Différences entre les versions de « The Place of Pain and Healing »

De Les Archives Infinies
Aller à la navigation Aller à la recherche
(Page créée avec « {{Sommaire à droite}} ==Avant-Propos== Avec cette nouvelle, Justin D. Hill revient sur une partie du roman « Cadia Tiendra ». La fuite de Minka Lesk de Cadia. Dans le… »)
 
 
Ligne 1 : Ligne 1 :
{{Sommaire à droite}}
{{Sommaire à droite}}
==Avant-Propos==
==Par Gilian==
===Avant-Propos===
Avec cette nouvelle, Justin D. Hill revient sur une partie du roman « Cadia Tiendra ». La fuite de Minka Lesk de Cadia. Dans le roman, entre le moment de son départ de Cadia avec un space Wolf et le moment où elle rejoint les Cadiens, on n’a aucune précision sur ce qui se passe. Justin D. Hill nous éclaire là dessus.  
Avec cette nouvelle, Justin D. Hill revient sur une partie du roman « Cadia Tiendra ». La fuite de Minka Lesk de Cadia. Dans le roman, entre le moment de son départ de Cadia avec un space Wolf et le moment où elle rejoint les Cadiens, on n’a aucune précision sur ce qui se passe. Justin D. Hill nous éclaire là dessus.  


==L’histoire du livre==
===L’histoire du livre===
Cadia est tombé, tout le monde a été évacué et Minka Lesk se retrouve sur un vaisseau de la flotte des Space Wolves.
Cadia est tombé, tout le monde a été évacué et Minka Lesk se retrouve sur un vaisseau de la flotte des Space Wolves.


==L’histoire avec un grand H==
===L’histoire avec un grand H===
Minka a survécu à la chute de Cadia mais elle n’est pas en très grande forme. Elle pense même qu’elle est en train de mourir dans la soute du Croc de Fenris qui est en train de quitter le système de Cadia avec la moitié de la flotte chaotique aux trousses.
Minka a survécu à la chute de Cadia mais elle n’est pas en très grande forme. Elle pense même qu’elle est en train de mourir dans la soute du Croc de Fenris qui est en train de quitter le système de Cadia avec la moitié de la flotte chaotique aux trousses.


Ligne 14 : Ligne 15 :
Étrangement c’est Skarp-Hedin le space marine qui les a sauvés qui parvient à leur remonter le moral. La défaite n’existe pas, s'ils sont vivants le combat continue, il n’y a pas de défaite sauf si on abandonne.
Étrangement c’est Skarp-Hedin le space marine qui les a sauvés qui parvient à leur remonter le moral. La défaite n’existe pas, s'ils sont vivants le combat continue, il n’y a pas de défaite sauf si on abandonne.


