Différences entre les versions de « Chains of Golgotha »

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Cette nouvelle est elle aussi très intense avec de nombreux moments forts, une narration à la première personne efficace et une plume dynamique. Ceci-dit la deuxième moitié (ou plutôt les « deux derniers quarts » ) sont assez saccadés par de nombreuses répétitions (Blabla devoir, blabla sacrifice, blabla Imperium). Du coup, c’est assez redondant et j’ai trouvé un peu bizarre la troisième partie assez lente après une sortie de puits très épique. Ceci-dit, il s’agit de la première nouvelle d’ Annandale sur le personnage, et c’est très correct.
Cette nouvelle est elle aussi très intense avec de nombreux moments forts, une narration à la première personne efficace et une plume dynamique. Ceci-dit la deuxième moitié (ou plutôt les « deux derniers quarts » ) sont assez saccadés par de nombreuses répétitions (Blabla devoir, blabla sacrifice, blabla Imperium). Du coup, c’est assez redondant et j’ai trouvé un peu bizarre la troisième partie assez lente après une sortie de puits très épique. Ceci-dit, il s’agit de la première nouvelle d’ Annandale sur le personnage, et c’est très correct.
==Par Maestitia de l’équipe du Reclusiam==
===Avant-Propos===
Vous pouvez retrouver cette excellent site ici  https://reclusiam.net/equipe-reclusiam?utm_medium=web&utm_source=stats_header&utm_campaign=team<br />
===Résumé===
    C’était ma dernière chance de l’arrêter.
    Il. Lui. Thraka a depuis longtemps cessé d’être une chose dans mon esprit. Le réduire à cela, reviendrait à le sous-estimer et le sous-estimer garantirait une seule chose: la mort. J’ai vu de quoi il était capable sur Armageddon. J’ai vu ce qu’il a accompli depuis, alors que je suivais la trace de sa destruction à travers la galaxie. Il y avait un fait indéniable : les Orks étaient des sauvages décérébrés. Et le second fait était que lorsque la race humaine devait faire face à leurs nombres, leurs forces et leurs endurances, les Orks restaient stupides malgré tout. Mais pas Thraka. L’invasion d’Armageddon n’avait pas était l’affaire d’un simple d’esprit. Les stratégies que Thraka avait mis en place étaient brillantes. Inspirées. Et ses mouvements auraient tout aussi bien pu être signés par ma main, ils m’étaient dédiés à moi, personnellement.
    J’avais une Némésis. Nous nous faisions face l’un l’autre au-dessus d’un jeu d’échec à l’échelle galactique.
Évènement majeur pour les deux forces antinomiques que sont le Commissaire Yarrick et le Big Boss Ghazghkull Mag Uruk Thraka.
Se situant entre la 2nde et la 3ème Guerre pour Armageddon, ce récit va nous faire voyager en premier lieu dans les déserts de Golgotha puis dans un Space Hulk Ork.
C’est en fan incontestable d’Armageddon, et donc de Yarrick, que je vais tenter de vous faire une critique objective de Chains of Golgotha…
Après avoir repoussé l’invasion Ork grâce aux forces dans le système d’Armageddon, le Commissaire Yarrick, héros de la Cité-Ruche d’Hades, décide de traquer le Big Boss Ork responsable de tant de destruction dans la galaxie.
Il se retrouve donc avec son Baneblade mythique le Fortress of Arrogance sur Golgotha pourchassant son ennemi juré afin de le tuer une bonne fois pour toute. Mais ce sera sans compter la redoutable intelligence de cet Ork si particulier.
Imaginez-vous en plein désert et en pleine nuit. Submergez de peaux vertes haineuses et d’une rare violence. De Stompas, de Gargants !
Peu de chance de s’en sortir. Aucune même… Et bien vous ne connaissez pas encore Sebastian Yarrick.
Le récit est un hymne à cet homme, que dis-je, ce surhomme ! Capable d’haranguer les foules au simple son de sa voix, capable de faire fuir les Orks uniquement avec son œil bionique, le fameux mauvais œil.
L’auteur David Annandale arrive parfaitement à nous retranscrire ce personnage emblématique, puissant, endurant et d’une volonté à toute épreuve. Autour de lui, des soldats Mordians et de la Légion d’Acier. Pas d’Astartes ici, et c’est tant mieux !
Car l’énergie de camaraderie qui s’en échappe est unique à la Garde Impériale. Les combats sont éprouvants et on ressent la difficulté colossale que représente le commandement de tant d’homme sur les épaules d’un seul.
Les dialogues sont bons sans être fades et les petits clins d’œil, de lieux ou de personnages, ont été une valeur ajoutée pour le fan d’Armageddon que je suis.
Viendra ensuite la seconde partie de l’histoire qui correspond à la moitié du livre. Celle de la détention de Yarrick à bord du Space Hulk de Thraka.
Si jamais vous voulez voir ce qu’un homme est capable d’endurer au nom de l’Empereur avant d’être mis hors service, je crois que vous allez adorer cette partie. Cette dernière aurait pu s’appelait Rambo in the Hulk car le caractère singulier du personnage et de ses prouesses sont aux limites de l’abus.
Parmi les prisonniers et esclaves, dépourvu de son arsenal, Yarrick brille encore par son courage et sa féroce ténacité. On comprendra d’autant mieux la rage que conserve Yarrick pour son ennemi Thraka, sa véritable Némésis.
La note importante est que je pense qu’un fan d’Ork appréciera ce livre car Thraka n’est pas un simple Big Boss, il est THE Big Boss. On a enfin la chance d’apercevoir des Orks efficaces plutôt qu’une simple et incessante marée verte que l’on retrouve dans la plupart des romans qui les mettent en scène comme un ennemi fade et routinier.
On sentira presque de l’admiration que les deux Némésis ressentent l’une envers l’autre. Le plus impressionnant étant le fait que le Commissaire fait tout pour bâtir une réputation et un mythe autour de lui. Jouant sur la superstition des Orks jusqu’à son paroxysme.
Ici le rythme du récit change. Alors que l’on pense que notre Commissaire va se calmer, c’est tout l’inverse qu’il se passe. David Annandale met vraiment l’accent sur le personnage de Yarrick et n’en démentira pas jusqu’à la fin.
Le livre se lit d’un coup et je me suis retenu de le terminer trop rapidement.
Mais c’est aussi cela qui manque : des pages !
Juste une centaine de pages pour résumer Golgotha et le Space Hulk, c’est insuffisant. On sent bien que l’auteur a condensé son histoire, d’où le rythme effréné tout le long de l’ouvrage. Il n’en reste pas moins un moment extra en présence d’une légende de l’univers de Warhammer 40 000.
Je recommande donc ce roman à tout fan de la Garde Impériale mais surtout à ceux qui aimeraient découvrir le personnage de Yarrick, car ce livre est sur ce personnage avant d’être sur Golgotha.
Je vous laisse pour finir avec cette image qui illustre parfaitement le personnage.
===Les plus===
Yarrick ! Enfin un récit à part entière sur cette légende.
   
