The Blessed Ones

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Avant-Propos

Et voila la Schattra touche , merci a lui.
Vous pouvez le retrouver ici : https://nebelheim.wordpress.com/

Ou ici : https://www.warhammer-forum.com/index.php?/profile/27242-schattra/

Intrigue:

Truand minable, Jurgen Kuhnslieb se voit forcer d’accepter une mission un peu particulière afin de pouvoir rembourser les nombreuses dettes de jeu qu’il a contractées. Chargé par un jeune noble décadent de voler un tableau dont son propriétaire ne souhaite pas se séparer, Jurgen va rapidement se rendre compte qu’il s’est empêtré dans une affaire aux proportions insoupçonnées, et que ses employeurs ne sont pas du genre à laisser un cambrioleur à la petite semaine se mettre en travers de leur chemin.

Avis:

The Blessed Ones aurait sans doute gagné à être développé en « moyen format » (50 - 100 pages), plutôt que de se retrouver confiné à la vingtaine de pages de sa version définitive. La banalité de l’intrigue proposée par Rani Kellock, cousue de fil blanc et à la conclusion courue d’avance dès les premières lignes1, aurait pu ainsi être compensée par la mise en place d’une ambiance réellement oppressante, soulignant la traque impitoyable dont Jurgen fait l’objet de la part de ses clients. L’instillation d’une atmosphère de roman noir ne pouvant se faire que sur la durée, la relative brièveté de la nouvelle de Kellock ne lui a pas permis de parvenir à un résultat concluant, ce qui s’avère au final être assez dommageable.

1: C’est bien simple, si un riche notable engage une petite frappe pour récupérer un artefact d’un genre un peu spécial, il y a environ 143,87% de chances que le commanditaire se révèle être un cultiste du Chaos/nécromancien/membre d’une organisation secrète.

Fluff:

Nuln : Un baron du crime local s’appelle Hultz the Red-Eyed. La ville compte une rue de l’étain (Tin Street) dans son quartier marchand.

Proverbe impérial : “Where there’s smoke, they may well be dragons” (une variante de "il n’y a pas de fumée sans feu").

Peinture : The Blessed Ones (Les Bénis) est un tableau peint par l’artiste Sena Hals (anagramme de Slaanesh), représentant plusieurs personnages en train de se baigner dans un lac situé dans une clairière, accompagnés par des démons à la peau rouge (sans doute des Démonettes). La légende entourant cette toile mythique, dont l’existence n’a jamais été formellement prouvée, veut que son possesseur accède à la vie éternelle.La vérité est autrement plus sinistre : quiconque appose son sang sur le canevas sacrifie son âme à Slaanesh et se fait aspirer dans le tableau, dont il devient l’un des personnages. The Blessed Ones est sensé avoir été détruit dans l’incendie du manoir de son dernier propriétaire, le comte Romanov.