Angel of Fire

De Les Archives Infinies
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Par Red Qafe

Avant-Propos

Et voila la Red Qafe touche , merci a lui.
Vous pouvez le retrouver ici : https://www.warhammer-forum.com/index.php?/profile/236946-red-qafe/

Intro

A noter que ces romans ont plusieurs conflits de canon par rapport à d'autres écrits (Codex etc) sur Macharius et sa croisade. Par exemple, dans les romans on rencontre un jeune Logan Grimnar, alors que le canon dit que Grimnar dirige les Space Wolves depuis presque 700 ans... Même s'il ne les dirigeait pas pendant la croisade, il devait au moins être l'équivalent Space Wolf d'un Capitaine. Et je crois qu'il aurait déjà du être maitre du chapitre vu les dates.


L'histoire est plutôt bien écrite, sinon, pour ceux qui veulent ce que j'ai tendance à préférer : le point de vue des Gardes Impériaux, simples humains au milieu de conflits d'un univers qui les dépassent.

(de William "Bill" King je ne connais sinon que les trois premiers livres racontant les aventures de Ragnar Crinière Noire des Space Wolves)


La trilogie est principalement racontée par Leo Lemuel, un Garde Impérial issu du monde industriel de Belial VII, qui s'est engagé avec ses amis Anton et Ivan pour échapper à des gangs de leur cité-ruche. Mais elle n'est pas racontée au moment de la croisade, non. Leo Lemuel écrit ses mémoires entre deux combats contre des Orks plusieurs années après la fin de la croisade, souhaitant laisser une trace de ce qu'était réellement Macharius, face à tout ce que raconte la propagande impériale... En tous cas, c'est ce qui est dit dans le premier roman... A partir du deuxième, on est carrément en train de lire ses mémoires après qu'elles eussent été récupérées par l'Inquisition, et Leo est considéré comme mort... L'inquisition étudie deux élements : s'il est possible de canoniser Macharius, d'en faire un Saint impérial, et en même temps si Hieronymus Drake, le haut inquisiteur qui lui était assigné, a trahi l'Imperium... Vous comprendez à la fin.


Bref, Leo, Anton et Ivan se sont retrouvés à servir sur un Baneblade, appelé le Numéro Dix. Leo sert de pilote. L'unité méchanisée dont ils font partie est l'une des très nombreuses unités allouées à la Croisade de Macharius, qui en est alors à ses débuts.

Intrigue

Pour la faire courte, Macharius vient en personnge galvaniser ses troupes avec un discours à la veille du début des combats importants, et les personnages voient à quel point il est charismatique, un vrai meneur d'hommes avec une aura de confiance et une foi inébranlable, doublé d'un stratège hors pair.

Lors de l'attaque d'une cité-ruche, le tank est détruit, le trio se retrouve avec deux autres membres de leur équipage (le second du Lieutenant/chef de char, qu'ils appellent Lèche-bottes et qui va être traumatisé un moment avant de se réveiller en devenant extrêmement froid, et le caporal Hesse) réassignés au maintien de l'ordre au sein de la ville après la victoire impériale.

Maintien de l'ordre qui s'avère difficile : l'ennemi guerillero n'est autre que le Culte de l'Ange de Feu (dont les statues ornent toute la ville), mené par des prêtres-psykers-pyromanciens, qui s'amusent à massacrer les gardes et se cacher ensuite (seuls les rares Space Marines peuvent arrêter ces prêtres). Et puis des rumeurs disent que Macharius vient de se faire tuer sur une autre planète que la croisade est déjà foutue. En fait Macharius est blessé, et renvoyé dans un hôpital de la cité ruche.

