Différences entre les versions de « The Wreckage »

De Les Archives Infinies
Aller à la navigation Aller à la recherche
(Page créée avec « {{Sommaire à droite}} ==Avant-Propos== Et voila la Schattra touche , merci a lui. <br /> Vous pouvez le retrouver ici : https://nebelheim.wordpress.com/ <br /> Ou ici :… »)
 
 
(Une version intermédiaire par le même utilisateur non affichée)
Ligne 1 : Ligne 1 :
{{Sommaire à droite}}
{{Sommaire à droite}}
==Avant-Propos==
==Par Schattra==
===Avant-Propos===
Et voila la Schattra touche , merci a lui. <br />
Et voila la Schattra touche , merci a lui. <br />
Vous pouvez le retrouver ici : https://nebelheim.wordpress.com/ <br />
Vous pouvez le retrouver ici : https://nebelheim.wordpress.com/ <br />
Ligne 6 : Ligne 7 :
Ou ici : https://www.warhammer-forum.com/index.php?/profile/27242-schattra/  <br />
Ou ici : https://www.warhammer-forum.com/index.php?/profile/27242-schattra/  <br />


==Intrigue:==
===Intrigue:===
Où il sera question des premières années de service de Sebastian Yarrick, avant qu’il ne devienne la légende acariâtre que l’Imperium connaît et adore redoute. Déjà engagé aux côtés de la Légion d’Acier d’Armaggedon, notre héros se retrouve en mauvaise posture lors de la traque d’une bande de pirates hérétiques ayant fait du vilain dans le secteur de Statheros, et qui semble avoir un coup d’avance sur ses adversaires impériaux. Débarqué à la surface d’Aionos, une lune servant de décharge à vaisseaux spatiaux en fin de vie, le 252ème Régiment de la Légion d’Acier tombe dans une embuscade qui le force à s’abriter derrière une épave (d’où le titre. Ça, c’est fait.), en attendant des jours meilleurs, ou un coup de génie militaire de la part du Capitaine Jeren Marsec, leader charismatique mais tête brûlée de l’expédition. Yarrick, bien moins dominateur que dans ses dernières années, se contente d’observer avec circonspection la tournure que prennent les événements, échangeant quelques remarques acerbes avec son pote Otto Hanoszek, Sergent expérimenté du 252ème, avec lequel il partage quelques doutes sur la qualité du Capitaine Marsec. Ce dernier, qui a vraiment la confiance, se permet de faire des blagues au sujet de son Commissaire, et propose en toute simplicité de charger en masse les lignes ennemies (situées en hauteur et mieux fortifiées que celles des impériaux) afin de forcer les hérétiques à se concentrer au même endroit pour repousser l’attaque, les transformant en cible facile pour la frégate d’Armaggedon (Castellan Belasco) qui stationne en orbite. Moyennement emballé par ce plan à 80% suicidaire, Yarrick accepte tout de même de marcher dans la combine, mais le coup de bluff de Marsec ne donne rien. Il semble en effet que le fourbe ennemi se soit fait la malle au lieu de tenir sa position, comme il était convenu qu’il le fasse.
Où il sera question des premières années de service de Sebastian Yarrick, avant qu’il ne devienne la légende acariâtre que l’Imperium connaît et adore redoute. Déjà engagé aux côtés de la Légion d’Acier d’Armaggedon, notre héros se retrouve en mauvaise posture lors de la traque d’une bande de pirates hérétiques ayant fait du vilain dans le secteur de Statheros, et qui semble avoir un coup d’avance sur ses adversaires impériaux. Débarqué à la surface d’Aionos, une lune servant de décharge à vaisseaux spatiaux en fin de vie, le 252ème Régiment de la Légion d’Acier tombe dans une embuscade qui le force à s’abriter derrière une épave (d’où le titre. Ça, c’est fait.), en attendant des jours meilleurs, ou un coup de génie militaire de la part du Capitaine Jeren Marsec, leader charismatique mais tête brûlée de l’expédition. Yarrick, bien moins dominateur que dans ses dernières années, se contente d’observer avec circonspection la tournure que prennent les événements, échangeant quelques remarques acerbes avec son pote Otto Hanoszek, Sergent expérimenté du 252ème, avec lequel il partage quelques doutes sur la qualité du Capitaine Marsec. Ce dernier, qui a vraiment la confiance, se permet de faire des blagues au sujet de son Commissaire, et propose en toute simplicité de charger en masse les lignes ennemies (situées en hauteur et mieux fortifiées que celles des impériaux) afin de forcer les hérétiques à se concentrer au même endroit pour repousser l’attaque, les transformant en cible facile pour la frégate d’Armaggedon (Castellan Belasco) qui stationne en orbite. Moyennement emballé par ce plan à 80% suicidaire, Yarrick accepte tout de même de marcher dans la combine, mais le coup de bluff de Marsec ne donne rien. Il semble en effet que le fourbe ennemi se soit fait la malle au lieu de tenir sa position, comme il était convenu qu’il le fasse.


