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==Par Gilian==
===L’histoire du livre===
===L’histoire du livre===


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Cela ressemble plus à un premier chapitre qu’à une nouvelle, on apprend rien sur le primarque. J’ai un peu l’impression que Guymer est totalement passé à coté du sujet. La seul chose que j’en retiens c’est qu’il semble y avoir des necrons sur Medusa et du coup le transfert dans un corps mécanique, interdit plus tard avec le protocole clef de Hell, prend encore plus la voie d’une inspiration necron.  J’espère que la suite du recueil sera meilleure.
Cela ressemble plus à un premier chapitre qu’à une nouvelle, on apprend rien sur le primarque. J’ai un peu l’impression que Guymer est totalement passé à coté du sujet. La seul chose que j’en retiens c’est qu’il semble y avoir des necrons sur Medusa et du coup le transfert dans un corps mécanique, interdit plus tard avec le protocole clef de Hell, prend encore plus la voie d’une inspiration necron.  J’espère que la suite du recueil sera meilleure.
==Par Schattra==
===Avant-Propos===
Et voila la Schattra touche , merci a lui. <br />
Vous pouvez le retrouver ici : https://nebelheim.wordpress.com/ <br />
Ou ici : https://www.warhammer-forum.com/index.php?/profile/27242-schattra/  <br />
===Intrigue===
On a tous nos surnoms, plus ou moins glorieux, et Ferrus Manus ne fait pas exception. Bien avant d’être baptisé pognes d’acier (en latin haut gothique pour faire plus classe), notre héros a ainsi été appelé Numerodis (l’Empereur), Cataclysme (les géants des tempêtes du Pinacle de Karaashi), La Finalité (des morts-vivants quelconques), Rehew Netjer, soit le Fils de l’Homme (les Necrons), Mon très Chair (les despotes fragmentés du Subliminat), et Empafé de première (le type auquel il a piqué sa place sur le parking du Monoprix de Medusa). Pour sa part, et après avoir malencontreusement libéré Asimoth sur sa planète d’adoption peu de temps après son arrivée remarquée sur cette dernière et s’être révélé trop faiblard pour ramener la bestiole dans son enclos, le Primarque des Iron Hands s’est donné le nom et la vocation de Chasseur, ayant décidé de réparer sa bévue en traquant le wyrm d’argent à travers les paysages bucoliques de Medusa.
Ces premières années sont également l’occasion pour Ferrus Manus de faire ses premières armes, dans tous les sens du terme. On apprend ainsi qu’il a rencontré quelques difficultés sur sa route, d’ordre robotique, semi-robotique et infernal, ce qui donne une idée de la très riche « biodiversité » de la planète sur laquelle il a fait son trou. Rien de très mémorable cependant pour FM (et pour Guymer), dont l’équipement consiste en une cuirasse d’adamantium upcyclé et une bardiche bricolée à partir des dépouilles fumantes de ses malheureux adversaires biomécaniques. On apprend également que ce gentil garçon est capable de subsister sur un régime composé de sable, minéraux et métaux<span style="color:red"><sup>1</sup></span>, ce qui n’est pas donné à tout le monde. Poursuivant sans relâche sa proie insaisissable, Ferrus finit tout de même par rencontrer des membres de son espèce, d’abord sous forme de cadavres entourant l’épave d’un camping-car Medusan. Curieux d’en apprendre plus sur ces étrangers qui lui ressemblent tant, et soucieux de récupérer un peu de matos utile dans la boîte à gants du véhicule éventré avant que tous les charognards du coin ne débarquent, le jeune Primarque se fraie un chemin jusqu’à la chambre forte du Sandcrawler, négociant au passage dix zombies cyborgs (zomborgs ?) occupés à mastiquer les cartes mères et câbles jack leur étant tombé sous la pince. Ce régime majoritairement électrovore ne les empêche cependant pas de sauter sur l’aventurier pour lui faire les poches dès qu’il s’approche un peu trop, forçant notre héros à faire montre de force autant que de ruse.
Une fois parvenu dans la salle des coffres, Ferrus a la surprise d’être mis en joue par une rescapée de l’embuscade ayant scellé le destin du véhicule et de ses occupants. Guère impressionné par la pétoire plasmique que son interlocutrice lui pointe sur le torse, le Chasseur refuse l’offre qui lui est faite par cette dernière de rejoindre son clan, arguant qu’il a encore une opération de vermifuge à accomplir, et un véritable nom à obtenir, avant de pouvoir faire son entrée dans le monde et participer au Bal des Débutant.e.s de Medusa. La suite de l’histoire de Chéri FM, si elle est connue, sera toutefois narrée dans un autre cantique que celui-ci.
<span style="color:red"><sup>1</sup></span>: Avec quelques protéines et lipides occasionnelles de temps à autres, par exemple lorsqu’il croise la route d’une escouade de Dépeceurs sur leur 31. On peut donc classer Ferrus Manus dans la sous-catégorie des Primarques cannibales, avec Konrad Curze et Sanguinius.
===Avis===
On a plus l’impression d’un épisode pilote pour une série consacrée à l’enfance de Ferrus Manus que d’une nouvelle indépendante à la lecture de ce ‘Canticle’. Guymer passe en effet la majorité de ses pages à présenter de façon intrigante le jeune Primarque et sa planète, dont on aimerait bien apprendre davantage à la fin de son récit. L’intrigue semble avoir été volontairement tronquée pour permettre à l’auteur de la reprendre au cours de l’épisode suivant, qui n’a, à ma connaissance, pas été publié à ce jour. Peut-être faut-il creuser du côté de la novella<span style="color: green "><sup>1</sup></span>  que David Guymer a consacré à son héros pour mettre en perspective cette nouvelle ? Ou plutôt dans le ‘Voice of Mars’ du même auteur, où le Cantique des Voyages occupe une place importante ? En tous cas, si elle n’est certes pas désagréable à lire, et livre quelques éléments de fluff sur le plus moyen des fils de l’Empereur, cette histoire aurait gagné à se conclure de façon plus définitive.
<span style="color: green "><sup>1</sup></span> : ‘Ferrus Manus : La Gorgone de Medusa’.
===Fluff===
'''Ferrus Manus''' : Le Primarque a été connu sous de nombreux noms avant de devenir Ferrus Manus : Cataclysme, Chasseur, La Finalité, Rehew Netjer (le fils de l’homme), Chair. Il est capable de subsister avec un régime de sable, minéraux et métaux. Au début de sa vie, il maniait une bardiche dont le manche était fait d’un morceau d’armure de géant des tempêtes, et la lame d’une griffe de spectre Nécron. Son armure segmentée, bien que formée d’éléments récupérés sur des carcasses diverses, était un chef d’œuvre d’ingénierie.
   
