Différences entre les versions de « Watchers in Death »
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Inquisiteur | <u>Inquisiteur Veritus</u> : il est de plus en plus mystérieux et il connaît vraiment beaucoup de choses sur la grande croisade et sur l’Hérésie d’Horus. Des choses qui ne sont même pas conservées dans les archives de l’inquisition…</br> | ||
Kavalanera | <u>Kavalanera Brassanas</u> : C’est la dernière dirigeante de l’ordre des sœurs du silence. D’ailleurs, les sœurs du silence ont laissé tomber leurs vœux de silence. Leurs vœux avaient été faits à l’Empereur et à son Imperium, pas à l’ersatz qu’il est devenu, elles ne se sentent pas concernées par la survie de l’Imperium mais vont quand même venir pour le sauver parce que la fin de l’Imperium signifierait la fin de l’Empereur.</br> | ||
===La Deathwatch=== | ===La Deathwatch=== |
Version actuelle datée du 27 octobre 2022 à 22:16
Par Gilian
Avant-Propos
David Annandale revient pour la troisième fois dans cette série et cette fois, il a la lourde tâche d’écrire une page importante de l’histoire de Warhammer 40K. Je ne vais pas vous gâcher la surprise et on en parlera en fin de résumé.
L’histoire du livre
La force brute d’un assaut direct a échoué, et apparemment la bête est toujours en vie. Il va falloir trouver une autre façon de combattre la bête et les Orks.
L’histoire avec un grand H
L’assaut sur Ullanor semble avoir été un échec. La lune de combat Ork en orbite de Terra est de nouveau active.
Koorland essaie de réorganiser les forces impériales pour trouver une parade à la puissance Ork. Et après avoir parlé avec Vangorich, il imagine des escouades mixtes de Space Marines chargées de missions spécifiques. Des genres de Kill Teams chargées d’opérations d’infiltrations de sabotages et d’assassinats. Ce qui changerait totalement les règles de déploiement utilisées jusqu’à maintenant pour les Space Marines.
Mais les Haut Seigneurs de Terra s’opposent à la création de tel unité. Ils ne peuvent pas concevoir que Koorland ne s’intéresse qu’à gagner la guerre, pour eux, la mise en place de ces unités donneraient trop de pouvoir sur le long terme à Koorland qui pourrait en profiter pour tenter un coup d’état.
Alors que les discussions s’éternisent, les Orks passent à l’attaque et forcent la main des Hauts Seigneurs qui ,en désespoir de cause, doivent accepter la formation de ces « Kill Teams ».
L’utilisation des « Kill Teams » pour donner l’assaut à la lune de combat Ork alors qu’elle est en train de détruire la flotte qui protège Terra, sera un énorme succès et la lune sera détruite.
Après la victoire contre la lune Ork, les renseignements envoyés par Magneric arrivent enfin sur Terra. Il semble que le point fort et aussi le point faible des Orks soient leur capacité psychiques.
Plus il y a d’Orks et plus leurs sorciers sont puissants mais en même temps, le contrecoup généré par la mort d’un de leurs sorciers entraîne la mort de beaucoup d’Orks et la désorganisation d’encore plus de peaux vertes.
Malgré tout, les Kill Team ne suffiront pas pour retourner sur Ullanor, il faut trouver un moyen de neutraliser les psyker Orks. Et encore une fois, c’est l’inquisiteur Veritus qui apporte la solution : les sœurs du Silences, un autre mythe qui date de la grande croisade et de l’hérésie d’Horus.
Il donne à Koorland les coordonnées d’une des dernières bases des sœurs du silence avant qu’elles ne soient chassées par l’Imperium. Et Koorland dépêche le maître de chapitre Thane ainsi que Veritus et Wienand pour aller les chercher et les ramener sur Terra.
Cette mission n’est pas de tout repos et va permettre encore une fois aux Kill Team de se mettre en valeur avant d’enfin pouvoir les ramener sur Terra.
Tout est en place pour une nouvelle attaque sur Ullanor.
Personnages
Inquisiteur Veritus : il est de plus en plus mystérieux et il connaît vraiment beaucoup de choses sur la grande croisade et sur l’Hérésie d’Horus. Des choses qui ne sont même pas conservées dans les archives de l’inquisition…
Kavalanera Brassanas : C’est la dernière dirigeante de l’ordre des sœurs du silence. D’ailleurs, les sœurs du silence ont laissé tomber leurs vœux de silence. Leurs vœux avaient été faits à l’Empereur et à son Imperium, pas à l’ersatz qu’il est devenu, elles ne se sentent pas concernées par la survie de l’Imperium mais vont quand même venir pour le sauver parce que la fin de l’Imperium signifierait la fin de l’Empereur.
La Deathwatch
C’est le gros morceau du livre, la création de ce qui va devenir la Deathwatch.
La création de ces unités part d’une idée de Koorland qui veut adapter les techniques d’infiltration et d’assassinat aux Space Marines. Il aurait pu le faire sans mélanger les diffèrent chapitres, mais le fait de les mélanger offre plus de flexibilité en mêlant les expériences des différents membres de chaque escouade.
La couleur noire des armures vient spontanément aux Space Marines, les premiers ont fait ça pour porter le deuil des morts d’Ullanor et le mouvement s’est répandu.
L’inquisition se méfie de ce changement et est partagée entre l’interdiction et la mise sous tutelle.
Conclusion
Comme vous pourrez le voir si vous lisez le résumé final de la série l’éveil de la Bête, cette série a apporté pas mal de réponses à beaucoup de questions (même des questions que personne ne s’était posé^^). Ce livre en particulier aborde le sujet de la Deathwatch et de sa création.
David Annandale a sûrement été pressé par le format du livre (je sais je le dis souvent mais 250 pages c’est peu) parce que cet événement important est quand même un peu bâclé.
Même en partant du principe que les trois cents survivants de l’attaque sur Ullanor soient devenus des frères d’armes que rien ne peut séparer (même pas plusieurs siècles d’antagonisme (Space Wolves et Dark Angels par exemple). La rapidité avec laquelle les unités sont formées, les affectations acceptées et les résultats immédiats (destruction de la lune d’assaut, d’une flotte Ork entière et d’un titan) est un peu exagéré.
Comme je le dis, ça doit marcher tout de suite parce qu’il n’y a pas la place pour un échec avec si peu de pages mais on peut imaginer que tout ne s’est pas aussi bien passé.
Annandale a donc fait le boulot mais sans plus. Il reste encore trois volumes et peut-être d’autres surprises.