Codex

De Les Archives Infinies
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Par Gilian

Avant-propos

Cette nouvelle fait partie de la série Angel of Death, qui ne regroupe que des récits de 1 000 mots (soit quatre pages maximum). Je suis toujours un peu sceptique avec ce genre de format, mais il y a parfois de bonnes surprises. Graham McNeill a ici choisi d’écrire une histoire mettant en scène Uriel Ventris.

L’histoire du livre

Sur les terres boueuses et empoisonnées de Sycorax, le capitaine Uriel Ventris et ses Ultramarines affrontent une horde ork afin d’arracher trois otages aux griffes de l’ennemi.

L’histoire avec un grand H

Le capitaine Uriel Ventris des Ultramarines mène une mission de sauvetage périlleuse : libérer trois prisonniers importants retenus par les peaux-vertes.

Il s’agit du Fabricatus Ubrique, un haut responsable du Mechanicus, ainsi que des jumeaux Alexia et Casimir Nassaur, héritiers d’une grande maison noble de la planète.

À bord d’un Rhino blindé, Uriel est accompagné de plusieurs frères de bataille, ainsi que de l’adepte Komeda du Mechanicus, sceptique quant aux chances de succès de l’opération. Ses doutes provoquent une confrontation verbale avec Uriel, qui lui rappelle sèchement que les Ultramarines ne sont pas les Skitarii, et qu’ils savent parfaitement ce qu’ils font.

Le plan d’assaut suit à la lettre les préceptes du Codex Astartes, et chaque guerrier connaît son rôle. Tandis que Torias Telion confirme la présence des otages dans le camp ork, les escouades se mettent en position. Pasanius Lysane et ses hommes prennent place dans les collines pour assurer une couverture.

Le Rhino de Ventris fonce à travers la boue, attirant les tirs de roquettes. Grâce à la précision de Telion et du vénérable Ancient Peleus, les servants de lance-missiles sont rapidement neutralisés, tandis qu’Uriel lui-même abat un projectile en plein vol avec son bolter jumelé. Pris de court, les orks réagissent de manière désordonnée.

Arrivé devant les portes de la forteresse improvisée, Hadrianus les fait fondre avec deux tirs de fuseur, permettant au Rhino de pénétrer dans l’enceinte. À l’intérieur, le carnage est immédiat : des dizaines de peaux-vertes tombent sous des tirs précis. Uriel repère alors les prisonniers, ligotés à des croix de métal, mais encore vivants.

C’est à ce moment qu’un imposant chef ork tente d’exécuter les captifs. Mais Petronius Nero, bondissant d’un Land Speeder en plein vol, tranche la tête de l’ork et sauve les otages au dernier instant.

Émerveillé par le succès de l’opération, l’adepte Komeda reconnaît s’être trompé de douter d’Uriel. Mais le capitaine balaie ses flatteries : pour lui, il ne s’agit pas d’un service rendu au Mechanicus, mais simplement du devoir des Ultramarines envers un monde d’Ultramar.

Alors que les prisonniers sont libérés, Ancient Peleus demande quelle sera la prochaine étape. Uriel répond simplement :

« Maintenant, nous ramenons ces nobles sains et saufs chez eux. »

Conclusion

Un petit combat bien mené en quatre pages, où McNeill en profite pour faire intervenir une bonne partie des personnages de sa série consacrée à Uriel Ventris. La nouvelle est plaisante à lire, mais n’apporte pas grand-chose de nouveau à l’ensemble.