Mais le Culte contre attaque : les gardes du corps de Macharius se font éliminer, et notre groupe, pris par l'intuition de venir voir comment allait le Commandeur, se retrouvent à lui sauver la vie, avec l'aide de l'Inquisiteur Hieronymus Drake (placé aux côtés de Macharius par l'Inquisition, poste logique et normal) et d'Anna, une Assassin Impériale Callidus qui se faisait passer pour une infirmière pour protéger Macharius (et que Leo avait intimement rencontré quelques jours plus tôt en faisant le tour des bars; elle repérait donc également les impériaux intéressants)

Le groupe se retrouve obligé de se cacher dans les souterrains. Drake se rend compte que le culte est en train d'accumuler de l'énergie en brûlant vifs leurs prisonniers impériaux. Quel que soit leur plan, il faut les arrêter, en tuant le chef du culte avant qu'il ait accumulé toute l'énergie dont il a besoin. Il va donc falloir attaquer la cathédrale QG du culte. Ils y libèrent une quantité de gardes prisonniers, qui se battent et font diversion, mais le chef du culte s'échappe, Hesse se fait tuer, et le groupe est forcé de s'enfuir à bord d'un aéronef...

Qu'ils vont utiliser pour rejoindre l'armée impériale amassée non loin de la ville en vue de la contre attaque. Macharius établit ses stratégies, mais décide qu'il lui faudra revenir, accompagné de sa petite équipe, à la cathédrale pour retrouver et tuer le chef du culte pendant le plus fort des combats...

Ce qu'ils parviendront à faire, mais juste trop tard : le chef du culte est parvenu à ses fins : invoquer son Ange de Feu... qui s'avère être un Gardien des Secrets de Tzeentch (qui arrive accompagné par les Horreurs). Mais le groupe parviendra à vaincre cet ennemi, grâce à la force mentale de Macharius, les pouvoirs de Drake et l'aide apportée par le reste du groupe...

Sur cette victoire, la Croisade va pouvoir continuer.

Avis

Alors... Tout cela pour que Leo se retrouve Capitaine, à combattre des Orks pendant que les généraux de Macharius se battent entre eux pour récupérer ce qu'ils peuvent, pour qu'il soit ensuite porté disparu et présumé mort... Triste fin pour lui aussi, il aurait mérité de pouvoir prendre sa retraite...


Au final, les textes sont donc entre les mains de l'Inquisition, qui veut déterminer si Macharius peut être canonisé, et surtout sur Drake a trahi... et sur cette question, je m'interroge également. Drake a juste voulu trouver la meilleure sortie pour Macharius : mort au combat, en héros, en martyre pour l'Imperium, plutôt que souffrant de sa destitution et de la dégénerescence dûe à l'inefficacité des traitements juvenants. Voire, ce qui était craint, que Macharius refuse de rentrer sur Terra et se retrouve déclaré ennemi de l'Impérium.


La Croisade de Macharius aura duré 30 ans, où il aura volé de victoires en victoires, ramenant des centaines de mondes sous le giron de l'Imperium et dépassant même les frontières établies lors de la Grande Croisade. Par contre, il faudra 70 ans pour faire cesser les guerres civiles entre ses généraux, conflits que je mettrais sur le dos des Hauts Seigneurs qui ne pensaient qu'à destituer Macharius sans réfléchir aux conséquences engendrées par sa disparition...

Par Solaris

Avant-Propos

Et voila la Solarius touche , merci a lui.
Vous pouvez le retrouver ici : https://www.warhammer-forum.com/index.php?/profile/229368-solarius/

Scénario et mise en scène

Scénario et mise en scène : 3,5/5

Le livre se place du point de vue de Lemuel, un vétéran de la croisade Macharienne. Cynique, désabusé et fatigué d' avoir passer trop de temps à se battre contre les ennemis de l'Empereur, celui-ci, après un affrontement particulièrement violent contre les orks, décide de coucher sur papier sa carrière depuis sa rencontre avec Macharius pour laisser une trace dans l'histoire, et montrer la vérité sur le maître de guerre.

L'action, dans sa majorité, se déroule donc plusieurs années avant le prologue, dans un grand flash-back. On suit donc Lemuel, membre à ce moment d' un équipage de Baneblade et participant à la reprise de Koursk, monde industriel qui refuse de ployer face à l'Imperium et compte bien rester indépendant. Nos (anti)héros se distingueront particulièrement dans la reprise d'Irongrad, principale ruche de la planète. Leurs actions seront récompensées lorsqu'ils seront intégrés... à une simple escouade de survivants, ce qui nous montre la bureaucratie crasse de la garde. Heureusement, par la force des choses, ils se retrouveront garde du corps de Macharius en personne, qui aura bien besoin de leurs services pour échapper aux rebelles qui prendront la garde en traître et infesteront la ruche.

