The Last Son of Prospero
L’histoire du livre
Revuel Arvida a réussi à ramener la flotte White Scars vers le système sol mais ça lui a coûté son âme et sa chair. Ravagé par le bouleversement charnel qui finit toujours par corrompre les mages des Thousand Sons, il est sur le point de mourir mais Jaghataï ne peut accepter cela.
L’histoire avec un grand H
Khalid Hassan était inquiet, il avait récupéré le corps d’Arvida sur le vaisseau des White Scars en promettant à leur chaman qu’il ne lui arriverait rien et qu’il l’amènerait se faire soigner sans que les loups de Fenris ne s’aperçoivent de sa présence. Il avait effectué sa mission, bien sûr comme toujours depuis qu’il était au service du Sigilite, mais il avait promis qu’Arvida vivrait et il n’était pas sûr qu’il puisse surmonter sa « maladie ».
Même le Sigilite n’était pas certain de pouvoir le sauver. L'’Empereur et lui avaient toujours su que quelque chose n’allait pas avec les Thousand Sons. Pendant longtemps ils ont pensé que cela venait d’un problème dans le code génétique mais ce n’était pas cela, c’était plus profond… Après Prospero, avec le retour de Magnus, ils avaient apparemment été sauvés et d’autres soucis plus urgents s’étaient présentés. Mais le mal était toujours là…
Leur conversation est interrompue par l’arrivée de Jaghataï qui est fou de rage parce que Malcador n’a pas réussi à soigner Arvida et fait des expériences sur lui. Malcador espère encore pouvoir mettre Magnus ou au moins un de ses fragments sur le trône d’or et veut utiliser Arvida pour canaliser le fragment qui est sur Terra.
Alors que le rituel commence, Arvida a une conversation avec l’éclat bienveillant de son père. Il lui avoue qu’il a fait exprès de laisser le loup massacrer Prospero, que c’était le digne châtiment pour ses fautes, avoir passé un pacte pour sauver sa légion et avoir détruit les défenses du palais impérial.
Un combat s’engage pour la possession de l’âme et du corps d’Arvida mais, au fina,l grâce à l’intervention du Khan, il réussit à reprendre l’emprise sur son corps et à redevenir lui-même.
Ravuel Arvida est de retour, et il se nomme maintenant Ianius.
Autres
Magnus : la fragmentation de Magnus a commencé a Nikaea quand il s’est senti trahi par son père, et a continué quand il a détruit les défenses du palais par inadvertance pour finir quand Leman Russ explose son corps sur Prospero.
Il a laissé sa légion être détruite car il pense que c’est le juste châtiment pour ses crimes, le pacte avec un démon pour sauver sa légion et la destruction des défenses du palais impérial.
Malcador : Il apparait en fin de course, la description qui en est fait est celle d’un vieux monsieur usé par les évènements. Il veut réincarner le fragment de Magnus dans le corps d’Arvida mais le rituel ne marche pas. (C’est dit dans la nouvelle et Arvida dit à Malcador qu’il est désolé mais que ça n’a pas marché, que Magnus n’est pas revenu.)
Jaghataï : Un primarque comme on aurait aimé en voir pendant l’hérésie. Au comble de la fureur il fait même peur a Malcador qui n’ose pas s’opposer a lui. Il est venu sauver Arvida envers qui il estime avoir une dette de sang.
Les Tutélaires : La grande révélation de la nouvelle à mon sens. Quand Arvida revient il dit de l’appeler Ianius. Ianius c’est le nom de son Tutélaire. Mais qu’est ce qu’un tutélaire au final ? C’est Magnus qui lui donne la réponse : tu es un Corvidae et les Corvidae sont les seuls à pouvoir connaître la réponse… Les Corvidae voient le futur, et donc les Tutélaires sont le futur. Ianius c’est Arvida dans le futur.
Conclusion
Peut être la nouvelle où il y’a le plus de révélations de tout le recueil, en même pas 17 pages Chris Wraight fait une foule de révélations sur les Thousand Son, révélations qui, pour certaines, ont totalement été mal comprises par le lecteur français plus enclin à dire qu’il a fait de la merde qu’à lire la nouvelle en anglais pour se faire une idée (je dis ça parce que j’ai beaucoup entendu parlé de ces événement sur certain forum et qu’une fois lue, la nouvelle ça n'a rien a voir).
Pour le moment la meilleure nouvelle du lot et le lot est très relevé.