Vulkan He’stan : forgefather
Par Gilian
Avant-propos
Cette nouvelle fait partie de la série Lords of the Space Marines, qui ne regroupe que des récits d’environ 1 000 mots (quatre pages maximum). Et bien sûr, Nick Kyme a choisi d’écrire une histoire centrée sur un héros des Salamanders.
L’histoire du livre
Dans les profondeurs embrasées de Nocturne, le légendaire Vulkan He’stan affronte non seulement les monstres de lave, mais aussi l’exigence implacable de son propre art. Forgeron et guerrier, il sait qu’aucune arme n’est digne tant qu’elle n’a pas été éprouvée dans le feu et le sang.
L’histoire avec un grand H
Vulkan He’stan, Père de la Forge des Salamanders, se trouve dans les entrailles de Nocturne, au cœur de la montagne Deathfire, en train de forger une nouvelle lame. Alors qu’il martèle le métal incandescent, des créatures approchent : deux drakes.
Attirées par le bruit sourd du marteau, elles surgissent des ténèbres. L’une, massive et écarlate, hérissée de pointes jaunes, attaque de face pour détourner son attention. L’autre, plus fine, noire comme le charbon, gonfle les poches de feu sous sa gorge, prête à cracher des torrents de flammes. He’stan n’a pour seule arme que l’épée qu’il vient tout juste d’achever.
Le combat est brutal. Le premier drake bondit, mais He’stan esquive et riposte en lui enfonçant sa lame dans le flanc. L’animal, blessé, s’écrase contre l’enclume, le crâne fracassé. Pendant ce temps, le drake noir, fou de rage, déverse son feu pour venger son compagnon. He’stan profite d’un instant d’hésitation et se jette en avant, éventrant l’une des poches incandescentes de la bête. L’explosion qui s’ensuit la réduit en cendres.
Épuisé, brûlé, mais encore debout, He’stan contemple le carnage. Sa lame a tenu, tranchant là où même une épée énergétique aurait peiné. Pourtant, malgré la victoire, il n’est pas satisfait : la perfection n’est pas encore atteinte.
Il brise alors son arme sur l’enclume et la jette dans le brasier. Il recommencera, encore et encore, attirant d’autres monstres, jusqu’à ce qu’il forge une lame véritablement digne de son titre.
Conclusion
J’ai trouvé cette nouvelle assez moyenne. Je n’en vois pas vraiment l’utilité. Nick Kyme veut toujours en faire davantage lorsqu’il s’agit des Salamanders, et parfois il en fait trop, comme c’est le cas ici.