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==L’histoire du livre==
==Par Gilian==
===L’histoire du livre===


La pilote Salvatoria Grant doit conduire le plus vite possible un général des renseignements impériaux vers un poste avancé à bord de sa Valkyrie mais le voyage n’est pas de tout repos.<br />
La pilote Salvatoria Grant doit conduire le plus vite possible un général des renseignements impériaux vers un poste avancé à bord de sa Valkyrie mais le voyage n’est pas de tout repos.<br />


==L’histoire avec un grand H==
===L’histoire avec un grand H===


Salvatoria Grant, aux commandes de sa Valkyrie, attend l’arrivée du général Gobrecht qu’elle va devoir convoyer jusqu’à la base Patroclus le plus vite possible ; en effet il détient des documents qui, s'ils arrivent a temps, vont permettre à l’imperium qui est malmené sur la planète de renverser le cours de la guerre.<br />
Salvatoria Grant, aux commandes de sa Valkyrie, attend l’arrivée du général Gobrecht qu’elle va devoir convoyer jusqu’à la base Patroclus le plus vite possible ; en effet il détient des documents qui, s'ils arrivent a temps, vont permettre à l’imperium qui est malmené sur la planète de renverser le cours de la guerre.<br />
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Après avoir miraculeusement survécu et délivré son message, Salvatoria s’attend à être exécutée par le commissariat impérial. Mais à sa grande surprise elle est traitée comme une héroïne.<br />
Après avoir miraculeusement survécu et délivré son message, Salvatoria s’attend à être exécutée par le commissariat impérial. Mais à sa grande surprise elle est traitée comme une héroïne.<br />