==Conclusion :==
===Conclusion :===
C’est très court comme résumé mais la nouvelle ne fait que 12 pages et elle est constituée de souvenirs de Minka Lesk, l’histoire générale ne progresse pas, l’histoire des personnages ne progresse pas non plus mais on en apprend plus sur Minka Lesk.<br />
C’est très court comme résumé mais la nouvelle ne fait que 12 pages et elle est constituée de souvenirs de Minka Lesk, l’histoire générale ne progresse pas, l’histoire des personnages ne progresse pas non plus mais on en apprend plus sur Minka Lesk.<br />
La nouvelle n’est pas indispensable mais elle permet d’approfondir un personnage qui en a besoin. Si on se contente des trois romans déjà parus au moment où la nouvelle est écrite, il y a de gros trous dans la vie de Minka.
La nouvelle n’est pas indispensable mais elle permet d’approfondir un personnage qui en a besoin. Si on se contente des trois romans déjà parus au moment où la nouvelle est écrite, il y a de gros trous dans la vie de Minka.
==Par Schattra==
===Avant-Propos===
Et voila la Schattra touche , merci a lui. <br />
Vous pouvez le retrouver ici : https://nebelheim.wordpress.com/ <br />
Ou ici : https://www.warhammer-forum.com/index.php?/profile/27242-schattra/  <br />
===Intrigue===
Comme vous le savez peut-être, la dernière incursion d’Abaddon & friends sur Cadia ne s’est pas super bien terminée pour la planète. Aux dernières nouvelles, elle serait tombée sur le sol de la galaxie, ce qui fait tout de même une sacrée chute. Minka Lesk, jeune Bouclier Blanc aux débuts de ce que nous appellerons pudiquement « les événements », peut témoigner des derniers moments difficiles de la population locale : évacuée en compagnie du Capitaine Kasrkin Rath Sturm avant la victoire du Chaos (voir ‘Cadia Stands’), elle passe les premiers moments du voyage sur le croiseur Space Wolves qui convoie les deux Cadiens à délirer dans son sommeil. Les souvenirs de la défense contre la 13ème Croisade Noire se mélangent avec d’autres, plus anciens, de son enfance et son entraînement à devenir une bonne petite soldate. On apprend aussi que Minka est une Katherinette (même si elle ne porte pas de chapeau).
Cette transe enfiévrée est interrompue par le médecin de garde du Fang of Fenris, qu’un serviable hilote Space Wolves va quérir en catastrophe après avoir été témoin de la tachycardie suspecte de Minka. Une petite injection de stimms et ça repart comme en 40,000, cependant. Après une brève période de confusion, notre héroïne échange deux mots avec son camarade d’infortune, puis part errer dans les couloirs désertés et ténébreux du croiseur pour se changer les idées. Elle tombe sur Skarp-Hedin, le Space Marine qui l’a ramenée dans sa besace énergétique au moment de quitter Cadia (comme quoi on peut avoir un mono sourcil et bon(s) cœur(s), et parvient au terme d’un dialogue aussi profond que virtuose, mais en tout cas cathartique, à se réconcilier avec l’idée de la perte de sa planète natale, de ses milliards de compatriotes, et du fier héritage d’inflexibilité des centaines de générations précédentes. Le tout en deux minutes top chrono. A ce niveau, on ne dit pas tourner la page, mais désapprendre à lire.
Skarp-Hedin, qui a senti que son vaisseau était entré dans le Warp, et plus certainement que la fin de la nouvelle était imminente (c’est fou comme les Space Wolves ont le nez fin), trouve une excuse bidon pour partir dans l’arrière-plan narratif à petites foulées – mais en continuant le dialogue avec Minka, car c’est un gentleman. Cette dernière repart pioncer dans sa cellule, et sous son matelas, il faut le préciser, l’odeur et le poids de sa paillasse lui rappelant les jours heureux où elle faisait la nouba dans les dortoirs des premières années. You do you, girl, you do you.
===Avis===
Nouvelle de transition entre ‘Cadia Stands’ et ‘Cadian Honour’, ‘The Place…’ ne me semble pas être une addition très intéressante à la saga de Minka Lesk (que je ne considère pas comme étant très intéressante non plus, je dois dire). On n’apprend en effet pas grand-chose de nouveau sur l’héroïne aux yeux violets, qui a eu l’enfance stricte et militarisée que tous les Cadiens ont eu (aaaaaah), et a été traumatisée par la violence des combats de la Croisade Noire (oooooh). Comme les trois personnages principaux (Lesk, Sturm et Skarp-Hedin) ont un charisme cumulé proche de celui d’une huître comptable, il est dur de sympathiser un tant soit peu avec leur peine et leur déchirement.  J’ajoute que Hill se montre particulièrement peu inspiré dans l’écriture des quelques dialogues de sa nouvelle, qui sont si vides et grotesques que leur simple lecture vous sort immédiatement de l’histoire. À laisser sur Cadia.

Version actuelle datée du 20 novembre 2022 à 18:12

Par Gilian

Avant-Propos

Avec cette nouvelle, Justin D. Hill revient sur une partie du roman « Cadia Tiendra ». La fuite de Minka Lesk de Cadia. Dans le roman, entre le moment de son départ de Cadia avec un space Wolf et le moment où elle rejoint les Cadiens, on n’a aucune précision sur ce qui se passe. Justin D. Hill nous éclaire là dessus.

L’histoire du livre

Cadia est tombé, tout le monde a été évacué et Minka Lesk se retrouve sur un vaisseau de la flotte des Space Wolves.

L’histoire avec un grand H

Minka a survécu à la chute de Cadia mais elle n’est pas en très grande forme. Elle pense même qu’elle est en train de mourir dans la soute du Croc de Fenris qui est en train de quitter le système de Cadia avec la moitié de la flotte chaotique aux trousses.

Elle est totalement droguée par les antidouleurs que lui a donnés le medic de bord et dans ses rêves elle repense a la bataille ; la chute des boucliers, le premier assaut, un flot d’images de terreur qu’elle voudrait oublier. Elle repense même au pire moment de sa formation de bouclier blanc.
Elle finit tant bien que mal par se réveiller. Rath Sturm a survécu aussi mais ils sont au fond du trou. Ils ont perdu et ils auraient préféré mourir que survivre à la perte de leur monde.

