Différences entre les versions de « The Faith and the Flesh »

De Les Archives Infinies
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Marrikus se rend compte que Rowne ne l'aime plus, à cause de son hésitation religieuse. Il l'abandonne à son sort et prend la capsule de survie.
Marrikus se rend compte que Rowne ne l'aime plus, à cause de son hésitation religieuse. Il l'abandonne à son sort et prend la capsule de survie.
==Par Rhydysann==
===Avant-Propos===
Et voila la Rhydysann touche , merci a lui. <br />
Vous pouvez le retrouver ici : https://www.warhammer-forum.com/index.php?/profile/227451-rhydysann/<br />
===Résumé===
C’est l’unique texte de ce recueil pour lequel je me suis posé quelques questions après lecture. Mon ressentie à la fin de sa lecture étant assez flou. Est-ce un texte correct à lire comme son prédécesseur ou bien une nouvelle tache sur le CV d’Annandale (qui en compte déjà pas mal). Après réflexion je pense que l’auteur c’est un peu fichu de nous (en tout cas de moi). Je m’explique.
Déjà le contexte, un missionnaire forcé de l’être par sa famille ayant une forte présence au sein du culte impérial retourne sur une station orbitale de démontage de navire spatial afin de voir sa petite amie. Sauf que deux problèmes se posent à lui. Premièrement même s’il est doué dans ces sermons il ne croit pas vraiment en l’Empereur. Deuxièmement il va devoir quitter le secteur et donc quitter sa bien-aimée.
Au même moment la station récupère une nouvelle épave de vaisseau où il découvre à l’intérieur un space marine en stase. Le prêtre est émerveillé par la fois qui ce lis dans les yeux du space marine et veut le délivrer mais les membres de la station l’en interdisent et lui indique d’attendre des autorités plus qualifiés qu’eux-mêmes afin de prendre la décision.
Sauf qu’après une discussion avec sa dulcinée qui tourne à la dispute conjugale (le sujet étant la foi en l’Empereur, le devoir et la séparation) notre courageux héros décide de délivrer le guerrier de l’espace contre l’avis de tous. Afin qu’il lui indique comment sa raviver ça foie. Surtout que c’est super-simple de le faire quitter sa stase car il suffit d’appuyer sur UNE manivelle (la seule composante la machine, vous connaissez le même du gros bouton rouge ?). Il est utile d’employer un individu hautement qualifié pour cette tache alors que même moi je pourrais être à ce poste !
Sauf que le space Marine était un space marine du chaos en train d’invoquer un démon, de quel chapitre on s’en fout car rien n’est stipulé pas d’héraldique pas de couleur d’armure présenté. Le démon prend possession du corps qui ne cesse de crier « Gloire à Slanessh » tout au long du roman.Notre très intelligent et courageux héros essaye de le bannir avec sa croix mais rate. S’ensuit une course-poursuite dans le vaisseau  durant tout le reste du bouquin avec comment se débarrasser de ce monstre qui mute. J’ai oublié de préciser aucun vaisseau ou capsule de sauvetage n’existe ou ne marche sur la station, la faute à pas de chance !
Bon déjà l’horreur où est-il ? En quoi cela change-t-il d’un roman habituel ? L’utilisation du démon est grotesque, avec un démon qui finit par muter avec le navire à la fin, ce qu’il pouvait peut-être faire dès le début non ? Ou bien encore une scène ou celui-ci expulsé dans l’espace se réincarne dans un tentacule qui avait été mis un broyeur d’ordure et lui aussi envoyé dans l’espace, WTF.
Surtout que les démons dans « Yarrick le crédo impérial » du même auteur sont bien mieux mis en valeur ainsi que l’horreur qu’il représente, ce qui est ironique.
Les facilités scénaristiques sont déconcertantes, pas de capsule de sauvetage, un champ de stase en caoutchouc, un vaisseau qui arrive pile le jour de l’arrivée du héros.
Quant au héros torturé je l’ai trouvé insupportable au possible à suivre. Pourtant j’apprécie beaucoup ce genre de personnage mais là.
Et surtout une plume d’un quelconque qui n’ajoute rien à l’histoire. Là où j’ai mis peu de temps à lire les précédentes nouvelles ici j’ai mis plusieurs jours tant j’ai trouvé cela barbant.
Pourtant le début commençait presque bien jusqu’à l’ouverture de ce champ de stase. Annandale a encore raté une opportunité de se mettre en valeur, ou réussi au choix.