==Conclusion:==
===Conclusion:===
Nouvelle initialement parue dans Warrior et Warlord en 2020. McLean arrive toujours à me surprendre avec des héros tellement humains et torturés. On est loin des archétypes classiques de l’imperium et de la blacklibrary. L’imperium a tendance à créer des héros resplendissants et sans défaut et la plupart des auteurs de la blacklibrary se laissent aller à la facilité en créant ce genre de héros. <br />
Nouvelle initialement parue dans Warrior et Warlord en 2020. McLean arrive toujours à me surprendre avec des héros tellement humains et torturés. On est loin des archétypes classiques de l’imperium et de la blacklibrary. L’imperium a tendance à créer des héros resplendissants et sans défaut et la plupart des auteurs de la blacklibrary se laissent aller à la facilité en créant ce genre de héros. <br />
Mais McLean, dans cette nouvelle, arrive à nous montrer les deux faces de la propagande impériale.<br />
Mais McLean, dans cette nouvelle, arrive à nous montrer les deux faces de la propagande impériale.<br />
==Par Schattra==
===Avant-Propos===
Et voila la Schattra touche , merci a lui. <br />
Vous pouvez le retrouver ici : https://nebelheim.wordpress.com/ <br />
Ou ici : https://www.warhammer-forum.com/index.php?/profile/27242-schattra/  <br />
===Intrigue===
Sur la planète d’Elijan III, les forces du glorieux Empereur de l’Humanité sont en train de se faire mettre minable par le culte chaotique local, menaçant de priver l’Imperium des précieuses ressources de prométheum de cette colonie. Affectée au transport d’un général de la Flotte, la pilote Salvatoria Grant patiente dans le cockpit de sa bien-aimée Valkyrieen attendant l’arrivée du colis, et tue le temps en murmurant à l’oreille du tableau de bord de son oiseau de fer, s’attirant des remarques acerbes de son co-pilote, le fumiste et fumeur Herrion. Avant que Grant n’ait eu le loisir de mettre sa menace de flinguer l’irrespectueux à bout portant (grosse ambiance), le général Gobrecht arrive avec son escorte, et enjoint son chauffeur Uber de l’amener à la base Patroclus en moins de huit heures, ce qui ferait la différence entre la victoire et la défaite pour cette campagne. Si un raccourci est techniquement faisable pour tenir ces délais serrés, ce dernier force toutefois la Valkyrie à chevaucher au dessus du territoire ennemi, ce qui, je vous le donne en mille, ne se termine pas super bien pour le fringant appareil. Heureusement pour nous d’ailleurs, sinon la nouvelle aurait fait cinq pages. Bref, le coucou se prend un missile en pleine queue, Sal’ fait du sale, et crashe son appareil dans un bout de forêt bien loin derrière la ligne de front, avant de sombrer dans l’inconscience avec la satisfaction du devoir presque bien accompli<span style="color:red"><sup>1</sup></span>.
À son réveil, elle a tôt fait de réaliser qu’elle est la seule survivante de son atterrissage sauvage, le général Gobrecht s’accrochant à son ultime point de vie juste assez longtemps pour lui remettre un anneau de pouvoir qu’elle devra aller jeter au cœur de la Montagne du Destin, et… euh, pardon, erreur d’univers. L’anneau que le gradé blessé à mort lui remet est un décodeur de niveau vermillon, dont le haut commandement de la base Patroclus aura besoin pour décrypter les plans de bataille de l’ennemi, envoyés par mail sécurisé quelques heures plus tôt. À cela s’ajoute un mot de passe en haut gothique, parce que ça fait classe, qui permettra à la coursière commise d’office d’accéder jusqu’à la base en question sans se faire abattre en cours de route. Ceci fait, il ne reste plus qu’à notre héroïne qu’à troquer sa licence de Kaptain pour celle de Deliveroo, ce qui ne fait pas grande différence, il faut bien le reconnaître. Un rapide coup d’œil sur le temps qui lui reste et sa position sur la carte l’amène toutefois à une conclusion logique : il lui faudra piquer un avion aux hérétiques pour tenir les délais. Coup de chance, une base aérienne chaotique ne se trouve qu’à quelques kilomètres du lieu du crash, permettant à la débrouillarde Grant de hijacker un Lightning laissé à l’abandon sur le tarmac. Quelques tirs de pistolet laser plus tard, et grâce à la magie de la standardisation de la technologie impériale, notre pilote est donc de retour dans les nuages, dans un cockpit détrempé de sang certes, mais nécessité fait loi.
Ce n’est cependant pas la fin des problèmes pour Grant, qui doit maintenant trouver un moyen de se poser sans se faire dégommer par un tir ami, l’aspect proto-punk de son avion incitant les forces impériales de tirer à vue. Ces petits rigolos de cultistes ayant piraté la radio de bord, elle a ainsi toutes les difficultés du monde à se faire comprendre de la part de la tour de contrôle locale, et ne réussit à négocier une autorisation d’atterrir qu’après avoir été forcée d’abattre quelques missiles et détruire quelques Hydres en dessinant l’aquila dans le ciel. Ce léger malentendu, ayant toutefois fait 29 morts du côté loyaliste et réduit l’épaule de notre héroïne en steak haché, dissipé, Grant peut enfin remettre sa précieuse bagouze à la colonel Shrake (baptisée en hommage à l’Ogryn philosophe, avec lequel elle partage une certaine ressemblance physique), et recevoir quelques soins. S’attendant à finir devant le peloton d’exécution à cause du carnage – certes involontaire – qu’elle a provoqué sur la base à son arrivée, elle est cependant la première surprise de se retrouver catapultée héroïne de l’Impérium pour son action décisive dans la campagne d’Elijan III, prestement remportée par le camp des gentils une fois leur décodeur installé.
Ce n’est cependant pas tout à fait la fin pour Grant, dont l’élévation au statut d’outil de propagande ne fait pas grand-chose pour combattre la profonde dépression dans laquelle ses actes désespérés l’ont fait sombrer. Devenue alcoolique, et utilisée sans vergogne par le haut commandement comme motivation speaker, ou quelque chose comme ça, à destination des bidasses des Flotte et Garde impériaux, Grant réalise amèrement qu’il n’est décidément pas facile de faire son devoir pour l’Impérium, que l’on soit simple pilote ou tête de gondole. Espérons qu’elle puisse bénéficier des sages conseils de Ciaphas Cain sur le sujet avant de commettre l’irréparable…
<span style="color:red"><sup>1</sup></span>: Il y a une leçon à tirer de cet accident. Si tu es un personnage de McLean et que l’on te propose de faire un tour de Valkyrie, rentre à pied (‘No Hero’).
===Avis===
McLean livre avec Lightning Run une nouvelle d’action pure, qui n’aurait pas dépareillée au sommaire de l’anthologie Wings of Blood, se terminant avec un twist final d’un genre un peu particulier et faisant à mes yeux tout l’intérêt d’une soumission autrement très classique (mais efficacement mise en scène et déroulée quoi qu’il en soit). En effet, en suivant Grant pendant les quelques semaines venant après son sauvetage de la campagne d’Elijan III, l’auteur montre à quel point le statut d’héros de l’Imperium peut être dur à porter malgré les apparences, et comment l’appareil de propagande impérial a tôt fait de mettre à profit les individus méritants, sans grande considération pour leur bien-être ou leur santé mentale. Cet aspect de l’effort de guerre, peu abordé jusqu’ici dans la GW-Fiction, permet de conclure la nouvelle sur une touche un peu plus originale, même si bien sombre<span style="color: green "><sup>1</sup></span> , que ce que le déroulement des événements ne nous le laissait pressentir. La marque d’un auteur qui ne se contente pas de servir la soupe, mais cherche à faire sortir ses écrits du lot, ce qui n’est jamais un mal dès lors que les idées sont intéressantes et l’exécution convenable.
<span style="color: green "><sup>1</sup></span> : Et encore, je pense que McLean aurait pu faire bien pire dans ce registre. Après tout, Grant finit l’histoire vivante, non ?
===Fluff===
'''Flotte Impériale (Culture)''' : Les pilotes de Valkyries désignent les Gardes Impériaux sous le sobriquet de “Pieds Boueux” (Mudfoots).
'''Elijan III''' : Planète impériale tempérée et recouverte de forêts, aux vastes reserves de prométheum. Contestée par une insurrection chaotique qui faillit arracher la victoire sur ce théâtre avant que le décodage de ses plans de bataille ne permette d’inverser le rapport de force.  Les forces imperiales mobilisées pour cette campagne incluaient quatre regiments de Gardes Impériaux et cent transports Valkyries.