Ligne 17 : Ligne 18 :
<span style="color:red"><sup>1</sup></span>: Ils sont confrontés à 3 Astartes du Chaos. 3 ! C’est Gaunt qui doit doucement rigoler dans son coin.
<span style="color:red"><sup>1</sup></span>: Ils sont confrontés à 3 Astartes du Chaos. 3 ! C’est Gaunt qui doit doucement rigoler dans son coin.


==Avis:==
===Avis:===
Une nouvelle sur Yarrick où aucun Ork ne vient pointer le bout de son (absence de) nez, cela fait bizarre, tant cette race de Xenos est centrale dans la saga du vieux Commissaire. Le récit que fait Annandale du début de la carrière du héros d’Armaggedon, que l’on découvre déjà animé de puissantes convictions quant à la manière d’accomplir son devoir, même s’il se laisse ici marcher sur les pieds par cette fantoche de Marsec, ne s’avère pas vraiment mémorable, et je pense que le nombre très important de factions convoquées dans cette courte nouvelle joue un rôle important dans ce constat de bofitude. Était-il vraiment nécessaire de faire intervenir les Necrons (qui n’apparaissent même pas directement dans le récit d’ailleurs) dans cette péripétie mineure de la carrière de Yarrick ? Cela renforce en tout cas le running gag de la nécropole enfouie sous trois centimètres de sable, et qui se réveille dès que le chien du héros la déterre par inadvertance en creusant un trou pour son os. À vouloir jouer à la fois sur le tableau de la psychologie (Yarrick se retrouve confronté à un dilemme moral qui aura des conséquences sur la suite de sa vie) et de l’action (Yarrick doit mener ses hommes à la victoire en dépit des circonstances) en aussi peu de pages, Annandale score moyennement sur les deux dimensions, et ce faisant, ne rend pas vraiment service au héros qu’il est sensé glorifier.
Une nouvelle sur Yarrick où aucun Ork ne vient pointer le bout de son (absence de) nez, cela fait bizarre, tant cette race de Xenos est centrale dans la saga du vieux Commissaire. Le récit que fait Annandale du début de la carrière du héros d’Armaggedon, que l’on découvre déjà animé de puissantes convictions quant à la manière d’accomplir son devoir, même s’il se laisse ici marcher sur les pieds par cette fantoche de Marsec, ne s’avère pas vraiment mémorable, et je pense que le nombre très important de factions convoquées dans cette courte nouvelle joue un rôle important dans ce constat de bofitude. Était-il vraiment nécessaire de faire intervenir les Necrons (qui n’apparaissent même pas directement dans le récit d’ailleurs) dans cette péripétie mineure de la carrière de Yarrick ? Cela renforce en tout cas le running gag de la nécropole enfouie sous trois centimètres de sable, et qui se réveille dès que le chien du héros la déterre par inadvertance en creusant un trou pour son os. À vouloir jouer à la fois sur le tableau de la psychologie (Yarrick se retrouve confronté à un dilemme moral qui aura des conséquences sur la suite de sa vie) et de l’action (Yarrick doit mener ses hommes à la victoire en dépit des circonstances) en aussi peu de pages, Annandale score moyennement sur les deux dimensions, et ce faisant, ne rend pas vraiment service au héros qu’il est sensé glorifier.


==Fluff:==
===Fluff:===
'''Harkanor’s Reavers''': Bande de Space Marines du Chaos, à l’armure noire craquelée de traits de feu. Leur emblème est deux faux de la couleur du magma, croisées au dessus d’un tas de cranes enflames.
'''Harkanor’s Reavers''': Bande de Space Marines du Chaos, à l’armure noire craquelée de traits de feu. Leur emblème est deux faux de la couleur du magma, croisées au dessus d’un tas de cranes enflames.


