Différences entre les versions de « The Iron Within »
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Rob Sander nous livre une tres bonne nouvelle et introduit Barabas l’homme par qui l’extinction de toute forme de vie dans la galaxie risque d’arrivé ;) . C’est assez étrange de laisser quelqu’un introduire un personnage mais ne plus la laisser écrire dessus. | Rob Sander nous livre une tres bonne nouvelle et introduit Barabas l’homme par qui l’extinction de toute forme de vie dans la galaxie risque d’arrivé ;) . C’est assez étrange de laisser quelqu’un introduire un personnage mais ne plus la laisser écrire dessus. | ||
==Par Schattra== | |||
===Avant-Propos=== | |||
Et voila la Schattra touche , merci a lui. <br /> | |||
Vous pouvez le retrouver ici : https://nebelheim.wordpress.com/ <br /> | |||
Ou ici : https://www.warhammer-forum.com/index.php?/profile/27242-schattra/ <br /> | |||
===Intrigue=== | |||
The Iron Within permet à Sanders de mettre sous les feux de la rampe un Iron Warrior ayant choisi de se battre dans le sens de l'histoire, le Warsmith Barabas Dantioch. Fidèle au portrait en clair obscur qu'il avait dressé de son dernier héros Marine (Elias « le Codex Astartes est formel sur ce point » Artegall, Maître du Chapitre des Crimson Consuls), préférant s'attarder sur les faiblesses de son personnage pour le caractériser plutôt que sur ses forces, logique tout à fait défendable quand on parle de surhommes génétiquement supérieurs en tous points au reste de l'humanité. | |||
La tare de Barabas, qui lui attache la sympathie du lecteur, n'est cette fois pas d'ordre psychologique, mais physique, puisque le Warsmith est le premier Marine atteint de mucoviscidose (et pas qu'un peu) de l'histoire de la Black Library. Évidemment, cette affliction découle d'une glorieuse campagne contre les Hruds, apparemment capable de réduire en grabataires même les meilleurs de l'Empereur par le seul poids du nombre (me demandez pas pourquoi). Prématurément usé par cette ultime bataille dont il fut quasiment le seul rescapé (l'autre survivant ayant fini dans un Dreadnought, et encore, un Dreadnought avec déambulateur), Barabas s'est trouvé affecté à la garde d'une planète de huitième ordre, poste honorifique mais véritable mise au placard déguisée, Perturabo n'ayant semble toute guère apprécié que sa légion soit la première à devoir verser une pension vieillesse à un de ses combattants. | |||
Isolé dans son trou ferreux, Barabas s'est occupé comme il a pu pour tuer le temps, ce qui pour un Iron Warrior, consiste surtout à construire des miradors derrière la haie et à installer des multi-lasers dans les bacs à géraniums. Malheureusement pour le pré-retraité qu'il est devenu, l'arrivée de l'arrogant et hérétique Warsmith Krendl va le forcer à prouver au reste de la galaxie que le vioque touche toujours sa bille en matière de conduite de siège. | |||
===Avis=== | |||
Si ni le thème, ni la conclusion de l'histoire ne sont très originaux, Sanders parvient bien à retranscrire l'effroyable guerre de positions qui oppose loyalistes et chaotiques, dans une sorte de préquelle clin d'oeil à la bataille de Terra, au cours de laquelle les Iron Warriors affronteront cette fois leurs rivaux de toujours au lieu de leurs propres frères. S'il fallait retenir une morale de tout ceci, c'est que l'abus de Chaos est mauvais pour le sens stratégique, le méchant Krendl conduisant son offensive comme une savate, malgré les avantages quantitatif et qualitatif dont il dispose pour mener la réduction de la place-forte ennemie. | |||
Certes, on peut se dire que Barabas est un Warsmith vétéran, défendant son chef d'oeuvre en compagnie de troupes sur motivées, mais son adversaire étant lui aussi un Iron Warrior de haut rang, et de ce fait un expert de la prise de fortifications, la correction que papi gaga lui inflige apparaît légèrement too much. On n'a pas vraiment l'impression de voir deux grands stratèges s'affronter à distance en se rendant coup pour coup, mais plutôt le sentiment d'assister à une partie de tower defense, les assaillants tombant comme des mouches pour gagner le moindre mètre. | |||
