Skin Deep
Par Gilian
Avant-Propos
Darius Hinks revient pour une troisième aventure de Judah l’Orthoptera, et j’espère que cette nouvelle aventure sera aussi bonne que les deux premières.
L’histoire du livre
Villem Samasser avait réussi à s’extraire des bas-fonds de Varangantua pour se faire une place parmi les hautes sphères de la ville, et il allait bientôt faire tomber les dernières barrières qui se dressaient devant lui avant de pouvoir briguer un poste politique. Mais avant cela, il devait effacer certaines traces de son passé.
L’histoire avec un grand H
Villem Samasser avait grimpé les échelons de la société de Varangantua plus vite et plus loin que n’importe qui jusque-là. Mais alors qu’un avenir radieux s’ouvrait devant lui, le désastre de Korsk risquait de mettre à jour certaines de ses vieilles combines. Il possédait une usine de traitement de déchets toxiques qui servait de façade à un laboratoire de fabrication de drogue. Il avait même poussé le vice jusqu’à utiliser des mutants pour pouvoir s’en débarrasser sans laisser de traces.
Mais avec l’explosion du quartier de Korsk, l’usine avait été détruite, et il craignait que son associé Gruter Bargolus ne le dénonce. Il a donc embauché Judah l’Orthoptera pour faire le ménage.
Judah, bien qu’au courant du trafic de drogue, a accepté la mission, mais tout va se compliquer quand il va se rendre compte que l’Inquisition a déjà récupéré Bargolus et est en train de le torturer. Bargolus étant mort pendant l’interrogatoire de l’Inquisition, la mission de Judah est un succès, mais ce dernier, ayant appris l’existence du trafic de mutants, décide de faire tomber Samasser en s’arrangeant pour que les informations qu’il a découvertes tombent en possession des Probators.
Conclusion :
Encore une très bonne histoire de Darius Hinks sur Judah, l’ancien homme de main de l’Inquisition repenti. Même si l’histoire est un peu convenue, l’intervention de l’Inquisition, le retournement de situation avec les mutants, et les petits passages spécifiques à l’univers de Warhammer 40K l’intègrent bien à l’univers que l’on connaît et au thème du recueil.