'''Medusa''' : La planète compte de nombreuses races et espèces sentientes, en plus de sa population humaine et d’une colonie Nécron. Ferrus Manus a ainsi croisé des géants des tempêtes (élémentaires de roche) sous le Pinacle de Karaashi, des fantasmes morts-vivants dans le piémont de Karaashi, et un despotat bio-mécanique (le Subliminat). Des cyborgs zombies, se nourrissant aussi bien d’éléments électroniques qu’organiques, rôdent également dans les plaines de Medusa.

Version actuelle datée du 24 août 2022 à 21:55

Par Gilian

L’histoire du livre

La capsule numéro 10 contenant un primarque a atterri sur un monde peuplé de créatures étranges…

L’histoire avec un grand H

Au cours de sa jeune existence, l’enfant qui deviendra plus tard Ferrus Magnus a eu plusieurs noms, donnés en général par ses ennemis, mais il s’est aussi donné un nom lui-même : le chasseur. Parce qu’il a commis une petite erreur après s’être extrait de sa capsule, il a libéré Asimoth par mégarde et a donc décidé de le chasser. Au cours de son voyage il va rencontrer beaucoup de monstres, de xenos et de créatures mécaniques mais très peu d’humains. Les seuls qu’il va croiser sont déjà morts… Il finit par croiser une humaine vivante qui lui propose de rejoindre son clan mais Ferrus Manus préfère finir sa quête avant de rejoindre les siens.

Conclusion

Cela ressemble plus à un premier chapitre qu’à une nouvelle, on apprend rien sur le primarque. J’ai un peu l’impression que Guymer est totalement passé à coté du sujet. La seul chose que j’en retiens c’est qu’il semble y avoir des necrons sur Medusa et du coup le transfert dans un corps mécanique, interdit plus tard avec le protocole clef de Hell, prend encore plus la voie d’une inspiration necron. J’espère que la suite du recueil sera meilleure.

Par Schattra

Avant-Propos

Et voila la Schattra touche , merci a lui.
Vous pouvez le retrouver ici : https://nebelheim.wordpress.com/

Ou ici : https://www.warhammer-forum.com/index.php?/profile/27242-schattra/

Intrigue

On a tous nos surnoms, plus ou moins glorieux, et Ferrus Manus ne fait pas exception. Bien avant d’être baptisé pognes d’acier (en latin haut gothique pour faire plus classe), notre héros a ainsi été appelé Numerodis (l’Empereur), Cataclysme (les géants des tempêtes du Pinacle de Karaashi), La Finalité (des morts-vivants quelconques), Rehew Netjer, soit le Fils de l’Homme (les Necrons), Mon très Chair (les despotes fragmentés du Subliminat), et Empafé de première (le type auquel il a piqué sa place sur le parking du Monoprix de Medusa). Pour sa part, et après avoir malencontreusement libéré Asimoth sur sa planète d’adoption peu de temps après son arrivée remarquée sur cette dernière et s’être révélé trop faiblard pour ramener la bestiole dans son enclos, le Primarque des Iron Hands s’est donné le nom et la vocation de Chasseur, ayant décidé de réparer sa bévue en traquant le wyrm d’argent à travers les paysages bucoliques de Medusa.