'''Commissaire Yarrick ''': Son mentor au sein du Commissariat était le Seigneur Commissaire Simeon Rasp.
'''Commissaire Yarrick ''': Son mentor au sein du Commissariat était le Seigneur Commissaire Simeon Rasp.
==Par Red Qafe==
===Avant-Propos===
Et voila la Red Qafe touche , merci a lui. <br />
Vous pouvez le retrouver ici : https://www.warhammer-forum.com/index.php?/profile/236946-red-qafe/<br />
===Intrigue===
Mettant en scène le (alors) jeune Commissaire Yarrick qui lutte auprès d'un régiment de Gardes contre des hérétiques chaoteux.
Son régiment va se faire bombarder suite à la prise du vaisseau par les hérétiques, et les survivants, séparés en deux groupes pourchassés par une poignées de Marines du Chaos, vont se cacher parmi des ruines mises à jour par le bombardement pour tenter de leur échapper. Le groupe de Yarrick parviendra difficilement à tuer l'un des Marines, mais l'autre groupe, sachant être dans l'incapacité de vaincre les quatre autres Marines, vont s'enfoncer plus profondément dans les ruines pour faire se confronter leur ennemi aux résidents des lieux, au prix de leur propre sacrifice.
(Vu leur description, les ruines sont d'origine Nécron)
==Par Solarius==
===Avant-Propos===
Et voila la Solarius touche , merci a lui. <br />
Vous pouvez le retrouver ici : https://www.warhammer-forum.com/index.php?/profile/229368-solarius/<br />
===Résumé===
Ouf, une nouvelle sympa qui nous fait repartir sur de bonnes bases. Ce coup-ci, Yarrick se retrouve dans un assaut planétaire sur la base d’une bande de cultistes spécialisés dans le combat spatial (original, ça.). L’assaut se passe mal et sa compagnie se retrouve bloquée dans un champ d’épaves. Faisant confiance à un colonel charismatique et populaire auprès de ses hommes, la compagnie de Yarrick organise un assaut frontal qui tourne au vinaigre.
Les gardes sont décimés par un bombardement orbital et ils sont poursuivis par des marines du chaos vraiment COOLS (Les Harkanor’s Reavers, sortes de Thousands Sons ayant une armure de lave  bounce ) mais pas très malins : Ils tentent d’entrer dans une nécropole nécron. Les gardes devront malheureusement se séparer : une partie devra empêcher les marines de sortir de la nécropole tandis que l’autre repartira sur leur vaisseau pour le reprendre des mains des cultistes. Yarrick devra donc exécuter le colonel qui refuse d’obéir à un ordre aussi cruel et demander à un sergent burriné et compétent de rester dans la nécropole jusqu’à la fin.
C’est donc une nouvelle sympa, où l’on voit des adversaires originaux (quoique pas très malins), et qui est riche en rebondissements, et ce malgré quelques bizarreries comme un bombardement orbital pas si meurtrier. C’est plutôt bien rempli et ça nous montre que  le format court des nouvelles BL peut donner de bonnes surprises.

Version actuelle datée du 28 août 2022 à 22:41

Par Schattra

Avant-Propos

Et voila la Schattra touche , merci a lui.
Vous pouvez le retrouver ici : https://nebelheim.wordpress.com/

Ou ici : https://www.warhammer-forum.com/index.php?/profile/27242-schattra/

Intrigue:

Où il sera question des premières années de service de Sebastian Yarrick, avant qu’il ne devienne la légende acariâtre que l’Imperium connaît et adore redoute. Déjà engagé aux côtés de la Légion d’Acier d’Armaggedon, notre héros se retrouve en mauvaise posture lors de la traque d’une bande de pirates hérétiques ayant fait du vilain dans le secteur de Statheros, et qui semble avoir un coup d’avance sur ses adversaires impériaux. Débarqué à la surface d’Aionos, une lune servant de décharge à vaisseaux spatiaux en fin de vie, le 252ème Régiment de la Légion d’Acier tombe dans une embuscade qui le force à s’abriter derrière une épave (d’où le titre. Ça, c’est fait.), en attendant des jours meilleurs, ou un coup de génie militaire de la part du Capitaine Jeren Marsec, leader charismatique mais tête brûlée de l’expédition. Yarrick, bien moins dominateur que dans ses dernières années, se contente d’observer avec circonspection la tournure que prennent les événements, échangeant quelques remarques acerbes avec son pote Otto Hanoszek, Sergent expérimenté du 252ème, avec lequel il partage quelques doutes sur la qualité du Capitaine Marsec. Ce dernier, qui a vraiment la confiance, se permet de faire des blagues au sujet de son Commissaire, et propose en toute simplicité de charger en masse les lignes ennemies (situées en hauteur et mieux fortifiées que celles des impériaux) afin de forcer les hérétiques à se concentrer au même endroit pour repousser l’attaque, les transformant en cible facile pour la frégate d’Armaggedon (Castellan Belasco) qui stationne en orbite. Moyennement emballé par ce plan à 80% suicidaire, Yarrick accepte tout de même de marcher dans la combine, mais le coup de bluff de Marsec ne donne rien. Il semble en effet que le fourbe ennemi se soit fait la malle au lieu de tenir sa position, comme il était convenu qu’il le fasse.

Dépité autant que déboussolé par ce coup du sort, Marsec contacte la frégate pour annuler la frappe orbitale, mais réalise un peu tard qu’il vient de re-re-retomber dans un piège, les hérétiques ayant capturé le vaisseau et n’attendant que la confirmation du Capitaine que ses troupes forment un gros tas bien compact au sol pour donner du macrocanon. Le subtil accent nazillard de l’opérateur radio auquel Marsec s’adresse met toutefois la puce à l’oreille de Yarrick, qui parvient à sauver quelques meubles en ordonnant une dispersion stratégique quelques instants avant que la catastrophe ne frappe. La situation du 252ème est toutefois des plus précaires, réduit à quelques escouades éparses, mené par un officier totalement hébété par la tournure qu’on prit les événements, et confronté, en plus des pirates de l’espace, à une escouade de Space Marines du Chaos des tristement célèbres Harkanor’s Reavers (la Légion des Damnés, goût Hérésie).

Prenant en charge les opérations le temps que Marsec sorte de sa torpeur, Yarrick entraîne ses survivants dans un complexe de pyramides enfoui sous le sol de Aionos, et découvert par le bombardement spatial. Je ne vous ferai pas l’insulte de laisser planer l’ombre d’un suspens sur la présence de Necrons dans cette nécropole, car c’est évidement le cas. Pris entre le marteau du Chaos et l’enclume des Xenos, Yarrick parvient à feinter son monde en passant en mode furtif, laissant les hérétiques menés par leurs gros copains énergétiques se ruer sur les robots tueurs, avec des résultats concluants. Un bonheur n’arrivant jamais seul, nos héros apprennent que l’équipage du Castellan Belasco a réussi à se libérer et est sur le point de reprendre le contrôle du vaisseau, ce qui permettrait au 252ème de tirer sa révérence sur cette victoire mineure. Problème, le bombardement a séparé les Gardes Impériaux en deux, et le groupe mené par le Sergent Hanoszek est confronté à la même situation que celui de Yarrick (hérétiques, Space Marines du Chaos, pyramide…), sans bénéficier de la présence scénaristiquement salvatrice de ce dernier.

Conscient que la situation de ses camarades est sans espoir1, Yarrick essaie de convaincre Marsec, qui a enfin repris ses esprits, de ne pas jouer au héros en essayant de monter une opération de secours vouée à l’échec. En vain. Seb la Frite passe alors en mode Commissaire et colle un bolt dans la tête de l’officier, qui n’attendait que ça en fait, histoire de mourir en martyre au lieu de devoir justifier son incompétence auprès du haut commandement à son retour. Grand prince, Yarrick annonce lui-même à Hanoszek qu’il a été désigné volontaire pour mourir au nom de l’Empereur, ce que ce dernier accepte avec stoïcisme, et laisse sa radio ouverte jusqu’au bout pour recueillir les derniers râles des héroïques bidasses. Kelôm.

1: Ils sont confrontés à 3 Astartes du Chaos. 3 ! C’est Gaunt qui doit doucement rigoler dans son coin.