Cette petite déception écartée, il faut bien avouer que Sanders maîtrise tout à fait les codes du dernier carré super héroïque, le rythme s'accélérant progressivement au fur et à mesure que le nombre des gentils diminue et que ces derniers doivent sans cesse reculer devant l'avance inexorable des vagues ennemies. Il y a bien quelques sujets à froncement de sourcils, comme le personnage de Vastopol, « Guerrier-Poète » à l'importance dans le récit aussi grande que son utilité à ce dernier apparaît comme contestable, mais Sanders ne relâche jamais le rythme, et toutes les incohérences sont vite laissées de côté. En conclusion, une autre nouvelle de Marines de bonne facture à mettre au crédit du petit Rob, dont j'attends personnellement de voir s'il peut faire aussi bien en long format et avec d'autres protagonistes. | |||
===Fluff=== | |||
'''Iron Warriors (auxiliaires)''': Dantioch a recouru aux services d'une main d’œuvre génétiquement modifiée (genebreeds en VO) pour construire sa forteresse. Plus grand et plus large qu'un Space Marine, le genebreed est à son aise dans les travaux de maçonnerie monumentaux pour lesquels les fils de Perturabo sont renommés (question à deux balles: les Imperial Fists ont-ils également des super larbins pour ce genre de tâches?). C'est en quelque sorte la version supérieure du Kroxigor de 40K, puisqu'il est suffisamment intelligent pour suivre les instructions d'une notice de montage IKEA sans supervision (Sanders parle de cold, technical skill, mais il ne trompe personne). Une fois l'édifice terminé, les genebreeds peuvent servir à renforcer la garnison d'Iron Warriors laissée sur place. | |||
'''Ultramarines (doctrine)''': L'Ultra de service de la nouvelle (Nicodemus) révèle que Guilliman est persuadé que l'Imperium, et même l'Empereur, sont faillibles et mortels. Cela renforce le côté sécessionniste du Grand Schtroumpf, trait de caractère qui sera exploité plus tard dans la série (Imperium Secondus, entre autres). |
Version actuelle datée du 25 août 2022 à 23:00
Par Gilian
L’histoire du livre.
L’hérésie n’en est qu’a son commencement et Perturabo a décidé de regrouper toute ça légion, il a donc envoyer des messagers dans tous les avant poste de la légion pour rameuter les troupes. Mais certain Iron Warrior sont plus difficile a convaincre que d’autre
L’histoire avec un grand H
Barabas Dantioch vétéran de la campagne contre les Hruds exilé sur Damantyne la Petite après avoir perdu la confiance de son primarque attend l’arrivé de son ancien second le maitre des forge Krendl qui vient prendre le commandement de ces forces pour rejoindre Perturabo dans ça croisade contre l’empereur.
Dantioch refuse, il a été prévenu de la trahison de son primarque par un émissaire des Ultramarines et décide de livrer un dernier combat contre ça légion pour les retenir le plus longtemps possible.
Apres un an et un jour de dur combat et alors que les hérétique pensait que tout serait finit en moins de 24h, la forteresse Dantioch tombe enfin. Mais Barabas ayant plus d’un tour dans son sac avait miné l’intégralité du site et détruit toute les troupes au sol au moment ou les derniers défenseurs de la citadelle tombent.
Lui-même en profite pour ce téléporter sur le vaisseau amiral ennemie et partir comme un prince vers Ultramar et ça destiné.
Personnages
Tauro Nicodemus : l’envoyer de Guilliman, c’est un survivant de Calth, il était aussi l’un des quatre Tétrarques d’Ultramar.
Barabas Dantioch : j’ai déjà donné son pédigrée en début de résumé, malgré son état de santé précaire une grande destiné l’attend.
Conclusion
Rob Sander nous livre une tres bonne nouvelle et introduit Barabas l’homme par qui l’extinction de toute forme de vie dans la galaxie risque d’arrivé ;) . C’est assez étrange de laisser quelqu’un introduire un personnage mais ne plus la laisser écrire dessus.
Par Schattra
Avant-Propos
Et voila la Schattra touche , merci a lui.
Vous pouvez le retrouver ici : https://nebelheim.wordpress.com/
Ou ici : https://www.warhammer-forum.com/index.php?/profile/27242-schattra/
Intrigue
The Iron Within permet à Sanders de mettre sous les feux de la rampe un Iron Warrior ayant choisi de se battre dans le sens de l'histoire, le Warsmith Barabas Dantioch. Fidèle au portrait en clair obscur qu'il avait dressé de son dernier héros Marine (Elias « le Codex Astartes est formel sur ce point » Artegall, Maître du Chapitre des Crimson Consuls), préférant s'attarder sur les faiblesses de son personnage pour le caractériser plutôt que sur ses forces, logique tout à fait défendable quand on parle de surhommes génétiquement supérieurs en tous points au reste de l'humanité.
