne de bonnes coupures sans que cela devienne trop lourd. Après, je ne suis pas suffisamment bon en anglais pour me permettre de critiquer l'auteur mais je n'ai pas relevé de lourdeurs par rapport à ces précédent livres (même si cela, je les ai lu en français)

Intérêt fluffique

Intérêt fluffique : 3/5

L'histoire est conté du point de vue d'un thrall qui raconte la saga d'Arjac à une assemblée de Space Wolves. Il fait un résumé du début de la carrière d'Arjac avant de venir à l'histoire avant de commencer à raconter comment ce dernier est devenu le champion de Grimnar.

On découvre un Arjac très modeste mais rusé et surtout un forgeron plus que talentueux. Il en faut pour réparer une vieille armure terminator et surtout la Axe Morkai

Je dois avouer que j'ai été assez surpris par l'histoire car Ben Counter a pris des libertés avec l'histoire d'Arjac inscrite dans le codex et même si on retrouve les personnages principaux, il a fait des erreurs de fluff, en particulier sur le lieu de la bataille. J'avoue que je ne sais pas si c'est volontaire.

Il y a cependant quelques petites de fluff dedans. On apprend la provenance des armes d'Arjac et on a des éléments conservés dans la galerie des trophés des Space Wolves.

Le ponpon qui m'a bien fait rigoler, c'est la dent de Lion El Johnson que Russ lui a fait sauter lors d'une de leurs bagarres. Elle est maintenant conservée dans un rubis dans la galerie des trophés

Appréciation personnelle

Appréciation personnelle : 4/5

Bon récit sur les Space Wolves et bien évidemment Arjac. J'ai fait abstraction de l'erreur de fluff pour ma note. Si vous en tenez compte, je dirais 2/5. Le scénario est simple mais on se laisse facilement porté. En même temps, en 125 pages, il ne faut pas s'attendre à des scénarios ultra alambiqués.

Pour les fan de Space Wolves, vous passerez un bon moment. Pour les autres, vous pouvez largement vous en passer.

-Total : 14/20

En espérant avoir été suffisamment objectif