Version actuelle datée du 12 avril 2023 à 23:02

Par Red Qafe

Avant-Propos

Et voila la Red Qafe touche , merci a lui.
Vous pouvez le retrouver ici : https://www.warhammer-forum.com/index.php?/profile/236946-red-qafe/

Intrigue

Oswick Marrikus fait partie d'une famille d'ecclésiarques. Mais il fait partie d'une branche mineure, et n'est pas destiné à devenir cardinal, mais simple missionnaire. Cela ne l'intéresse pas spécialement, il n'est pas spécialement dévot non plus. Il se retrouve attribué à des groupes de combat, où il se contente de soutenir moralement les gens à l'arrière des lignes par ses prêches convaincantes malgré sa sensation qu'elles sont vides de sens.

Au cours de la libération d'une planète, il a rencontré Rowne, une femme dont il est tombé amoureux. Elle faisait partie des forces de libération mais n'était pas réellement soldate, et s'est trouvée un boulot une fois le système libéré, alors que lui fait le tour du système pour apporter un soutien spirituel à plusieurs planètes privées de prêtres.

Rowne, pendant ce temps, fait partie d'une petite équipe, située dans une station éloignée du système, chargée de démanteler des vaisseaux de tous tonnages. Eloignée du système car s'il y a le moindre incident (un réacteur à fusion qui explose) seule la station et ses cinq occupants (et les servitors remplaçables) en seront victimes. Marrikus utilise ses fonds personnels pour aller la voir de temps en temps. Il l'aime.


Mais voilà que ses ordres sont arrivés : l'armée va quitter ce système pour reprendre la guerre dans un autre système et Marrikus va devoir suivre. Mais il ne veut pas quitter Rowne.

Il retourne donc la voir, ne sachant pas trop s'il veut déserter pour rester avec elle, ou lui demander de venir avec lui... Aucune des solutions n'est viable.

Celle ci lui dit qu'il est censé suivre ce que l'Empereur a choisi pour eux. Elle croit plus que lui, qui est pourtant missionnaire. Quelle ironie.


L'un des vaisseaux à démanteler contient, étrangement, un space marine en stase, son armure fondue à ses pieds, une explosion proche également en stase.

Marrikus voit l'extase religieuse sur le visage du space marine en stase. Alors que les occupants de la station envoient un message pour demander quoi faire (au pire, un quelconque chapitre de Space Marines devrait pouvoir venir prendre l'inconnu et faire le nécessaire pour le ramener chez lui, même si ça demanderait du temps), Marrikus décide d'attendre la nuit pour aller le libérer de sa stase, espérant atteindre ainsi une révélation.


Sauf que le Space Marine, une fois libéré de sa stase, se met à hurler "Gloire au dieu du changement" et mute sous les yeux horrifiés du missionnaire !

La créature va tuer l'un des ouvriers, semblant absorber son visage au sein de son corps, avant que le groupe ne parvienne à l'enfermer dans une zone de vaisseau sous vide.

Mais elle disparaît soudainement des images de surveillance, et se retrouve avec eux. Elle tue un autre ouvrier, et absorbe de même son visage.

Marrikus, Rowne et le dernier survivant vont parvenir à enfermer le monstre dans un vaisseau et décrocher ce dernier de la station, l'envoyant donc dans l'espace. Ils constatent que la créature semble se décomposer grâce aux images de surveillance et se croient enfin à l'abri (le temps que le vaisseau de routine les rejoigne dans une poignée de jours, après quoi Marrikus pense qu'ils finiront interrogés et exécutés par une organisation impériale)


Mais les cris du monstre leur parviennent à nouveau. Ils se rendent compte que, alors qu'ils avaient jeté au broyeur une tentacule de la créature coupée par un sas se refermant, la tentacule avait contaminé le système d'évacuation relié au broyeur, et de là la station entière était en train de se transformer, devenant le corps du monstre.

Le trio essaie à nouveau de s'enfuit, mais la créature atteint le troisième survivant.

Marrikus et Rowne se dirigent vers la capsule de secours, qui devrait leur permettre de tenir seulement la moitié du temps restant avant que le vaisseau de routine ne les rejoigne, mais tant pis.