Étrangement c’est Skarp-Hedin le space marine qui les a sauvés qui parvient à leur remonter le moral. La défaite n’existe pas, s'ils sont vivants le combat continue, il n’y a pas de défaite sauf si on abandonne.

Conclusion :

C’est très court comme résumé mais la nouvelle ne fait que 12 pages et elle est constituée de souvenirs de Minka Lesk, l’histoire générale ne progresse pas, l’histoire des personnages ne progresse pas non plus mais on en apprend plus sur Minka Lesk.
La nouvelle n’est pas indispensable mais elle permet d’approfondir un personnage qui en a besoin. Si on se contente des trois romans déjà parus au moment où la nouvelle est écrite, il y a de gros trous dans la vie de Minka.

Par Schattra

Avant-Propos

Et voila la Schattra touche , merci a lui.
Vous pouvez le retrouver ici : https://nebelheim.wordpress.com/

Ou ici : https://www.warhammer-forum.com/index.php?/profile/27242-schattra/

Intrigue

Comme vous le savez peut-être, la dernière incursion d’Abaddon & friends sur Cadia ne s’est pas super bien terminée pour la planète. Aux dernières nouvelles, elle serait tombée sur le sol de la galaxie, ce qui fait tout de même une sacrée chute. Minka Lesk, jeune Bouclier Blanc aux débuts de ce que nous appellerons pudiquement « les événements », peut témoigner des derniers moments difficiles de la population locale : évacuée en compagnie du Capitaine Kasrkin Rath Sturm avant la victoire du Chaos (voir ‘Cadia Stands’), elle passe les premiers moments du voyage sur le croiseur Space Wolves qui convoie les deux Cadiens à délirer dans son sommeil. Les souvenirs de la défense contre la 13ème Croisade Noire se mélangent avec d’autres, plus anciens, de son enfance et son entraînement à devenir une bonne petite soldate. On apprend aussi que Minka est une Katherinette (même si elle ne porte pas de chapeau).

Cette transe enfiévrée est interrompue par le médecin de garde du Fang of Fenris, qu’un serviable hilote Space Wolves va quérir en catastrophe après avoir été témoin de la tachycardie suspecte de Minka. Une petite injection de stimms et ça repart comme en 40,000, cependant. Après une brève période de confusion, notre héroïne échange deux mots avec son camarade d’infortune, puis part errer dans les couloirs désertés et ténébreux du croiseur pour se changer les idées. Elle tombe sur Skarp-Hedin, le Space Marine qui l’a ramenée dans sa besace énergétique au moment de quitter Cadia (comme quoi on peut avoir un mono sourcil et bon(s) cœur(s), et parvient au terme d’un dialogue aussi profond que virtuose, mais en tout cas cathartique, à se réconcilier avec l’idée de la perte de sa planète natale, de ses milliards de compatriotes, et du fier héritage d’inflexibilité des centaines de générations précédentes. Le tout en deux minutes top chrono. A ce niveau, on ne dit pas tourner la page, mais désapprendre à lire.

Skarp-Hedin, qui a senti que son vaisseau était entré dans le Warp, et plus certainement que la fin de la nouvelle était imminente (c’est fou comme les Space Wolves ont le nez fin), trouve une excuse bidon pour partir dans l’arrière-plan narratif à petites foulées – mais en continuant le dialogue avec Minka, car c’est un gentleman. Cette dernière repart pioncer dans sa cellule, et sous son matelas, il faut le préciser, l’odeur et le poids de sa paillasse lui rappelant les jours heureux où elle faisait la nouba dans les dortoirs des premières années. You do you, girl, you do you.

Avis

Nouvelle de transition entre ‘Cadia Stands’ et ‘Cadian Honour’, ‘The Place…’ ne me semble pas être une addition très intéressante à la saga de Minka Lesk (que je ne considère pas comme étant très intéressante non plus, je dois dire). On n’apprend en effet pas grand-chose de nouveau sur l’héroïne aux yeux violets, qui a eu l’enfance stricte et militarisée que tous les Cadiens ont eu (aaaaaah), et a été traumatisée par la violence des combats de la Croisade Noire (oooooh). Comme les trois personnages principaux (Lesk, Sturm et Skarp-Hedin) ont un charisme cumulé proche de celui d’une huître comptable, il est dur de sympathiser un tant soit peu avec leur peine et leur déchirement. J’ajoute que Hill se montre particulièrement peu inspiré dans l’écriture des quelques dialogues de sa nouvelle, qui sont si vides et grotesques que leur simple lecture vous sort immédiatement de l’histoire. À laisser sur Cadia.