Différences entre les versions de « La voie de l’Incube »

De Les Archives Infinies
Aller à la navigation Aller à la recherche
(Page créée avec « {{Sommaire à droite}} ==Par Red Qafe== ===Avant-Propos=== Et voila la Red Qafe touche , merci a lui. <br /> Vous pouvez le retrouver ici : https://www.warhammer-forum.com… »)
 
 
Ligne 65 : Ligne 65 :


- Aucune mention de Sslyth...
- Aucune mention de Sslyth...
==Par Maestitia de l’équipe du Reclusiam==
===Avant-Propos===
Vous pouvez retrouver cette excellent site ici  https://reclusiam.net/equipe-reclusiam?utm_medium=web&utm_source=stats_header&utm_campaign=team<br />
===Résumé===
    La réalité est spontanée et inconnue, mais elle est aussi chaotique, abrupte, merveilleuse, terrible et par dessus tout, imprévisible. La triste vérité est que certaines choses arrivent malgré tout. Les plans tournent mal, des éléments imprévus couplés à certains incidents marquants, et indépendants, donnent naissance à un voyage inattendu. Inattendu pour certains, du moins. Il y a des puissances dans l’univers capables de percevoir toutes les possibilités. Elles ne cessent jamais d’essayer de faire pencher la balance en leur faveur. Un coup de pouce par ici, un autre par là afin que tous les désirs soient assouvis. Mais ils ignorent qu’au-dessus d’eux, certains donnent aussi des coups de pouce et les manipulent à leur tour.
    Il est dit que lorsque les mortels tentent de prévoir, les dieux s’esclaffent. Voilà donc où nous en sommes. Morr et Motley sont tous deux frustrés dans leurs efforts à cause d’un tiers élément inattendu. Le monde des esprits penche toujours vers une guerre contre Commorragh, les habitants de la cité noire tentent de lutter mais échouent à survivre. Au milieu d’une catastrophe libérée par des pouvoirs qui les dépassent, les événements continuent encore et toujours leurs spirales hors de tout contrôle, générant la destruction lors de sa chute vers l’anarchie. Reste-t-il de l’espoir pour une fin satisfaisante et peut-être une leçon de morale ou deux ? Difficile de le dire pour l’instant. Ce qui est sûr, c’est que le compte à rebours a déjà commencé.
J’adore constater qu’en lisant de l’Eldar Noir, on a tout de suite accès à un vocabulaire singulier et à une histoire des plus savoureusement malsaines.
Je vais être franc, La Voix de l’Incube est une suite comme on les aime. Elle nous présente, tout comme Firedrake, série sur les Salamanders, une suite punchy qui donne envie d’en arriver au tome final, mais en y ajoutant une curiosité : le scénario principal. Et c’est d’une disjonction dont il s’agit et ce thème reste fortement ancré. Nous entamons donc ce récit, avec une belle mise en abîme ou, remise en abîme, qui permet aux deux type de lecteurs de partir à égalité. Car son introduction a l’avantage de bien résumer où nous en sommes, ou nous rappeler par quoi nos antihéros sont déjà passés.
Ce roman sera donc séparé en trois fils scénaristiques classiques, dont le principal est centré sur Morr, notre Incube badass déshonoré et Motley, un Arlequin qui joue habilement avec ces différents masques. Le récit arrivera vite à nous faire douter des fins possibles car la disjonction déchire la seule barrière qui sépare les entités du Warp et les cités Eldar Noir bâties dans la toile. On parle bien d’une catastrophe qui pourrait définitivement anéantir une race qui n’est déjà que le restant de survivant du à un ancien cataclysme.
L’histoire suit donc son petit chemin de destruction pour notre plus grand plaisir de sadique que nous sommes.
Comme je l’ai déjà mentionné, le point fort de ce livre reste sa richesse vis à vis de notre immersion dans les personnages, car vouloir donner envie au lecteur de s’attacher à de l’Eldar Noir, ne doit pas être une mince affaire pour un auteur. Morr est un personnage classique. On découvrira à la fois son passé et comment il en est arrivé à devoir fuir Commoragh alors qu’il était l’un des Incubes les plus respectés.
Son duo avec l’Arlequin, est tout parfait. L’échange entre le guerrier morne et le clown mystérieux est simplement jouissif. Ces deux antihéros sont lancés dans une quête rédemptrice, mais Rob saura facilement nous surprendre quant à ces débouchés, grâce à des personnages aux multiples facettes.
Une chose qu’il faut repréciser, c’est que la richesse de l’univers Eldar Noir ne peut pas être complètement expliquée en un ou encore trois tomes. Il vous faudra peut-être vous renseigner sur le fluff, avant de pouvoir apprécier le jeu qui se joue entre Archontes, Haemonculis et simples Kabalistes.
Au delà de cela, le roman possède plusieurs niveaux de lecture. En effet, il sait bien souligner la finalité d’un régime totalitaire guidé par la peur et la répression dans une société agonisante. Mais je m’égare peut-être. Ajoutez à cela, un rythme maîtrisé, une fin mieux soignée que dans La Voie du Renégat et vous obtenez, une suite comme on les aime.
Je mets tout mes espoirs dans le prochain tome qui s’annonce sanglant et meurtrier à souhait.
===Les plus===
Personnages approfondis.
   