Du fluff, de l’action, un rythme soutenu, trop soutenu ?
   
La partie de Golgotha est épique et la détention en territoire ennemi délectable.
   
Une fin énorme et une phrase de Thraka mémorable.
   
Sebastian Yarrick en premier rôle ! Je l’ai déjà dit ça je crois….
===Les moins===
Trop court : 100 pages, c’est une nouvelle et non pas un roman.
===Conclusion===
J’aurai mis volontiers 5/5 mais c’est bien trop court et c’est l’unique chose que je lui reproche.
Si David Annandale ne fait pas de suite, une chose est sur, je le kidnapperai et forcerai. Il a totalement cerné le personnage de ce Commissaire si exceptionnel et lui seul pourra le faire briller encore plus haut dans la badassitude.

Version actuelle datée du 13 avril 2023 à 22:16

Par Solarius

Avant-Propos

Et voila la Solarius touche , merci a lui.
Vous pouvez le retrouver ici : https://www.warhammer-forum.com/index.php?/profile/229368-solarius/

Résumé

Cette novella se déroulant entre la seconde et la troisième guerre nous raconte l’événement le plus traumatisant de la vie de Yarrick. Alors qu’il croit être sur le point d’en finir avec sa némésis Ghazkull, les forces de l’un de nos commissaires préférés se verront broyées par les orks à cause d’une erreur stupide d’un officier. Notre vieux Seb infligera un maximum de pertes aux orks à coup de pince, d’oeil laser, de tir direct de Basilisk et de stratégie bien menée, mais sera finalement vaincu et emmené par Ghazkull sur son Hulk. Se réveillant sans pince et sans œil laser, Yarrick fera comprendre à son pire ennemi qu’il le tuera d’une manière ou d’une autre avant d’être balancé dans un puits sans ménagements. S’ensuit alors le moment le plus fort de la novella, et même du livre entier : Yarrick réussira, grâce à sa volonté de fer et en utilisant des morceaux de mille-pattes géant découpés au Kikoup’, à sortir du puits. C’est vraiment un moment fort et c’est aut’chose que le double-saut de cette chochotte de Bruce Wayne après 3/4 d’heure de film (quel film nul!). Par la suite :


