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==Par Gilian==
===Avant-Propos===
Deuxième nouvelle de la série The New Knights of Vengeance. Après une première histoire plantant le décor, nous retrouvons une seconde aventure qui prend la forme d’un « voyage ». Reste à voir si David Guymer parvient à rendre ce voyage plus captivant que la première partie écrite par Reynolds.

===L’histoire du livre===
Après un triomphe sanglant lors du siège de Cartha, les Hallowed Knights du Lord-Relictor Ramus et les Astral Templars du Knight-Azyros Vandalus poursuivent leur quête de Mannfred von Carstein, mais ils découvrent bientôt que ce sont les orruks, et non les ogors, qui dominent dans les anciens bois de Carthic. Les Stormcast Eternals doivent surmonter non seulement ces guerriers brutaux, mais aussi la volonté de leurs dieux. Ramus et Vandalus doivent triompher contre le poing de Gork et le poing de Mork s’ils veulent se frayer un chemin jusqu’à la Mer des Ossements, où leur ennemi détesté les attend.<br />

===L’histoire avec un grand H===
Bien que Cartha soit tombée, Mannfred a été blessé et forcé de fuir. Ramus et Vandalus, les derniers Stormcasts survivants, se lancent à sa poursuite dans les forêts de Carthic. Après avoir découvert un sanctuaire orruk souillé par la magie nécromantique de Mannfred, Ramus invoque l’esprit de Weird Zog, un chaman orruk, et conclut un pacte avec lui pour découvrir la destination de Mannfred. Il apprend ainsi que le vampire se dirige vers la Mer des Ossements, un désert d’ossements où il compte invoquer une armée colossale, et sa porte de royaume.<br />
Pour tenter de prendre de vitesse Mannfred, Ramus décide de suivre la Heldenline, qui traverse les montagnes Junkar et mène jusqu’à la Mer des Ossements.<br />
Mannfred, anticipant cet itinéraire, tend une embuscade aux Stormcast en pleine montagne. Bien que cette attaque ne parvienne pas à les arrêter, elle parvient toutefois à les ralentir.<br />
À leur arrivée dans la Mer des Ossements, Ramus et ses hommes se retrouvent confrontés à un nouvel ennemi, les Ironjawz.

===Personnages===
On n’apprend pas grand-chose de nouveau sur les personnages principaux, mais cette nouvelle est l’occasion d’approfondir deux personnages secondaires.

<u>Brakka</u> : Le Stormcast ayant subi le plus de reforges parmi les membres du groupe de Vandalus. Il trouve la mort à chaque mission, ou presque.

<u>Weird Zog </u>: Un puissant chaman orruk, capable de manipuler la magie Waaagh. Il utilise ses pouvoirs pour défier les Stormcast. Vaincu, Ramus découvre qu’il était déjà mort et sous l’influence de Mannfred. Ramus invoque alors son esprit pour obtenir son aide contre leur ennemi commun.


===Les Junkar===
À l’Âge des Mythes, le dieu des orruks, encore unique, se nommait GorkaMorka et parcourait les royaumes à la tête d’une immense armée d’orruks appelée les Junkars.<br />
Après avoir traversé les royaumes d’est en ouest, GorkaMorka, arrivé au bord du Warp, décide de cracher dedans et rebrousse chemin pour repartir d’ouest en est. Mais, faute d’ennemis à combattre, il sombre dans la mélancolie et choisit de se diviser pour se battre contre lui-même, donnant naissance à Gork et Mork.<br />
Les Junkars, suivant l’exemple de leur dieu, se scindèrent alors en deux clans, les adeptes de Gork et ceux de Mork. Des années de conflits sans fin firent des orruks des créatures toujours plus imposantes, au point de devenir aussi grandes que des montagnes. Cette guerre interminable finit par menacer les royaumes mortels et força l’intervention de Sigmar, qui affronta les Junkars et créa une ligne de démarcation entre eux, la fameuse Heldenline.<br />
À l’Âge de Sigmar, cette histoire est devenue une légende. Pourtant, la réalité persiste, et les « montagnes » Junkar sont en fait les derniers des Junkars, d’une taille monstrueuse, qui « vivent » encore à cet endroit.<br />

Note : Après sa bataille contre les Junkars, Sigmar retourna à Azyr si grièvement blessé qu’il en était méconnaissable.<br />

===Conclusion===
Comme pour la nouvelle de Reynolds, cette seconde histoire sert principalement de transition et n’apporte que peu d’éléments nouveaux à l’intrigue, bien que l’histoire de la « légende » des Junkars soit intéressante. Peu d’événements marquants se produisent, et il nous faudra attendre la prochaine nouvelle pour voir l’intrigue avancer.<br />

La suite avec the Great Red