Evolution de la catastrophe dans Commoragh et ailleurs.
   
Rythme efficace, même si l’histoire de Morr reste un roadmovie.
   
Duo très agréable, mais classique.
   
Une atmosphère toujours aussi malsaine.
   
Vect en personne !
===Les moins===
Peu d’affrontements, malgré une action omniprésente.
   
Les combats n’est pas le point fort de l’auteur.
   
Vocabulaire recherché.
   
Que de l’Eldar, comme dans le premier tome.
===Conclusion===
Une suite comme on les aime. Commorragh part en lambeaux et ses habitants s’entredéchirent pour la survie ou le pouvoir. Rien que le contexte devrait vous donner envie de le lire.

Version actuelle datée du 13 avril 2023 à 23:41

Par Red Qafe

Avant-Propos

Et voila la Red Qafe touche , merci a lui.
Vous pouvez le retrouver ici : https://www.warhammer-forum.com/index.php?/profile/236946-red-qafe/

Intro

Pour rappel, Commoragh est dirigée par Asdrubael Vect, qui a annihilé une grande partie des maisons nobles qui avaient survécu à la Chute en se réfugiant à Commoragh. Les Drukhari sont les descendants survivants des Eldars responsables de la Chute à cause de leur recherche de plaisir... et qui n'ont pas voulu changer de style de vie. Commoragh est une cité de plaisirs et de torture, et pour eux c'est très bien comme ça, et ils sont les vrais descendants des Eldars. Par contre, ils annihilent toute capacité psychique grâce au contrôle de soi ou l'usage de drogues, et l'usage de pouvoirs est fortement prohibé. Il est important de préciser que j'ai volontairement supprimé de mon résumé tout un ensemble d'éléments montrant à quel point les Drukhari passent leur temps à comploter et à s'entre tuer de façon très psychopathe.

Personnages

- Nyos Yllithian : chef de la Cabale de la Flamme Blanche, issu des familles nobles de Commoragh, veut faire tomber Asdrubael Vect. C'est un excellent manipulateur.

- Asdrubael Vect : règne sur Commoragh depuis 6000 ans. A pris le pouvoir en éliminant la plupart des anciennes familles nobles de la cité.

- El'Uriaq : régnait sur Shaa-dom, une autre cité que Vect a détruite et maudite en y faisant tomber un vaisseau humain avec les moteurs warp allumés...