Yarrick se retrouvera dans un camp de prisonniers et nous fera un remake de La Grande Évasion. Sauf qu’ici les prisonniers ne font pas de trous dans le sol mais dans les orks qui les gardent. Sachant que ses forces ne peuvent faire grand-chose, notre héros tentera le tout pour le tout en tentant de faire crasher le Space Hulk. À noter un passage où l’officier incompétent, personnage con comme un manche, tentera de vendre Yarrick à Ghazkull pour avoir la vie sauve. Celui-ci prononce simplement « Grotsnik ! », ce qui paraît encouragent pour le traître. Je laisse à votre imagination dépravée deviner ce qui se passe ensuite… Après moult sacrifices héroïques, tirades sur le devoirs et gunfights de partout (dont notamment avec un ork sniper ! Hérésie!), il finira par se retrouver dans la salle de commandes et devant Ghazkull. Il lui assène un coup et là…

Il se fera assommer puis se fera remettre sa pince et son œil à son éveil. Tout cela était en fait un test de son ennemi, qui le serrera contre lui chaleureusement et en le remerciant dans un gothique parfait ! Très ork tout ça. Yarrick partira ensuite dans une navette en jurant de faire payer au centuple la race des peaux-vertes toute entière. Autant notre héros paraît vieux et usé au début, autant cette expérience aura sur lui l’effet d’une cure de jouvence, et renforcera encore sa détermination.


Cette nouvelle est elle aussi très intense avec de nombreux moments forts, une narration à la première personne efficace et une plume dynamique. Ceci-dit la deuxième moitié (ou plutôt les « deux derniers quarts » ) sont assez saccadés par de nombreuses répétitions (Blabla devoir, blabla sacrifice, blabla Imperium). Du coup, c’est assez redondant et j’ai trouvé un peu bizarre la troisième partie assez lente après une sortie de puits très épique. Ceci-dit, il s’agit de la première nouvelle d’ Annandale sur le personnage, et c’est très correct.

Par Maestitia de l’équipe du Reclusiam

Avant-Propos

Vous pouvez retrouver cette excellent site ici https://reclusiam.net/equipe-reclusiam?utm_medium=web&utm_source=stats_header&utm_campaign=team

Résumé

   C’était ma dernière chance de l’arrêter.
   Il. Lui. Thraka a depuis longtemps cessé d’être une chose dans mon esprit. Le réduire à cela, reviendrait à le sous-estimer et le sous-estimer garantirait une seule chose: la mort. J’ai vu de quoi il était capable sur Armageddon. J’ai vu ce qu’il a accompli depuis, alors que je suivais la trace de sa destruction à travers la galaxie. Il y avait un fait indéniable : les Orks étaient des sauvages décérébrés. Et le second fait était que lorsque la race humaine devait faire face à leurs nombres, leurs forces et leurs endurances, les Orks restaient stupides malgré tout. Mais pas Thraka. L’invasion d’Armageddon n’avait pas était l’affaire d’un simple d’esprit. Les stratégies que Thraka avait mis en place étaient brillantes. Inspirées. Et ses mouvements auraient tout aussi bien pu être signés par ma main, ils m’étaient dédiés à moi, personnellement.
   J’avais une Némésis. Nous nous faisions face l’un l’autre au-dessus d’un jeu d’échec à l’échelle galactique.

Évènement majeur pour les deux forces antinomiques que sont le Commissaire Yarrick et le Big Boss Ghazghkull Mag Uruk Thraka. Se situant entre la 2nde et la 3ème Guerre pour Armageddon, ce récit va nous faire voyager en premier lieu dans les déserts de Golgotha puis dans un Space Hulk Ork. C’est en fan incontestable d’Armageddon, et donc de Yarrick, que je vais tenter de vous faire une critique objective de Chains of Golgotha…