Version du 10 août 2022 à 14:42

Par Gilian

L’histoire du livre

La pilote Salvatoria Grant doit conduire le plus vite possible un général des renseignements impériaux vers un poste avancé à bord de sa Valkyrie mais le voyage n’est pas de tout repos.

L’histoire avec un grand H

Salvatoria Grant, aux commandes de sa Valkyrie, attend l’arrivée du général Gobrecht qu’elle va devoir convoyer jusqu’à la base Patroclus le plus vite possible ; en effet il détient des documents qui, s'ils arrivent a temps, vont permettre à l’imperium qui est malmené sur la planète de renverser le cours de la guerre.

Malheureusement, au cours du voyage, la Valkyrie se fait abattre en territoire ennemi et tout le monde meurt sauf Salvatoria qui va devoir amener elle-même les documents à l’avant poste.

Elle décide de s’infiltrer dans une base aérienne ennemie et de voler un appareil, puis de foncer vers les lignes impériales pour apporter les documents.

Si la première partie de son plan se passe sans soucis, la deuxième partie la voit contrainte d’ouvrir le feu sur les troupes impériales et de tuer des membres de son camp pour atteindre son objectif.

Après avoir miraculeusement survécu et délivré son message, Salvatoria s’attend à être exécutée par le commissariat impérial. Mais à sa grande surprise elle est traitée comme une héroïne.