- Xelian : maîtresse de la cabale des Lames du Désir, possédant des arènes. Complice d'Yllithian

- Kraillach : chef de la Cabale de la Réalité Eternelle, a vécu la chute des maisons nobles. Complice d'Yllithian

- Morr : Incube, garde du corps de Kraillach.

- Bellathonis : Haemonculus au service de Maxilien, un peu trop indépendant de ses confrères.

- Xagor : gorgone au service de Bellathonis

- Khabyr : petite frappe / mercenaire au service de Bellathonis

- Bariolé : Arlequin qui surveille les évènements et accompagne certains autres personnages

- Maxilien : chef de la Cabale , obnubilé par les animaux volants.

- Laryin : Chante-monde exodite.

- Angevelle : survivante de Shaa-dom

- Aez-asha : Succube subordonnée à Xelian

Intrigue

La Voie de l'Incube présente plusieurs évènements se déroulant à peu près en même temps. Je vais essayer de regrouper les évènements en fonction des personnages concernés.


=> Yllithian se perd dans les catacombes, son corps rongé par le Glass Plague. Bellathonis le retrouve, et va l'aider à trouver un "successeur", l'Archonte ne pouvant se présenter ainsi devant Vect, ce dernier convoquant tous les archontes majeurs. Ledit successeur, voyant son parent affaibli, tentera de le tuer, mais le piège de Bellathonis se déclenchera alors : grâce au contact physique, Yllithian et son "successeur" vont échanger leurs corps ! Yllithian va ainsi se présenter devant Vect, qui va tout simplement donner des instruction à chaque archonte afin de remettre de l'ordre dans la cité. Yllithian va recevoir l'ordre de reprendre l'une des tours servant à contenir l'un des soleils prisonniers qui éclairent la cité. Il se verra accompagné par Aez'arya, qui a succédé à Xelian, mais il se méfie de cette dernière. Il constatera également qu'un troisième groupe, composé d'unités aériennes, l'accompagne également. Dans la tour, Yllithian et Aez'arya vont se retrouver face à des Space Marines du Chaos inféodés à Nurgle. Ils parviendront à empêcher ces derniers de convoquer un Great Unclean One, et Aez'arya profitera de cette victoire pour retourner ses armes contre Yllithian. Ce dernier parviendra difficilement à la faire fuir, et décidera de retourner à sa forteresse, alors que le troisième contingent envoyé à la tour l'attaque également. Une fois retourné chez lui, Yllithian se rendra compte que ses hommes sont soulagés de le voir encore en vie, et décidera de mener une guerre ouverte contre Vect.


=> La Descente Noire, la coterie d'Haemonculus dont faisait partie Bellathonis décide de faire assassiner ce dernier et envoie deux machines, un Talos et un Cronos, faire le sale boulot. Les deux machines vont traquer le renégat en usant de méthodes différentes et vont donc se séparer. L'une d'elles va parvenir à trouver l'Homoncule en train de déménager son laboratoire, emportant la tête d'Angevelle, et attaquera sa forme physique, mais l'Homoncule va employer une de ses inventions pour échanger son corps...


=> Xagor et Khabyr voient Commoragh sombrer dans l'anarchie à cause de la Disjonction : des hordes de démons apparaissent un peu partout et attaquent tout le monde. Le duo va suivre un groupe de survivants menés par deux archontes mineurs dont le but est de remonter vers les hauteurs de la cité. Persuadés qu'ils auront plus de chances de s'en tirer en allant vers les profondeurs, les deux larbins parviennent à échapper à ce groupe. Rattrapés par l'une des archontes, ils la persuadent de les accompagner. Ensemble, le trio va traverser un quartier d'esclaves envahi par des Ur-Ghuls, et parviendra à détourner une barge Raider. Grâce à ce véhicule, ils vont prendre des tunnels s'enfonçant vers les profondeurs. Mais en passant trop près, trop vite d'un embranchement surnaturellement obscur, ils vont s'écraser. Khabyr a les jambes écrasées par des débris et alors que Xagor le soigne, Bellathonis prend possession du corps de Khabyr. Ils sont attaqués par l'autre des machines traquant Bellathonis. L'archonte parvient à vaincre la machine et abandonne là le duo.