Marrikus se rend compte que Rowne ne l'aime plus, à cause de son hésitation religieuse. Il l'abandonne à son sort et prend la capsule de survie.

Par Rhydysann

Avant-Propos

Et voila la Rhydysann touche , merci a lui.
Vous pouvez le retrouver ici : https://www.warhammer-forum.com/index.php?/profile/227451-rhydysann/

Résumé

C’est l’unique texte de ce recueil pour lequel je me suis posé quelques questions après lecture. Mon ressentie à la fin de sa lecture étant assez flou. Est-ce un texte correct à lire comme son prédécesseur ou bien une nouvelle tache sur le CV d’Annandale (qui en compte déjà pas mal). Après réflexion je pense que l’auteur c’est un peu fichu de nous (en tout cas de moi). Je m’explique.

Déjà le contexte, un missionnaire forcé de l’être par sa famille ayant une forte présence au sein du culte impérial retourne sur une station orbitale de démontage de navire spatial afin de voir sa petite amie. Sauf que deux problèmes se posent à lui. Premièrement même s’il est doué dans ces sermons il ne croit pas vraiment en l’Empereur. Deuxièmement il va devoir quitter le secteur et donc quitter sa bien-aimée.

Au même moment la station récupère une nouvelle épave de vaisseau où il découvre à l’intérieur un space marine en stase. Le prêtre est émerveillé par la fois qui ce lis dans les yeux du space marine et veut le délivrer mais les membres de la station l’en interdisent et lui indique d’attendre des autorités plus qualifiés qu’eux-mêmes afin de prendre la décision.

Sauf qu’après une discussion avec sa dulcinée qui tourne à la dispute conjugale (le sujet étant la foi en l’Empereur, le devoir et la séparation) notre courageux héros décide de délivrer le guerrier de l’espace contre l’avis de tous. Afin qu’il lui indique comment sa raviver ça foie. Surtout que c’est super-simple de le faire quitter sa stase car il suffit d’appuyer sur UNE manivelle (la seule composante la machine, vous connaissez le même du gros bouton rouge ?). Il est utile d’employer un individu hautement qualifié pour cette tache alors que même moi je pourrais être à ce poste !

Sauf que le space Marine était un space marine du chaos en train d’invoquer un démon, de quel chapitre on s’en fout car rien n’est stipulé pas d’héraldique pas de couleur d’armure présenté. Le démon prend possession du corps qui ne cesse de crier « Gloire à Slanessh » tout au long du roman.Notre très intelligent et courageux héros essaye de le bannir avec sa croix mais rate. S’ensuit une course-poursuite dans le vaisseau durant tout le reste du bouquin avec comment se débarrasser de ce monstre qui mute. J’ai oublié de préciser aucun vaisseau ou capsule de sauvetage n’existe ou ne marche sur la station, la faute à pas de chance !

Bon déjà l’horreur où est-il ? En quoi cela change-t-il d’un roman habituel ? L’utilisation du démon est grotesque, avec un démon qui finit par muter avec le navire à la fin, ce qu’il pouvait peut-être faire dès le début non ? Ou bien encore une scène ou celui-ci expulsé dans l’espace se réincarne dans un tentacule qui avait été mis un broyeur d’ordure et lui aussi envoyé dans l’espace, WTF. Surtout que les démons dans « Yarrick le crédo impérial » du même auteur sont bien mieux mis en valeur ainsi que l’horreur qu’il représente, ce qui est ironique.

Les facilités scénaristiques sont déconcertantes, pas de capsule de sauvetage, un champ de stase en caoutchouc, un vaisseau qui arrive pile le jour de l’arrivée du héros.

Quant au héros torturé je l’ai trouvé insupportable au possible à suivre. Pourtant j’apprécie beaucoup ce genre de personnage mais là.

Et surtout une plume d’un quelconque qui n’ajoute rien à l’histoire. Là où j’ai mis peu de temps à lire les précédentes nouvelles ici j’ai mis plusieurs jours tant j’ai trouvé cela barbant.

Pourtant le début commençait presque bien jusqu’à l’ouverture de ce champ de stase. Annandale a encore raté une opportunité de se mettre en valeur, ou réussi au choix.