Conclusion:

Nouvelle initialement parue dans Warrior et Warlord en 2020. McLean arrive toujours à me surprendre avec des héros tellement humains et torturés. On est loin des archétypes classiques de l’imperium et de la blacklibrary. L’imperium a tendance à créer des héros resplendissants et sans défaut et la plupart des auteurs de la blacklibrary se laissent aller à la facilité en créant ce genre de héros.
Mais McLean, dans cette nouvelle, arrive à nous montrer les deux faces de la propagande impériale.

Par Schattra

Avant-Propos

Et voila la Schattra touche , merci a lui.
Vous pouvez le retrouver ici : https://nebelheim.wordpress.com/

Ou ici : https://www.warhammer-forum.com/index.php?/profile/27242-schattra/

Intrigue

Sur la planète d’Elijan III, les forces du glorieux Empereur de l’Humanité sont en train de se faire mettre minable par le culte chaotique local, menaçant de priver l’Imperium des précieuses ressources de prométheum de cette colonie. Affectée au transport d’un général de la Flotte, la pilote Salvatoria Grant patiente dans le cockpit de sa bien-aimée Valkyrieen attendant l’arrivée du colis, et tue le temps en murmurant à l’oreille du tableau de bord de son oiseau de fer, s’attirant des remarques acerbes de son co-pilote, le fumiste et fumeur Herrion. Avant que Grant n’ait eu le loisir de mettre sa menace de flinguer l’irrespectueux à bout portant (grosse ambiance), le général Gobrecht arrive avec son escorte, et enjoint son chauffeur Uber de l’amener à la base Patroclus en moins de huit heures, ce qui ferait la différence entre la victoire et la défaite pour cette campagne. Si un raccourci est techniquement faisable pour tenir ces délais serrés, ce dernier force toutefois la Valkyrie à chevaucher au dessus du territoire ennemi, ce qui, je vous le donne en mille, ne se termine pas super bien pour le fringant appareil. Heureusement pour nous d’ailleurs, sinon la nouvelle aurait fait cinq pages. Bref, le coucou se prend un missile en pleine queue, Sal’ fait du sale, et crashe son appareil dans un bout de forêt bien loin derrière la ligne de front, avant de sombrer dans l’inconscience avec la satisfaction du devoir presque bien accompli1.

À son réveil, elle a tôt fait de réaliser qu’elle est la seule survivante de son atterrissage sauvage, le général Gobrecht s’accrochant à son ultime point de vie juste assez longtemps pour lui remettre un anneau de pouvoir qu’elle devra aller jeter au cœur de la Montagne du Destin, et… euh, pardon, erreur d’univers. L’anneau que le gradé blessé à mort lui remet est un décodeur de niveau vermillon, dont le haut commandement de la base Patroclus aura besoin pour décrypter les plans de bataille de l’ennemi, envoyés par mail sécurisé quelques heures plus tôt. À cela s’ajoute un mot de passe en haut gothique, parce que ça fait classe, qui permettra à la coursière commise d’office d’accéder jusqu’à la base en question sans se faire abattre en cours de route. Ceci fait, il ne reste plus qu’à notre héroïne qu’à troquer sa licence de Kaptain pour celle de Deliveroo, ce qui ne fait pas grande différence, il faut bien le reconnaître. Un rapide coup d’œil sur le temps qui lui reste et sa position sur la carte l’amène toutefois à une conclusion logique : il lui faudra piquer un avion aux hérétiques pour tenir les délais. Coup de chance, une base aérienne chaotique ne se trouve qu’à quelques kilomètres du lieu du crash, permettant à la débrouillarde Grant de hijacker un Lightning laissé à l’abandon sur le tarmac. Quelques tirs de pistolet laser plus tard, et grâce à la magie de la standardisation de la technologie impériale, notre pilote est donc de retour dans les nuages, dans un cockpit détrempé de sang certes, mais nécessité fait loi.