Style et écriture

Style et écriture : 3,5/5

Au niveau des défauts, ça manque de détails, c'est parfois trop rapide et on ne peut pas dire que le dernier tiers soit une grande réussite (je rejoins l'avis de Cadia sur ce sujet).

Niveau qualités, c'est dynamique, réaliste et les passages à la première personne rendent justice au personnage principal. Celui-ci, même dans la partie flash-backs, est montré comme un dur-à-cuire qui arriverait à en redire aux fantômes de Gaunt dans les derniers romans. Burriné, désabusé, cynique et parfois sans coeur, il retrouvera la foi, le courage et un certain idéal en suivant Macharius. On pourrait regretter le manque de chapitres avec lui en personnage POV, mais j'ai apprécié ce parti pris car cela me rappelait les œuvres de Matsumoto sur Harlock (si vous êtes fans de la garde, regardez les vieilles séries le mettant en scène, c'est un comissaire de la garde version animé !). On imagine plus de chose sur le personnage qu'on en découvre, ce qui le rend d'autant plus fascinant. Le personnage peut aussi bien se montrer en tant que stratège/meneur d'hommes que se prendre pour un inquisiteur dans une ruche corrompue pour sauver sa croisade. Ce n'est donc pas un simple stratège mais un véritable ovni au sein de la garde.

Intérêt fluffique

Intérêt fluff : 3,5/5

Il y a un certain intérêt à ce niveau-là mine de rien : La description de la ruche est vraiment pas mal, les forces adverses assez flippantes, notamment avec les psykers pyromanciens, et des infos sur l' Imperium de cette époque. En effet, loin de celui de fin M41/M42, celui-ci nous est montré comme miné par les rebellions, l'interprétation très libre de la parole impériale, la corruption... Tout cela en fait quelque chose de morcelé et qui a besoin d'être rappelé à l'ordre pour avoir une chance de survie, ce qui montre l'importance de l'exemple de la croisade Macharienne.

Appréciation personnelle

Intérêt personnel : 4/5

Le livre se lit bien, sans trop d'ennui, et avec une galerie de persos très atypiques. Mention spéciale au héros. Après, comme écrit plus haut, le dernier tiers n'est pas folichon et ça manque de détails de manière générale. Une lecture rapide et agréable, surtout si on est fan de la garde.

Note finale : 14,5/20.

Par Vaïkan

Avant-Propos

Et voila la Black Librarium touche , merci a lui.
Vous pouvez le retrouver ici : https://www.black-librarium.com/

Scénario et mise en scène

Scénario et mise en scène = 2/5

Comme indiqué dans le résumé de la Black Library, une immense croisade est en branle. Mais aussi puissante soit cette force de l’Imperium, il lui faut des ressources premières ! Ainsi, la planète Karsk assumera ce rôle. Enfin, lorsqu’elle se soumettra… En effet, un Culte à insidieusement remplacé le Credo Impérial. Et autant dire que ses Fils de la Flamme ont d’autres projets pour Macharius… Quant aux protagonistes, ce sera un petit groupe de tankiste que le lecteur suivra. Même si le Seigneur Commandeur aura une « place de choix », dans les descriptions… Cet homme (ce Saint ?) a une telle aura / présence qu’il pourrait être aisément comparé à un Astartes ! Certes, un général se doit d’en imposer, auprès de ses soldats : mais William King n’a pas lésiné sur les mérites de son commandant !! Beaucoup trop, même…

Style et écriture

Style et écriture = 3/5

Dans la mesure où les héros se connaissent depuis longtemps (pour certains, tout du moins), l’auteur a pu mettre en avant ce côté fraternel. L’humour et les vannes sont de mise, donc ! Cette écriture « décontracté » ressort d’autant plus en comparaison des véritables horreurs vécut sur cette planète. Une figure de style, assez récurrent à la fin des chapitres, consiste à laisser entrevoir des indices quant au déroulement futur des péripéties. En soi, rien de gênant, mais… Lorsque ce procédé est employé presque systématiquement : il perd de sa subtilité…

