Deeds Endure

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L’histoire du livre

Petite divergence de point de vue entre un commandant Iron Hand et un commandant Salamander.

L’histoire avec un grand H

Alors que le commandant Kratoz des Iron Hands a donné l’ordre d’ouvrir le feu sur un bastion hérétique situé dans une cité ruche, le commandant Ari’i des Salamander a placé son propre vaisseau sur la trajectoire pour empêcher le massacre.
Après plusieurs heures de négociation infructueuse sur la meilleure façon de prendre la forteresse ennemie, personne ne veut changer d’idée.
Les Iron Hand veulent détruire la planète pour éviter au maximum des pertes dans leurs forces alors que les Salamander sont prêts a sacrifier leurs forces pour épargner les civils.

Au final, Ari’i donne l’assaut a la forteresse et Kratoz s’apprête à détruire la planète après l’échec de l’assaut.
Mais, au dernier moment, il se ravise et bombarde avec une précision chirurgicale les troupes World Eaters alors que les Salamander ne sont qu’à quelques mètres, avant de se lancer à leur secours.

La chair est faible.

Ce n’est pas une phrase prononcée par Ferrus Manus mais par Vulkan et ce n’est même pas la phrase en entier.
Ferrus Manus et Vulkan ont combattu les orcs ensemble et, après la victoire, Ferrus a dit pour plaisanter que son bras était fourbu d’avoir tué autant d’orcs, ce à quoi Vulkan a répondu : la chair est faible, mais les actes perdurent.
C’est un message d’espoir pas une condamnation de la chair. Même si on meurt, nos actes parlent pour nous et perdurent.

Conclusion

Une nouvelle qui ne demande aucune suite et qui permet de voir que les Iron Hand font fausse route depuis 10 000 ans. Une petite phrase dite pour plaisanter entre deux primarques qui devient une sentence prononcée comme un mantra pendant des millénaires.