Après avoir repoussé l’invasion Ork grâce aux forces dans le système d’Armageddon, le Commissaire Yarrick, héros de la Cité-Ruche d’Hades, décide de traquer le Big Boss Ork responsable de tant de destruction dans la galaxie. Il se retrouve donc avec son Baneblade mythique le Fortress of Arrogance sur Golgotha pourchassant son ennemi juré afin de le tuer une bonne fois pour toute. Mais ce sera sans compter la redoutable intelligence de cet Ork si particulier. Imaginez-vous en plein désert et en pleine nuit. Submergez de peaux vertes haineuses et d’une rare violence. De Stompas, de Gargants ! Peu de chance de s’en sortir. Aucune même… Et bien vous ne connaissez pas encore Sebastian Yarrick. Le récit est un hymne à cet homme, que dis-je, ce surhomme ! Capable d’haranguer les foules au simple son de sa voix, capable de faire fuir les Orks uniquement avec son œil bionique, le fameux mauvais œil. L’auteur David Annandale arrive parfaitement à nous retranscrire ce personnage emblématique, puissant, endurant et d’une volonté à toute épreuve. Autour de lui, des soldats Mordians et de la Légion d’Acier. Pas d’Astartes ici, et c’est tant mieux ! Car l’énergie de camaraderie qui s’en échappe est unique à la Garde Impériale. Les combats sont éprouvants et on ressent la difficulté colossale que représente le commandement de tant d’homme sur les épaules d’un seul. Les dialogues sont bons sans être fades et les petits clins d’œil, de lieux ou de personnages, ont été une valeur ajoutée pour le fan d’Armageddon que je suis.

Viendra ensuite la seconde partie de l’histoire qui correspond à la moitié du livre. Celle de la détention de Yarrick à bord du Space Hulk de Thraka. Si jamais vous voulez voir ce qu’un homme est capable d’endurer au nom de l’Empereur avant d’être mis hors service, je crois que vous allez adorer cette partie. Cette dernière aurait pu s’appelait Rambo in the Hulk car le caractère singulier du personnage et de ses prouesses sont aux limites de l’abus. Parmi les prisonniers et esclaves, dépourvu de son arsenal, Yarrick brille encore par son courage et sa féroce ténacité. On comprendra d’autant mieux la rage que conserve Yarrick pour son ennemi Thraka, sa véritable Némésis. La note importante est que je pense qu’un fan d’Ork appréciera ce livre car Thraka n’est pas un simple Big Boss, il est THE Big Boss. On a enfin la chance d’apercevoir des Orks efficaces plutôt qu’une simple et incessante marée verte que l’on retrouve dans la plupart des romans qui les mettent en scène comme un ennemi fade et routinier. On sentira presque de l’admiration que les deux Némésis ressentent l’une envers l’autre. Le plus impressionnant étant le fait que le Commissaire fait tout pour bâtir une réputation et un mythe autour de lui. Jouant sur la superstition des Orks jusqu’à son paroxysme.

Ici le rythme du récit change. Alors que l’on pense que notre Commissaire va se calmer, c’est tout l’inverse qu’il se passe. David Annandale met vraiment l’accent sur le personnage de Yarrick et n’en démentira pas jusqu’à la fin.

Le livre se lit d’un coup et je me suis retenu de le terminer trop rapidement. Mais c’est aussi cela qui manque : des pages ! Juste une centaine de pages pour résumer Golgotha et le Space Hulk, c’est insuffisant. On sent bien que l’auteur a condensé son histoire, d’où le rythme effréné tout le long de l’ouvrage. Il n’en reste pas moins un moment extra en présence d’une légende de l’univers de Warhammer 40 000. Je recommande donc ce roman à tout fan de la Garde Impériale mais surtout à ceux qui aimeraient découvrir le personnage de Yarrick, car ce livre est sur ce personnage avant d’être sur Golgotha. Je vous laisse pour finir avec cette image qui illustre parfaitement le personnage.

Les plus

Yarrick ! Enfin un récit à part entière sur cette légende.

Du fluff, de l’action, un rythme soutenu, trop soutenu ?

La partie de Golgotha est épique et la détention en territoire ennemi délectable.

Une fin énorme et une phrase de Thraka mémorable.

Sebastian Yarrick en premier rôle ! Je l’ai déjà dit ça je crois….

Les moins

Trop court : 100 pages, c’est une nouvelle et non pas un roman.

Conclusion

J’aurai mis volontiers 5/5 mais c’est bien trop court et c’est l’unique chose que je lui reproche. Si David Annandale ne fait pas de suite, une chose est sur, je le kidnapperai et forcerai. Il a totalement cerné le personnage de ce Commissaire si exceptionnel et lui seul pourra le faire briller encore plus haut dans la badassitude.