Ces premières années sont également l’occasion pour Ferrus Manus de faire ses premières armes, dans tous les sens du terme. On apprend ainsi qu’il a rencontré quelques difficultés sur sa route, d’ordre robotique, semi-robotique et infernal, ce qui donne une idée de la très riche « biodiversité » de la planète sur laquelle il a fait son trou. Rien de très mémorable cependant pour FM (et pour Guymer), dont l’équipement consiste en une cuirasse d’adamantium upcyclé et une bardiche bricolée à partir des dépouilles fumantes de ses malheureux adversaires biomécaniques. On apprend également que ce gentil garçon est capable de subsister sur un régime composé de sable, minéraux et métaux1, ce qui n’est pas donné à tout le monde. Poursuivant sans relâche sa proie insaisissable, Ferrus finit tout de même par rencontrer des membres de son espèce, d’abord sous forme de cadavres entourant l’épave d’un camping-car Medusan. Curieux d’en apprendre plus sur ces étrangers qui lui ressemblent tant, et soucieux de récupérer un peu de matos utile dans la boîte à gants du véhicule éventré avant que tous les charognards du coin ne débarquent, le jeune Primarque se fraie un chemin jusqu’à la chambre forte du Sandcrawler, négociant au passage dix zombies cyborgs (zomborgs ?) occupés à mastiquer les cartes mères et câbles jack leur étant tombé sous la pince. Ce régime majoritairement électrovore ne les empêche cependant pas de sauter sur l’aventurier pour lui faire les poches dès qu’il s’approche un peu trop, forçant notre héros à faire montre de force autant que de ruse.


Une fois parvenu dans la salle des coffres, Ferrus a la surprise d’être mis en joue par une rescapée de l’embuscade ayant scellé le destin du véhicule et de ses occupants. Guère impressionné par la pétoire plasmique que son interlocutrice lui pointe sur le torse, le Chasseur refuse l’offre qui lui est faite par cette dernière de rejoindre son clan, arguant qu’il a encore une opération de vermifuge à accomplir, et un véritable nom à obtenir, avant de pouvoir faire son entrée dans le monde et participer au Bal des Débutant.e.s de Medusa. La suite de l’histoire de Chéri FM, si elle est connue, sera toutefois narrée dans un autre cantique que celui-ci.


1: Avec quelques protéines et lipides occasionnelles de temps à autres, par exemple lorsqu’il croise la route d’une escouade de Dépeceurs sur leur 31. On peut donc classer Ferrus Manus dans la sous-catégorie des Primarques cannibales, avec Konrad Curze et Sanguinius.

Avis

On a plus l’impression d’un épisode pilote pour une série consacrée à l’enfance de Ferrus Manus que d’une nouvelle indépendante à la lecture de ce ‘Canticle’. Guymer passe en effet la majorité de ses pages à présenter de façon intrigante le jeune Primarque et sa planète, dont on aimerait bien apprendre davantage à la fin de son récit. L’intrigue semble avoir été volontairement tronquée pour permettre à l’auteur de la reprendre au cours de l’épisode suivant, qui n’a, à ma connaissance, pas été publié à ce jour. Peut-être faut-il creuser du côté de la novella1 que David Guymer a consacré à son héros pour mettre en perspective cette nouvelle ? Ou plutôt dans le ‘Voice of Mars’ du même auteur, où le Cantique des Voyages occupe une place importante ? En tous cas, si elle n’est certes pas désagréable à lire, et livre quelques éléments de fluff sur le plus moyen des fils de l’Empereur, cette histoire aurait gagné à se conclure de façon plus définitive.


1 : ‘Ferrus Manus : La Gorgone de Medusa’.

Fluff

Ferrus Manus : Le Primarque a été connu sous de nombreux noms avant de devenir Ferrus Manus : Cataclysme, Chasseur, La Finalité, Rehew Netjer (le fils de l’homme), Chair. Il est capable de subsister avec un régime de sable, minéraux et métaux. Au début de sa vie, il maniait une bardiche dont le manche était fait d’un morceau d’armure de géant des tempêtes, et la lame d’une griffe de spectre Nécron. Son armure segmentée, bien que formée d’éléments récupérés sur des carcasses diverses, était un chef d’œuvre d’ingénierie.

Medusa : La planète compte de nombreuses races et espèces sentientes, en plus de sa population humaine et d’une colonie Nécron. Ferrus Manus a ainsi croisé des géants des tempêtes (élémentaires de roche) sous le Pinacle de Karaashi, des fantasmes morts-vivants dans le piémont de Karaashi, et un despotat bio-mécanique (le Subliminat). Des cyborgs zombies, se nourrissant aussi bien d’éléments électroniques qu’organiques, rôdent également dans les plaines de Medusa.