Intérêt fluffique

Intérêt fluff = 2/5

Avec une planète, et même plus précisément une ville (Irongrad), un groupe (haut en couleurs) de tankistes, un inquisiteur et Macharius (le seul, l’unique…) : cet ouvrage a comme principal fluff l’apporte des bases de ce que sera cette Croisade Macharienne. Il est toutefois à notifier que des « inter-chapitres » sont présents. Ceux-ci sont des retranscriptions de documents, rédigés par l’inquisiteur cité précédemment.

Appréciation personnelle

Appréciation personnelle = 3/5

Il est impressionnant de constater à quel point ce récit, censé être centré sur ce groupe de soldats, gravite en fait autour de Macharius ! Ses descriptions et ses faits d’armes sont tellement surévalués qu’ils en éclipseraient presque le courage (et la dévotion) des troupiers… C’est, selon moi, le gros point faible de ce livre !

L’autre bémol consiste en la conclusion de ce tome : en l’espace de très peu de chapitres, toute l’intrigue atteint son dénouement ! En d’autres termes, et à mon humble avis : il s’agit d’une fin bâclée. Est-ce du à un nombre de page limité par l’éditeur ? D’un manque de temps (vis-à-vis d’un planning) ? Ou « juste » d’une facilité scénaristique ? Que sais-je…


- Note globale = 10/20

Par Priad de l’équipe du Reclusiam

Avant-Propos

Vous pouvez retrouver cette excellent site ici https://reclusiam.net/equipe-reclusiam?utm_medium=web&utm_source=stats_header&utm_campaign=team

Résumé

   — Ils ne sont pas si différents, dit-il. En réalité je pouvais voir qu’il était encore en train de penser au Space Marine. Je pense que ce qu’il avait réalisé ce jour là l’avait littéralement choqué. Toute sa vie il avait idéalisé les Space marines. Il y avait des jours où il avait pensé pouvoir devenir l’un d’entre-eux.
    — Tu veux toujours devenir un Space Marine ? je lui demandais. Il regarda le nuage de poussière qui s’élevait au loin pendant un certain moment, avant de se tourner vers moi.
    — Oh ouais, s’écria t’il. Passe le message au Seigneur Commandeur Macharius pour moi.
   Je le ferai quand je le verrai, lui répondis-je.
   Ce jour là, je pensais que cela n’était qu’une blague.

Personnage emblématique de l’univers de Warhammer 40K, de qui l’on dit avoir rallié un millier de mondes au travers de sa croisade, Macharius est le genre de héros que l’on aimerait voir au centre d’un livre, voir d’une série dédiée à son auguste personne. Cela tombe bien car cette trilogie, appelée très sobrement La Croisade Macharienne, a été remise entre les mains de William King, déjà connu pour tous fans de Space Wolf et de Ragnar Crinière Noir. L’Ange de Feu est donc le premier tome, sensé nous plonger sur le Monde de Karsk, dans la cité D’Irongrad où notre héros devra faire face à ces étranges cultistes capables de manipuler le feu. Notre héros ? Serait-il possible qu’une trilogie dédiée à la croisade de Macharius n’accueille pas ce dernier comme personnage principal ? En effet, L’Ange de Feu c’est un peu cela ? Pourquoi un peu, la réponse dans cette critique.

