Light of a Crystal Sun

De Les Archives Infinies
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Par Gilian

L’histoire du livre.

Après avoir dérobé un cristal d’esprit lors de son passage sur Lugganath, Fabius Bile essaie de comprendre comment marche la technologie Aeldari.

L’histoire avec un grand H

Apres avoir volé un cristal d’esprit sur Lugganath, Fabius Bile n’arrive toujours pas à comprendre comment l’âme d’un mort piégée dans une pierre peut être encore vivante. Ce qui n’a pas vraiment de grand intérêt pour lui d’ailleurs sauf à tenir compte de son état de santé précaire qui le force depuis 10000 ans à changer de corps de plus en plus souvent. Le procédé devenant de plus en plus instable, il aimerait comprendre comment marche la technologie Aeldari pour pouvoir la corrompre et faire une copie de son esprit au cas où quelque chose se passerait mal.

Ses recherches prennent du temps et il est obligé de recommencer ses expérience indéfiniment et pour le moment sans résultat.

Conclusion:

Nouvelle parue dans Warriors and Warlord de 2020
Josh Reynolds, qui a pourtant l’habitude de nous livrer de bonnes nouvelles, fait un faux pas avec celle-ci. Ça commençait pourtant bien mais force est de constater qu’une fois arrivé à la fin on n’est pas plus avancé …
A moins bien sur qu’elle n’introduise un roman que je ne connais pas? N’étant pas un spécialiste de Bile je ne saurais le dire;).

Par Schattra

Avant-Propos

Et voila la Schattra touche , merci a lui.
Vous pouvez le retrouver ici : https://nebelheim.wordpress.com/

Ou ici : https://www.warhammer-forum.com/index.php?/profile/27242-schattra/

Intrigue:

De retour de sa petite virée shopping & smashing dans le Vaisseau Monde Lugganath (Primogenitor), Fabius Bile se retrouve confronté à un problème aussi insoluble qu’acéré. Le cristal qu’il a dérobé dans le bosquet psychique des Zoneilles, et qu’il compte utiliser pour découvrir la manière dont ces derniers arrivent à stocker l’intellect et la personnalité de leurs Prophètes dans de la matière inerte, refuse obstinément de livrer ses secrets. Pire que ça, il se permet de gueuler comme un putois en rut dans son laboratoire, ce qui apparaît à notre rationnel savant fou (car l’un n’exclut pas l’autre) comme hautement improbable. Après tout, si les morts peuvent danser, ils ne devraient pas pouvoir hurler. Fascinant. Ab-so-lu-ment fa-sci-nant.

Si Bile tient tant que cela à craquer les mots de passe des Eldars, c’est qu’il aimerait bien pouvoir disposer d’une copie externe de sa précieuse personne, qui consomme corpus sur corpus à un rythme soutenu depuis plusieurs millénaires. Et si la maîtrise du clonage dont il dispose lui permet de continuer son grand œuvre sans trop perdre de temps, chaque transfert dans un nouvel organisme s’avère plus risqué que le précédent. Voilà pourquoi notre Apothicaire touche à tout bricole dans son laboratoire depuis plusieurs jours, faisant grande consommation de Psykers maison pour tenter de débloquer ce contenu caché. Ses tâtonnements ayant conduit un grand nombre de ses serviteurs à l’état de légumes décérébrés, Fabio décide de prendre les choses en main, ou plutôt, en tête, se prépare un petit cocktail psychotrope carabiné, et prend place dans le cercle des mutants en voie de disparition, malgré les conseils de prudence proférés par son fidèle Narthecium1, Arrian Zorzi. Après un petit cul sec, c’est donc parti pour une session d’oculus rift d’un genre particulier.

Et si le début de partie se passe sans problème pour notre cyber grand-père, qui, coquet, se choisit même un avatar reflétant sa plastique au moment du siège de Terra, le soleil cristallin au cœur du Vaisseau Monde, habité par les âmes et esprits des Eldars défunts de Lugganath, ne tarde pas à darder des rayons hostiles en direction de l’intrus. S’en suit une bataille digne d’un boss fight de Dark Souls, Fabius cassant du cristal de droite et de gauche – et assommant sans doute quelques Psykers au passage avec ses grands moulinets – sans obtenir de résultats probants jusqu’à l’expiration du timer, marqué par la combustion spontanée des batteries psychiques survivantes. Jugeant cette manifestation comme un signe que la partie était mal engagée, Arrian coupe la connexion à la borne, sauvant probablement la vie de son chef, mais ne décourageant pas ce dernier de retenter sa chance dès que ses laborantins lui auront installé une nouvelle LAN. Press Start… Press Start…

1: L’équivalent d’un bras droit chez les Apothicaires.

Avis:

Quand une nouvelle se termine sans avoir fait avancer la situation dans laquelle le protagoniste se trouve au départ, on peut légitimement se poser la question de son intérêt. Et, bien que mon attachement pour Josh Reynolds reste aussi sincère que profond, nous nous trouvons malheureusement dans ce cas de figure avec Light of a Crystal Sun. L’Apothicaire cancéreux arrivera-t-il à hacker le disque dur cristal externe de Lugganath, ou les pare-feux psychiques installés par les Guerriers Aspects du Temple de Dent Bleue1 se révéleront-ils trop coriaces pour le papy gâteux ? Eh bien, on ne le saura pas, ou en tout cas pas ici. Si l’auteur démontre une fois encore qu’il est parfaitement à l’aise dans la mise en scène du 41ème millénaire et l’utilisation de personnages nommés aussi iconiques que Fabius Bile, la copie qu’il rend cette fois-ci est tristement quelconque, et même assez confuse lorsque Georges Cloné se frite avec l’avatar vitreux et vitré du Vaisseau-Monde pillé. Retenons simplement que Fabius a un beef en cours avec ce poseur d’Ahriman – l’information la plus importante de la nouvelle, en toute objectivité – et restons-en là.

1 : Peu connu mais très utile, surtout quand l’âge moyen de votre population dépasse allègrement les 500 ans

Fluff:

Fabius Bile : L’Araignée a réussi à développer le gène psyker parmi la population d’abhumains vivant dans le Grand Apothecarium où il mène ses expériences. Il a pillé les techniques des chanteurs de guerre d’Isstvan au tout début de l’Hérésie pour perfectionner ses connaissances sur le Warp. On apprend aussi qu’il est entré en conflit avec Ahriman à la suite d’événements s’étant produits sur la Folie d’Aurelian (Aurelian’s Folly).