=> Bariolé accompagne Morr. Ils passent par le temple d'Arhra, où Morr se rend compte qu'il ne recevra aucune aide de ses pairs, et que ceux-ci le tueront s'ils en ont l'occasion. Bariolé tente de guider Morr vers une autre voie, mais le duo est intercepté par des Aeldari de Biel-Tan, menés par un Prophète mineur. Ce dernier compte ramener Morr à son vaisseau-monde pout l'y juger responsable de la Disjonction... Bariolé comprend que ce Prophète ne court qu'après sa gloire personnelle et parvient à faire en sorte que Morr et lui s'échappent. Le duo revient sur le monde exodite, et Morr accepte d'aller affronter l'esprit monde enragé, dans le but de le calmer. Le Prophète et ses suivants parviennent à rattraper le duo, et en voyant que sa cible va lui échapper, le Prophète convoque des forces qui le dépassent : il était en réalité guidé par Tzeentch et commence à se transformer en Seigneur du Changement. Morr se sacrifie pour guider la rage de l'esprit-monde contre le démon à moitié incarné, et ce faisant, parvient finalement à calmer l'esprit-monde : la Disjonction est terminée.


Conclusion générale

- On voit Commoragh, ainsi que plusieurs de ses sous-royaumes : Shaa-dom, Aelindrach, l'Epine de Fer. On voit leur fonctionnement (pas dans son entièreté : je me demande comment fonctionne l'économie ou la simple reproduction dans un tel endroit). Les Drukharis passent leur temps à s'entre tuer et à comploter, c'est vraiment un paradis pour psychopathes.

- On a également plusieurs descriptions des Exodites, et un Harlequin en personnage principal.

- On voit que les trois dieux du Chaos créés par les humains essayent tout le temps de voler Commoragh et l'âme de ses habitants à Slaanesh.

- La trilogie est quand même assez poussive. Je vous ai résumé près de 900 pages, et je trouve encore ça trop long. Bon, j'avais la même impression en lisant la Voie de l'Eldar, et j'aurai sans doute la même impression en lisant la trilogie Ahriman.

- Aucune mention de Sslyth...

Par Maestitia de l’équipe du Reclusiam

Avant-Propos

Vous pouvez retrouver cette excellent site ici https://reclusiam.net/equipe-reclusiam?utm_medium=web&utm_source=stats_header&utm_campaign=team

Résumé

   La réalité est spontanée et inconnue, mais elle est aussi chaotique, abrupte, merveilleuse, terrible et par dessus tout, imprévisible. La triste vérité est que certaines choses arrivent malgré tout. Les plans tournent mal, des éléments imprévus couplés à certains incidents marquants, et indépendants, donnent naissance à un voyage inattendu. Inattendu pour certains, du moins. Il y a des puissances dans l’univers capables de percevoir toutes les possibilités. Elles ne cessent jamais d’essayer de faire pencher la balance en leur faveur. Un coup de pouce par ici, un autre par là afin que tous les désirs soient assouvis. Mais ils ignorent qu’au-dessus d’eux, certains donnent aussi des coups de pouce et les manipulent à leur tour.
   Il est dit que lorsque les mortels tentent de prévoir, les dieux s’esclaffent. Voilà donc où nous en sommes. Morr et Motley sont tous deux frustrés dans leurs efforts à cause d’un tiers élément inattendu. Le monde des esprits penche toujours vers une guerre contre Commorragh, les habitants de la cité noire tentent de lutter mais échouent à survivre. Au milieu d’une catastrophe libérée par des pouvoirs qui les dépassent, les événements continuent encore et toujours leurs spirales hors de tout contrôle, générant la destruction lors de sa chute vers l’anarchie. Reste-t-il de l’espoir pour une fin satisfaisante et peut-être une leçon de morale ou deux ? Difficile de le dire pour l’instant. Ce qui est sûr, c’est que le compte à rebours a déjà commencé.