Avis:

Une nouvelle sur Yarrick où aucun Ork ne vient pointer le bout de son (absence de) nez, cela fait bizarre, tant cette race de Xenos est centrale dans la saga du vieux Commissaire. Le récit que fait Annandale du début de la carrière du héros d’Armaggedon, que l’on découvre déjà animé de puissantes convictions quant à la manière d’accomplir son devoir, même s’il se laisse ici marcher sur les pieds par cette fantoche de Marsec, ne s’avère pas vraiment mémorable, et je pense que le nombre très important de factions convoquées dans cette courte nouvelle joue un rôle important dans ce constat de bofitude. Était-il vraiment nécessaire de faire intervenir les Necrons (qui n’apparaissent même pas directement dans le récit d’ailleurs) dans cette péripétie mineure de la carrière de Yarrick ? Cela renforce en tout cas le running gag de la nécropole enfouie sous trois centimètres de sable, et qui se réveille dès que le chien du héros la déterre par inadvertance en creusant un trou pour son os. À vouloir jouer à la fois sur le tableau de la psychologie (Yarrick se retrouve confronté à un dilemme moral qui aura des conséquences sur la suite de sa vie) et de l’action (Yarrick doit mener ses hommes à la victoire en dépit des circonstances) en aussi peu de pages, Annandale score moyennement sur les deux dimensions, et ce faisant, ne rend pas vraiment service au héros qu’il est sensé glorifier.

Fluff:

Harkanor’s Reavers: Bande de Space Marines du Chaos, à l’armure noire craquelée de traits de feu. Leur emblème est deux faux de la couleur du magma, croisées au dessus d’un tas de cranes enflames.

Commissaire Yarrick : Son mentor au sein du Commissariat était le Seigneur Commissaire Simeon Rasp.

Par Red Qafe

Avant-Propos

Et voila la Red Qafe touche , merci a lui.
Vous pouvez le retrouver ici : https://www.warhammer-forum.com/index.php?/profile/236946-red-qafe/

Intrigue

Mettant en scène le (alors) jeune Commissaire Yarrick qui lutte auprès d'un régiment de Gardes contre des hérétiques chaoteux.

Son régiment va se faire bombarder suite à la prise du vaisseau par les hérétiques, et les survivants, séparés en deux groupes pourchassés par une poignées de Marines du Chaos, vont se cacher parmi des ruines mises à jour par le bombardement pour tenter de leur échapper. Le groupe de Yarrick parviendra difficilement à tuer l'un des Marines, mais l'autre groupe, sachant être dans l'incapacité de vaincre les quatre autres Marines, vont s'enfoncer plus profondément dans les ruines pour faire se confronter leur ennemi aux résidents des lieux, au prix de leur propre sacrifice.

(Vu leur description, les ruines sont d'origine Nécron)


Par Solarius

Avant-Propos

Et voila la Solarius touche , merci a lui.
Vous pouvez le retrouver ici : https://www.warhammer-forum.com/index.php?/profile/229368-solarius/

Résumé

Ouf, une nouvelle sympa qui nous fait repartir sur de bonnes bases. Ce coup-ci, Yarrick se retrouve dans un assaut planétaire sur la base d’une bande de cultistes spécialisés dans le combat spatial (original, ça.). L’assaut se passe mal et sa compagnie se retrouve bloquée dans un champ d’épaves. Faisant confiance à un colonel charismatique et populaire auprès de ses hommes, la compagnie de Yarrick organise un assaut frontal qui tourne au vinaigre.

Les gardes sont décimés par un bombardement orbital et ils sont poursuivis par des marines du chaos vraiment COOLS (Les Harkanor’s Reavers, sortes de Thousands Sons ayant une armure de lave bounce ) mais pas très malins : Ils tentent d’entrer dans une nécropole nécron. Les gardes devront malheureusement se séparer : une partie devra empêcher les marines de sortir de la nécropole tandis que l’autre repartira sur leur vaisseau pour le reprendre des mains des cultistes. Yarrick devra donc exécuter le colonel qui refuse d’obéir à un ordre aussi cruel et demander à un sergent burriné et compétent de rester dans la nécropole jusqu’à la fin.


C’est donc une nouvelle sympa, où l’on voit des adversaires originaux (quoique pas très malins), et qui est riche en rebondissements, et ce malgré quelques bizarreries comme un bombardement orbital pas si meurtrier. C’est plutôt bien rempli et ça nous montre que le format court des nouvelles BL peut donner de bonnes surprises.