Ce n’est cependant pas la fin des problèmes pour Grant, qui doit maintenant trouver un moyen de se poser sans se faire dégommer par un tir ami, l’aspect proto-punk de son avion incitant les forces impériales de tirer à vue. Ces petits rigolos de cultistes ayant piraté la radio de bord, elle a ainsi toutes les difficultés du monde à se faire comprendre de la part de la tour de contrôle locale, et ne réussit à négocier une autorisation d’atterrir qu’après avoir été forcée d’abattre quelques missiles et détruire quelques Hydres en dessinant l’aquila dans le ciel. Ce léger malentendu, ayant toutefois fait 29 morts du côté loyaliste et réduit l’épaule de notre héroïne en steak haché, dissipé, Grant peut enfin remettre sa précieuse bagouze à la colonel Shrake (baptisée en hommage à l’Ogryn philosophe, avec lequel elle partage une certaine ressemblance physique), et recevoir quelques soins. S’attendant à finir devant le peloton d’exécution à cause du carnage – certes involontaire – qu’elle a provoqué sur la base à son arrivée, elle est cependant la première surprise de se retrouver catapultée héroïne de l’Impérium pour son action décisive dans la campagne d’Elijan III, prestement remportée par le camp des gentils une fois leur décodeur installé.

Ce n’est cependant pas tout à fait la fin pour Grant, dont l’élévation au statut d’outil de propagande ne fait pas grand-chose pour combattre la profonde dépression dans laquelle ses actes désespérés l’ont fait sombrer. Devenue alcoolique, et utilisée sans vergogne par le haut commandement comme motivation speaker, ou quelque chose comme ça, à destination des bidasses des Flotte et Garde impériaux, Grant réalise amèrement qu’il n’est décidément pas facile de faire son devoir pour l’Impérium, que l’on soit simple pilote ou tête de gondole. Espérons qu’elle puisse bénéficier des sages conseils de Ciaphas Cain sur le sujet avant de commettre l’irréparable…

1: Il y a une leçon à tirer de cet accident. Si tu es un personnage de McLean et que l’on te propose de faire un tour de Valkyrie, rentre à pied (‘No Hero’).

Avis

McLean livre avec Lightning Run une nouvelle d’action pure, qui n’aurait pas dépareillée au sommaire de l’anthologie Wings of Blood, se terminant avec un twist final d’un genre un peu particulier et faisant à mes yeux tout l’intérêt d’une soumission autrement très classique (mais efficacement mise en scène et déroulée quoi qu’il en soit). En effet, en suivant Grant pendant les quelques semaines venant après son sauvetage de la campagne d’Elijan III, l’auteur montre à quel point le statut d’héros de l’Imperium peut être dur à porter malgré les apparences, et comment l’appareil de propagande impérial a tôt fait de mettre à profit les individus méritants, sans grande considération pour leur bien-être ou leur santé mentale. Cet aspect de l’effort de guerre, peu abordé jusqu’ici dans la GW-Fiction, permet de conclure la nouvelle sur une touche un peu plus originale, même si bien sombre1 , que ce que le déroulement des événements ne nous le laissait pressentir. La marque d’un auteur qui ne se contente pas de servir la soupe, mais cherche à faire sortir ses écrits du lot, ce qui n’est jamais un mal dès lors que les idées sont intéressantes et l’exécution convenable.

1 : Et encore, je pense que McLean aurait pu faire bien pire dans ce registre. Après tout, Grant finit l’histoire vivante, non ?

Fluff

Flotte Impériale (Culture) : Les pilotes de Valkyries désignent les Gardes Impériaux sous le sobriquet de “Pieds Boueux” (Mudfoots).

Elijan III : Planète impériale tempérée et recouverte de forêts, aux vastes reserves de prométheum. Contestée par une insurrection chaotique qui faillit arracher la victoire sur ce théâtre avant que le décodage de ses plans de bataille ne permette d’inverser le rapport de force. Les forces imperiales mobilisées pour cette campagne incluaient quatre regiments de Gardes Impériaux et cent transports Valkyries.