J’adore constater qu’en lisant de l’Eldar Noir, on a tout de suite accès à un vocabulaire singulier et à une histoire des plus savoureusement malsaines.

Je vais être franc, La Voix de l’Incube est une suite comme on les aime. Elle nous présente, tout comme Firedrake, série sur les Salamanders, une suite punchy qui donne envie d’en arriver au tome final, mais en y ajoutant une curiosité : le scénario principal. Et c’est d’une disjonction dont il s’agit et ce thème reste fortement ancré. Nous entamons donc ce récit, avec une belle mise en abîme ou, remise en abîme, qui permet aux deux type de lecteurs de partir à égalité. Car son introduction a l’avantage de bien résumer où nous en sommes, ou nous rappeler par quoi nos antihéros sont déjà passés.

Ce roman sera donc séparé en trois fils scénaristiques classiques, dont le principal est centré sur Morr, notre Incube badass déshonoré et Motley, un Arlequin qui joue habilement avec ces différents masques. Le récit arrivera vite à nous faire douter des fins possibles car la disjonction déchire la seule barrière qui sépare les entités du Warp et les cités Eldar Noir bâties dans la toile. On parle bien d’une catastrophe qui pourrait définitivement anéantir une race qui n’est déjà que le restant de survivant du à un ancien cataclysme. L’histoire suit donc son petit chemin de destruction pour notre plus grand plaisir de sadique que nous sommes.

Comme je l’ai déjà mentionné, le point fort de ce livre reste sa richesse vis à vis de notre immersion dans les personnages, car vouloir donner envie au lecteur de s’attacher à de l’Eldar Noir, ne doit pas être une mince affaire pour un auteur. Morr est un personnage classique. On découvrira à la fois son passé et comment il en est arrivé à devoir fuir Commoragh alors qu’il était l’un des Incubes les plus respectés.

Son duo avec l’Arlequin, est tout parfait. L’échange entre le guerrier morne et le clown mystérieux est simplement jouissif. Ces deux antihéros sont lancés dans une quête rédemptrice, mais Rob saura facilement nous surprendre quant à ces débouchés, grâce à des personnages aux multiples facettes.

Une chose qu’il faut repréciser, c’est que la richesse de l’univers Eldar Noir ne peut pas être complètement expliquée en un ou encore trois tomes. Il vous faudra peut-être vous renseigner sur le fluff, avant de pouvoir apprécier le jeu qui se joue entre Archontes, Haemonculis et simples Kabalistes.

Au delà de cela, le roman possède plusieurs niveaux de lecture. En effet, il sait bien souligner la finalité d’un régime totalitaire guidé par la peur et la répression dans une société agonisante. Mais je m’égare peut-être. Ajoutez à cela, un rythme maîtrisé, une fin mieux soignée que dans La Voie du Renégat et vous obtenez, une suite comme on les aime. Je mets tout mes espoirs dans le prochain tome qui s’annonce sanglant et meurtrier à souhait.

Les plus

Personnages approfondis.

Evolution de la catastrophe dans Commoragh et ailleurs.

Rythme efficace, même si l’histoire de Morr reste un roadmovie.

Duo très agréable, mais classique.

Une atmosphère toujours aussi malsaine.

Vect en personne !

Les moins

Peu d’affrontements, malgré une action omniprésente.

Les combats n’est pas le point fort de l’auteur.

Vocabulaire recherché.

Que de l’Eldar, comme dans le premier tome.

Conclusion

Une suite comme on les aime. Commorragh part en lambeaux et ses habitants s’entredéchirent pour la survie ou le pouvoir. Rien que le contexte devrait vous donner envie de le lire.