Comme à chaque fois qu’un livre aborde un personnage connu de Warhammer 40K, le lecteur se voit empli d’attentes. Macharius ne fait donc pas exception. Mais alors que Chains of Golgotha nous faisait vivre les aventures de Sieur Yarrick à travers ses propres yeux, il faudra ici se contenter de quelque chose de beaucoup plus léger. Le livre ne se vit donc pas dans la peau de Macharius mais bien dans celle d’un soldat de la garde impériale qui se retrouvera contre toute attente à combattre aux côtés d’un homme dont le charisme n’est plus à prouver. Macharius n’aura ouvert la bouche qu’une seule fois après le premier tiers du livre (compter une centaine de page), tandis qu’il deviendra d’avantage présent dans la seconde moitié. Une présence que beaucoup pourront ressentir comme une frustration. Je ne m’évertuerai donc pas à aborder le fait que Macharius soit plutôt absent de son propre roman, le jugement étant laissé à chacun d’entre vous. Certains crieront à la tromperie tandis que d’autre pourront apprécier cette prise de risque, nous contant les actes d’un homme extraordinaire aux travers d’un homme ordinaire. Pour ma part le risque n’a pas été payant puisque l’utilisation de ce procédé a été (trop) peu exploitée.

La véritable force du roman est en réalité les vrais personnages que l’on accompagne, Léo, Ivan et Anton, soldats de la garde impériale initialement en charge d’un baneblade. Les scènes réunissant cette équipe sont légions et si vous aimez d’avantage les discussions entre soldats plutôt que l’action, alors le roman est fait pour vous. Les dialogues hors scènes de batailles prennent une certaine ampleur dans le livre, mettant l’accent sur les relations entre tous ces protagonistes. Nul doute que les habitués de la saga des Fantômes de Gaunt sauront de quoi l’on parle, mais Dan Abnett a cependant bien plus de talent pour donner vie à ses personnages qui, initialement, sont des hommes comme les autres. Donner du caractère à des personnages qui n’ont rien d’exceptionnels n’est pas chose aisée, et même si je considère ce premier tome comme un début correcte, on est loin d’être emballé à chaque moment du livre. Le style de William King s’est lu de mon côté avec un certain désintérêt, espérant encore traverser ces pages où l’auteur réussissait à capter avec succès mon attention. Le roman n’accueille donc pas de nombreuses scènes marquantes, mais lorsqu’il y arrive c’est avec plaisir que nous les lisons. Le roman est donc assez inégal dans son ensemble, la première moitié du livre ayant été traversée avec plaisir tandis que la suite n’accueillait quasi plus de surprises et se contentait de réutiliser les mécanismes de départ. La fin quant elle est loin de m’avoir fait décollé, le combat contre L’Ange de Feu n’étant (et de loin) même pas le passage le plus passionnant du livre ; qui restera selon moi le moment où notre héros Léo, accompagné de son équipe va tenter de faire sortir indemne un Macharius blessé, d’un hôpital attaqué par les cultistes de l’Ange de Feu.

Vous l’aurez deviné, si vous espérez voir du Macharius en pleine action et plonger au cœur de sa croisade, la déception vous accablera, le livre ne nous offrant quasi rien à se mettre sous la dent en terme de background. Néanmoins si vos attentes ne concernent qu’un roman mettant au centre de l’histoire des gardes impériaux liés par les difficultés de la guerre, sur fond de croisade Macharienne, alors ce roman s’adresse à vous. Considérant que ceci est le premier tome, Macharius devrait avoir un plus grand rôle à jouer dans les prochains romans ; ou du moins espérons le.

Ce premier tome n’est, selon moi, ni franchement une réussite, ni franchement un échec, les choix effectués par William King étant parfois payant, parfois peu convainquant. Reste que le fan inconditionnel de Macharius sera déçu tandis que le lecteur lambda pourra trouver bien mieux. On finit par se demander à qui s’adresse vraiment ce roman

Les plus

L’utilisation d’un point de vue inattendue.

Un roman sur la garde impérial qui feat des Space Marines.

Des personnages principaux attachants.

Quelques bons moments de lecture.

Les moins

Un Macharius peu prolixe et absent d’une bonne partie du livre.

Un style d’écriture sans pêche à cause de sa qualité inégale.

Peu de personnages dans l’ensemble.

Des scènes d’action assez répétitives.

Conclusion

Ce premier tome est donc une petite déception. Non fans de Macharius ne vous arrêtez surtout pas, le catalogue de la BL offrant bien mieux. Inconditionnels de notre Commandant, à vous de faire votre choix.