La tare de Barabas, qui lui attache la sympathie du lecteur, n'est cette fois pas d'ordre psychologique, mais physique, puisque le Warsmith est le premier Marine atteint de mucoviscidose (et pas qu'un peu) de l'histoire de la Black Library. Évidemment, cette affliction découle d'une glorieuse campagne contre les Hruds, apparemment capable de réduire en grabataires même les meilleurs de l'Empereur par le seul poids du nombre (me demandez pas pourquoi). Prématurément usé par cette ultime bataille dont il fut quasiment le seul rescapé (l'autre survivant ayant fini dans un Dreadnought, et encore, un Dreadnought avec déambulateur), Barabas s'est trouvé affecté à la garde d'une planète de huitième ordre, poste honorifique mais véritable mise au placard déguisée, Perturabo n'ayant semble toute guère apprécié que sa légion soit la première à devoir verser une pension vieillesse à un de ses combattants.
Isolé dans son trou ferreux, Barabas s'est occupé comme il a pu pour tuer le temps, ce qui pour un Iron Warrior, consiste surtout à construire des miradors derrière la haie et à installer des multi-lasers dans les bacs à géraniums. Malheureusement pour le pré-retraité qu'il est devenu, l'arrivée de l'arrogant et hérétique Warsmith Krendl va le forcer à prouver au reste de la galaxie que le vioque touche toujours sa bille en matière de conduite de siège.
Avis
Si ni le thème, ni la conclusion de l'histoire ne sont très originaux, Sanders parvient bien à retranscrire l'effroyable guerre de positions qui oppose loyalistes et chaotiques, dans une sorte de préquelle clin d'oeil à la bataille de Terra, au cours de laquelle les Iron Warriors affronteront cette fois leurs rivaux de toujours au lieu de leurs propres frères. S'il fallait retenir une morale de tout ceci, c'est que l'abus de Chaos est mauvais pour le sens stratégique, le méchant Krendl conduisant son offensive comme une savate, malgré les avantages quantitatif et qualitatif dont il dispose pour mener la réduction de la place-forte ennemie.
Certes, on peut se dire que Barabas est un Warsmith vétéran, défendant son chef d'oeuvre en compagnie de troupes sur motivées, mais son adversaire étant lui aussi un Iron Warrior de haut rang, et de ce fait un expert de la prise de fortifications, la correction que papi gaga lui inflige apparaît légèrement too much. On n'a pas vraiment l'impression de voir deux grands stratèges s'affronter à distance en se rendant coup pour coup, mais plutôt le sentiment d'assister à une partie de tower defense, les assaillants tombant comme des mouches pour gagner le moindre mètre.
Cette petite déception écartée, il faut bien avouer que Sanders maîtrise tout à fait les codes du dernier carré super héroïque, le rythme s'accélérant progressivement au fur et à mesure que le nombre des gentils diminue et que ces derniers doivent sans cesse reculer devant l'avance inexorable des vagues ennemies. Il y a bien quelques sujets à froncement de sourcils, comme le personnage de Vastopol, « Guerrier-Poète » à l'importance dans le récit aussi grande que son utilité à ce dernier apparaît comme contestable, mais Sanders ne relâche jamais le rythme, et toutes les incohérences sont vite laissées de côté. En conclusion, une autre nouvelle de Marines de bonne facture à mettre au crédit du petit Rob, dont j'attends personnellement de voir s'il peut faire aussi bien en long format et avec d'autres protagonistes.
Fluff
Iron Warriors (auxiliaires): Dantioch a recouru aux services d'une main d’œuvre génétiquement modifiée (genebreeds en VO) pour construire sa forteresse. Plus grand et plus large qu'un Space Marine, le genebreed est à son aise dans les travaux de maçonnerie monumentaux pour lesquels les fils de Perturabo sont renommés (question à deux balles: les Imperial Fists ont-ils également des super larbins pour ce genre de tâches?). C'est en quelque sorte la version supérieure du Kroxigor de 40K, puisqu'il est suffisamment intelligent pour suivre les instructions d'une notice de montage IKEA sans supervision (Sanders parle de cold, technical skill, mais il ne trompe personne). Une fois l'édifice terminé, les genebreeds peuvent servir à renforcer la garnison d'Iron Warriors laissée sur place.
Ultramarines (doctrine): L'Ultra de service de la nouvelle (Nicodemus) révèle que Guilliman est persuadé que l'Imperium, et même l'Empereur, sont faillibles et mortels. Cela renforce le côté sécessionniste du Grand Schtroumpf, trait de caractère qui sera exploité plus tard dans la série (Imperium Secondus, entre autres).