Scorched Earth

De Les Archives Infinies
Révision datée du 14 juillet 2022 à 22:47 par Gilian (discussion | contributions) (Page créée avec « {{Sommaire à droite}} ===L’histoire du livre=== La trahison était consommée et trois légions venaient de disparaître sous les coups de leurs anciens frères d’ar… »)
(diff) ← Version précédente | Voir la version actuelle (diff) | Version suivante → (diff)
Aller à la navigation Aller à la recherche

L’histoire du livre

La trahison était consommée et trois légions venaient de disparaître sous les coups de leurs anciens frères d’arme et un primarque était mort. Mais qu’en était-il de Vulkan ?

L’histoire avec un grand H

Je m’appelle Ra ‘Stan et j’étais sur Istvaan, nous avions été envoyés dans une mission sans gloire pour ramener dans le rang nos frères qui avait suivi le maître de guerre. Mais nous avons a notre tour été trahis, il y a beaucoup de noms dans différentes cultures pour parler de ce moment, sur Fenris c’est le Ragnarock, pour d’autre l’Armageddon, pour nous, fils de Nocturne, c’est le temps du feu mais pour l’imperium ça restera le massacre du site de largage.
Certain diront que j’ai eu de la chance de ne pas mourir à ce moment là mais les jours qui suivirent la bataille n’avaient rien de chanceux, nous avons dû nous cacher et fuir pendant longtemps avant de trouver un endroit où nous reposer.
Le temps passant, j’ai rencontré d’autres survivants et, avec eux, nous avons commencé à former un noyau de résistance avec pour QG un vieux Thunderhawk écrasé. Par dérision, nous avons nommé notre base le purgatoire. Mais avec le temps, l’emprise des hérétiques sur Istvaan augmentait et ils allaient finir par nous retrouver.
Après avoir découvert le site ou s’est écrasé le vaisseau de transport de Vulkan, nous avons décidé d’un plan. Je dirigerais un petit groupe pour aller récupérer notre primarque et le reste des blessés non transportablse retarderait le plus longtemps possible l’avancée des hérétiques. Au moment de partir, Ruuman et Sulnar, les deux seuls officiers qui nous restaient, allumèrent la balise de localisation de notre base et préparèrent l’embuscade de notre ennemi.
Avec l’aide de Morvax Haukspeer, un apothicaire de la Raven Guard, et Usabis, un ancien du Librarius de ma légion, nous avons parcouru la dépression d’Urgall en direction de notre objectif. Le chemin a été long et rude et nous avons dû affronter nombre d’ennemis mais à la fin nous n’avons pas trouvé Vulkan.

A la fin, j’ai retrouvé mon esprit, je ne suis pas Ra’stan il est mort avec le reste de ma légion, le choc a été trop fort pour moi et je me suis réfugié dans le mensonge, je suis Usabis et mes pouvoirs psychiques ont créé une chimère pour m’épargner la folie.
Mais maintenant que je sais la vérité, il est trop tard, je vais mourir mais, avant cela, j’utiliserai mes pouvoirs pour voir si Vulkan est vivant et pour lancer un dernier message d’espoir à mes frères.

Purgatoire

Pour commencer il faut comprendre que cette novelas a été écrite en 2013.
Ensuite pour comprendre l’histoire de Purgatoire et la surprise que j’ai eue en lisant cette novela, il faut que je vous parle de Guy Haley, il a écrit une trilogie de nouvelles (j’attends la fin …) qui nous parle d’un groupe de space marine Salamanders qui essaie de survivre sur Istvaan. Au cours de leurs aventures, ils finissent par être attirés par la balise de Purgatoire. Je ne vais pas raconter leur histoire ici ce n’est pas le sujet mais ça prouve que sur une période de 5 ans et avec des auteurs différents, la série l’Hérésie d’Horus peut accoucher de bonnes choses.
La trilogie de Guy Haley est la suivante : Frapper et disparaitre 2012 ; Inforgé 2016 ; Inexprimé 2016

Conclusion

Nick Kyme se surpasse sur ce recueil, cette deuxième nouvelle est surprenant a plusieurs niveaux. Déjà il parvient à intégrer Purgatoire et certains des personnages la trilogie de Guy Haley. Ensuite il fait une description assez sombre des survivants mais aussi des renégats en train de sombrer dans le chaos et enfin le twist final est monstrueux je ne l’ai vraiment pas vu venir.